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Je me réveillai un peu plus tard, en aillant mal à la tête et ne pouvant plus bouger. Mon cauchemar recommençait-il ? J'avais peur, je paniquais, je ne savais plus quoi faire. Je ne voyais rien et lorsque j'essayais de parler aucun son ou peu parvenait à sortir. On retira le bandeau qui m'empêchait de voir et lorsque je vis où j'étais, mon cœur manqua de s'arrêter : j'étais attachée aux 4 pieds d'un lit. La personne qui m'avait arraché mon bandeau, n'était autre que Maurice Cole ! Ce malade mental m'avait kidnappée, emmenée ici dans les sous-sols de la bibliothèque et attachée de cette manière !

" Je suis sûre qu'il n'était pas seul pour le faire, il est bien trop faible pour me porter ou même me traîner, il a sûrement des larbins qui l'ont aidé ou fait à sa place. " me dis-je.

" Alors, tu t'es ENFIN réveillée ! me dit Cole sarcastiquement.

_ ...

_ Ah, oui... ces vrai tu ne pourras pas me répondre. Détachez-lui le bâillon. et un des garçons qui était sur les côté du lit s'avança et détacha mon bâillon.

_ Fua... Tu ne t'en sortiras pas indemne Maurice ! lui lançai-je furieuse.

_ Hahaha !!! tu crois sérieusement que j'ai peur d'une fille ! Laide qui plus est ! Je sais TOUT, je t'ai vue avec ''cet homme '', c'était d'un ringard en plus ! me dit-il fier de sa découverte.

_ Et alors, tu crois que j'ai également peur de toi ? Tu n'appartiens qu'à la petite bourgeoisie je te le rappelle ! rétorquai-je.

_ Tu... Tu crois que tes menaces m'effraies, tu crois m'impressionner ? Et puis tu as du culot d'oser me répondre, te souviens-tu de la situation dans laquelle tu te trouves ? me lança-t-il.

_ Pff! Tu crois qu'être les poings et pieds liés à un lit m'effraies ? (même si j'avoue que j'ai un peu peur, je suis comme paralysée depuis que je sais dans quoi je me trouve... ).

_ Bon, ... assez bavardé. Passons à la liste des choses laides qui constituent cette femme: c'est d'un ringard les dessins sur les ongles tu sais, et surtout se qui est VRAIMENT laid sur toi c'est tes cheveux longs. me dit-il tout en approchant un paire ciseaux avec laquelle il jouait depuis le début de sa liste, en direction de mes cheveux.

_ Ah oui ?! Et c'est toi qui fait la mode mocheté peut-être ? Tu n'es qu'un lâche doublé d'un faignant ! lui envoyais-je, et rien qu'au rictus que fit son sourcil je savais que je l'avais eu: je l'avais atteint !

_ Tu vas voir si je suis faible ! Prends ça ! il m'assigna un coup dans le ventre ainsi qu'un coup de poing au visage ce qui me coupa la lèvre inférieure et le sourcil mais lui découvrit que j'avais le crâne dur, lui serra sa main: il s'était fait mal.

_ Aaah!! criai-je de douleur. C'est tous ce dont tu es capable ? rétorquai-je d'un tons moqueur.

_ Tu en redemande ? Prends ça sale garce ! Et tu oses me traiter de mocheté ! il me coupa la queue de cheval que j'avais tout en s'emparant du ruban qui la tenait maintenant coupée.  Tu ne ressemble plus à rien ! Tu était déjà laide avant mais là tu atteints des sommets ! il attacha mon ruban à la place de sa cravate.

_ Et alors ? Je ne veux en aucun cas te ressembler LAI... DE... RON !

_ TENEZ-LA!!! hurla-t-il à ses sbires qui se ruèrent tous sur moi en m'arrachant mes vêtements. Bien maintenant après ça tu ne broncheras plus après!"

Celui-ci défit son pantalon ainsi que sa veste et il s'approchait de moi jusque là tout allait bien, mais lorsque Maurice toucha la peau de ma cuisse... Je me suis rappelée... Je me suis rappelée se qu'il c'était passé il y a 5 ans, ce que ces hommes et femmes m'ont fait faire et se qu'ils m'ont fait. Je commence à me débattre, puis un des garçons qui me tenait me donna un coup au visage sans que je perde connaissance pour autant. Je ne comprenais plus ce qu'il m'arrivait: au lieu de hurler pour me débarrasser de mes agresseurs aucun son ne sortis de ma bouche. 

Maurice sortis son pénis en érection et l'introduisit en moi, à ce moment là je gémissais, je n'avais pas mal, j'en voulant même plus ! Une partie de moi qui sommeillait depuis 5 ans c'était réveillée. Je ressemblais à un pantin vide de toute vie qui ne désirait qu'une seule chose: coucher, être remplie ! Voyant que je devenais plus que docile, les sbires de Maurice me détachèrent et me faisaient les branler ou les sucer à tour de rôle. Pendant ce temps Maurice Cole était toujours en train de me prendre sans me combler, il ne satisfaisait pas mon corps qui lui demandait plus de violence. Puis il jouit et se retira pour laisser la place à l'un de ses sbires puis il quitta la pièce en ricanant comme satisfait. Mon agression dura jusqu'au petit matin, entre temps j'ai perdu connaissance et je me suis effondrée sur le lit couverte de spermes et remplis de la semence de mes agresseurs.

Je me réveillai une nouvelle fois, je pouvais bouger. Un son métallique me signala que j'étais juste attachée à  la cheville par une chaine. Je vis que sur le sol était posée une bassine avec de l'eau et une serviette. Quand je saisi la bassine, j'entendis un bruit venant des escaliers:

"Qui est là ?

_ Je... Excuse-moi, je ... Cole m'a dit de venir ici surveiller. mon interlocuteur s'approchait de moi sortant de sa cachette.

_ Qui es-tu ? demandai-je agressivement, tout en cachant mon corps avec un drap trouvé sur le lit n'ayant plus de vêtements pour me cacher.

_ Je... Je m'appelle Johanne Harcourt, je ... je suis membre de la Red House.

_ C'est toi qui m'a amené cette bassine ? demandai-je plus calmement, je voyais bien qu'il ne me ferait rien et que je l'effrayait.

_ Oui, et je suis aussi aller vous cherchez des vêtements de rechanges, tenez ! il me tendait des vêtements que lui avait sûrement donné Maurice.

_ Merci, pardonnes mon impolitesse d'avant, je ne voulais pas te faire peur. Oh fait! je ne me suis pas présentée, je suis Angela Phantomhive, ravis de te connaître Johanne Harcourt ! lui dis-je avec une tentative de sourire.

_ Enchanté! me répondit-il avec un grand sourire comme rassuré. Puis-je vous posez une question Miss Phantomhive ?

_ Tu peux me tutoyer tu sais !

_ Ah euh... Je peux te poser un question alors ?

_ Bien sûre !