Hey,

J'ai besoin de votre avis.

J'ai fait trois textes, complètement inventés (je venais de lire une fic où une fille se faisait battre par son père, dsl)
Enfin, ça, on s'en fiche. Ce que je voudrais savoir c'est quelle partie rend le mieux.

Je me suis donc amusée à écrire 3 textes (suite aux conseils d'écriture de Hereaby) avec trois Points de vue (PDV) différents racontant à peu près la même chose.

Les voici,

PDV Omniscient :

La jeune fille sortit par la grande porte et la claqua de toutes ses forces. Elle en avait marre. Marre de cette vie, de tout. Elle voulait en finir. Partir à tout jamais, et ne plus revenir. Mais surtout, elle avait peur, mal. Ses plaies la faisaient souffrir et elle sentait encore la présence de son membre en elle.

Elle se mit à courir, ignora les cris de son père cherchant à la retenir. Elle allait y arriver, elle allait lui échapper. Elle n'en pouvait plus de ce quotidien, il fallait que ça cesse.

Elle couru, à en perdre haleine, essuyait les larmes qui dévalaient ses joues de la paume de sa main mais ne s'arrêtait pas pour autant. Le son de sa voix se faisait de plus en plus proche, elle accéléra, encore, sa vie en dépendait. Elle porta une main à son ventre gémissant, pas question d'abandonner, elle y était presque. Elle s'engouffra dans une épicerie bondée et se cacha. Elle entendit une voix grave au dessus de l'épaule, elle sursauta et vis un homme qui lui indiquait de se taire.
«Tu veux lui échapper n'est-ce pas ? Passe par cette porte, elle te mènera à la sortie.»

Elle jeta un coup d'œil à l'endroit désigné, sa mère lui avait dit de ne pas faire confiance aux inconnus mais dans sa situation, elle n'avait pas le choix, elle se mis à quatre pattes et se faufila jusqu'à la sortie. Lorsqu'elle senti l'air frais sur sa peau, Elle poussa un soupire de soulagement. Elle avait réussi.

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PDV Interne

La voilà. L'occasion rêvée de m'évader, de quitter cet endroit, de mettre fin à mes souffrance. Je sortis par la porte d'entrée, la claqua de toutes les forces. Les hurlements rageurs de mon père à travers la cloison me firent frissonner. Les plaies sur mon dos encore récentes me faisaient souffrir et ma respiration se faisait

Je baissai la tête vers mon bas ventre, sentant encore la présence de son membre en moi et me mis à courir. Il fallait à tout pris que j'y arrive, oui, j'allais y arriver.

Je courrais, à en perdre haleine, essuyant les larmes qui dévalaient mes joues de mes paumes encore moites. Le son de sa voix se faisait de plus en plus proche, j'accélérai, encore, n'en pouvant plus de vivre ainsi. Douleur me tordant au ventre me fis gémir, il était hors de question d'abandonner maintenant, j'y étais presque. Je m'engouffrai dans une petite épicerie et me fondis dans la foule. Une voix masculine au dessus de mon épaule me fis sursauter. Je me retournai prudemment découvrant un homme du quarantaine d'années. Il mis un doigt sur ses lèvres m'intimant de me taire.
«Tu veux lui échapper n'est-ce pas ? Passe par cette porte, elle te mènera à la sortie.»

Je regardai dans la direction qu'il m'indiquait le remercia d'un hochement de tête et me sortis, passant à quatre pattes derrière le comptoir. La brise glacé caressa ma peau, je soupirai de soulagement. J'avais réussi.

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PDV externe :

Le claquement d'une porte se fit entendre. La jeune fille baissa ses yeux bouffis et posa une main sur son bas ventre. Une voix rugissante d'homme se fit entendre, elle se mit à courir, traversa la grande cour et sorti de chez elle.

Des cris se firent entendre, elle sembla les ignorer. Ceux ci je rapprochèrent et elle accéléra, couru le plus vite que possible essuyant les larmes qui dévalaient ses joues des paumes de ses mains. Elle sanglotait, cela se voyais, les gens tournaient la tête sur son passage et ses cheveux châtains volaient au vent.

Elle s'engouffra dans une petite épicerie et se fondit dans la foule, un homme d'une quarantaine d'années se pencha au dessus de son épaule et parla d'une voix grave qui la fit sursauter. Elle se tourna vers lui. Il passa un doigts sur ses lèvres lui intimant de se taire.
«Tu veux lui échapper n'est-ce pas ? Passe par cette porte, elle te mènera à la sortie.»

La jeune fille regarda dans la direction qu'il lui montrait, le remercia d'un hochement de tête et se dirigea, à quatre pattes vers la sortie.
L'air frais remplaça bientôt l'air conditionné du petit commerce. Elle avait réussi.

Voilà !

Ce que j'ai écris, je ne le vis pas (juste au cas où hein), je l'ai inventé.

Y a pas eu de relecture... (C'est un test oh !)

Enfin, dites moi ici en écrivant 1, 2 ou 3 en com svp...

Merciii !

KISSOU !