Chapitre 1: Ma vengeance sera Terrible

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Fait-il jour encore ?
Oui. La lumière du soleil ne l'atteignait pas. Il faisait toujours très sombre autour de lui. Comme pour lui refuser l'accès à la joie de pouvoir distinguer des couleurs.

Je pensais que c'était normal, rien d'affolant... Du moins j'essayais de m'en co vaincre. Mais les médecins et ma famille m'ont vite averti, que...

c'était parce que j'étais aveugle.

Aveugle, depuis ma naissance. J'étais surpris, au début ou bien terrifié je pense. Mais bon, qui ne serait pas surpris quand on t'apprend du jour au lendemain que tu es aveugle, et que les autres non...

Je ne vais pas passer par je ne sais quel philosophie mais,

Quand on vient au monde, on gobe vraiment tout ce que les gens pourraient nous dire, ou nous faire croire ahah.
l'ignorance cause notre perte.

Oui. On ne me l'avait pas dit tout de suite. Ce n'était qu'à l'âge de cinq que j'ai su mon cas. Ils pensaient qu'un enfant n'avait pas besoin de connaître la vérité, il n'y comprendrait rien disaient-ils.
Ils ne savaient juste pas comment me l'annoncer, ça crevait les yeux.

Et je me doutais bien que quelque chose clochait...

Chaque fois que quelqu'un décrivait quelque chose, il le fit d'une telle précision que je me demandais si je n'étais juste handicapé.

Mais pourquoi suis-je le seul à ne rien voir ? Il y avait comme un gouffre qui me séparait d'eux, « des voyants ».

Ces yeux était comme une malédiction, on ne pouvait rien y faire.

Je voulais crier, hurler, pleurer, mais cela n'allait guère changer...ce que je suis.
De ce fait, je me suis rapidement habitué à ma faible constitution du garçon de dix ans que j'étais.

Après avoir accepté le fait d'être aveugle. On m'a interdit beaucoup de chose. D'activé physique par exemple, ou même de simples mouvements.
Cela ne m'enchantais pas. Mais je m'y suis résolus à devoir renoncer une par une au chose que j'aime.

A commencé par le sport, l'art, l'écriture, le dessin, la conduite, me déplacer vite, l'école, les clubs, le piano, la chasse, la danse, la cuisine, les voyages, le théâtre, le cinéma...

On m'interdisait tellement de chose que vivre était épuisant et lassant, mais je ne pouvais pas le dire car je devais vivre pour eux: ma famille, mes amis...

Les personnes de mon entourage avaient peur que je me blesse car la responsabilité ne faisait pas partie de leur principe... De la pitié exorbitante se lisait dans leur voix ! Mais je savais que leur vrai peur était d'être accusé de violenter une personne aveugle. Quel bande d'hypocrite !

Mais je pensais que toute ces activités n'étaient pas importantes du moment que ma famille et mes amis m'aimaient et me soutenaient.

C'était la raison que je me suis trouvé. j'ai bien voulus tout endurer pour eux car je n'avais qu'eux : Ma précieuse famille...

J'étais bien naïf à l'époque. Je ne pensais pas que cette situation était tant ridicule que superficiel...

La raison de tel propos était liée au événement d'il y a quelques jours.

En peu de temps « un mal béni » comme on l'a décrit, était apparu sur terre, dans les terres reculées d'Asie : le Japon.

La population japonaise avait développé des pouvoirs aussi bien magiques que surnaturels.

Cette maladie s'est propagée très vite comme une épidémie, mais elle n'en était que bénéfique comme pouvait l'assurer le gouvernement.

Tout le monde était touchés, enfin presque, les personnes qui en sont immunisées se nommaient les « mubyos ». Ce n'est qu'une poignée d'individu ayant survécus au drame. J'en faisais parti.

Au lieu de considérer ces symptômes dangereux, le gouvernement en a décidé autrement... Ils disaient que c'était une bénédiction des dieux et qu'il fallait la préserver!

La société s'est vite adapté au étrange pouvoir de la population. L'évêque fit citer :
Quoi de mieux pour cultiver ce pouvoir que d'installer un camp d'entrainement.

Elle avait pour fonction de faire des expériences afin de mieux comprendre ce pouvoir inconnu et de mieux l'entraîner !

Ce camp d'entraînement devenait rapidement un centre de recherche d'étranges pouvoirs. Bien sûr, les sujets étaient bien payés et supervisés par le chef gouvernemental lui-même.
Gagner de l'argent simplement en montrant un peu de pouvoir était le moyen le plus rapide de s'enrichirent. C'était un bon business.

Tout le monde était acceptés et ce moyen se basait sur le simple volontariat.

Elle était accessible à tous sauf pour les personnes qui ne sont pas contaminés par cette maladie, c'est ainsi dire: moi.

Mes proches m'ont peu à peu tourné le dos, me disant des « je t'aime Asaki porte toi bien ». Ou encore des « je deviendrais fort pour toi mon amis » et des « je ne t'abandonnerais jamais».

Ces promesses et belles paroles ne valaient moins que du caca de cheval. En peu de temps leur mentalité avait changé du tout au tout.

Personne ne survit à la loi du plus fort.

Je me suis senti trahi et insulté ! Ma vie avait-il si peu de valeur à vos yeux? Je ne suis pas un petit faible... Je suis humain! Pourquoi je devrais être différent !

A présent, c'est comme si je vivais avec des inconnus. Ils ne me parlaient que si cela était nécessaire. La solitude me gagnait, elle me rendait fou !

Qui voudrait s'occuper d'un aveugle quand chacun risque sa vie tous les jours ? Me disait mes amis.

C'est la cruauté de l'humanité...

Il fallait être fort pour être respecté
Il fallait être fort pour vivre

Il fallait être fort pour être heureux

Je restais enfermé dans ma chambre, attendant que quelqu'un me sauve, je n'avais rien pour moi.
Tic. Tac. Tic. Tac...toc.

Tout lui avait été enlevé dès sa naissance. Rien ne pourrait lui faire retourner en arrière. C'est comme ça qu'il se voyait maintenant. Il se voyait comme un animal qu'on avait lâchement abandonné dans une chambre. De ce fait la nourriture se faisait rare

La volonté de survivre l'avait abandonné.

Ces jours où l'on renie même sa propre identité, c'était ce jour.

Tout cela parce qu'il n'avait pas ce pouvoir. Il le voulait cette maladie !
...

Le temps passait, il avait maintenant bien grandi, dix-sept ans pour être exact. Il continuait de faire sombre dans cette pièce.

Mon corps de lâche ne m'avait pas abandonné pour autant, c'est bien le seul qui soit resté avec moi... Je mangeais (en volant) et je vivais (en me cachant) mais rien n'avait de sens... où suis-je censé trouver la force de me relever ?

j'ai eu le temps de bien réfléchir à ma vie. Longtemps. Et, j'ai enfin trouvé cette raison qui me disait de vivre.

Peu à peu ce manque dans mon cœur qui germait me criait de sortir, de me déchaîner et de me venger de tous ceux qui m'aurait harcelé.

Ce vide était devenu ma force !

Les « gens » que je considérais comme mes amis ce sont joués de moi pour montrer leur force et leur supériorité. Ce n'était pas du harcèlement libre mais réglementé, on y avait droit quand on est fort. C'était un privilège qu'il fallait gagner.

Ma famille était restée silencieuse; disant que ce n'était rien qu'un jeu ! Ils ont fermés les yeux sur ce qui avait de plus important pour un humain: La liberté...

Je ne pouvais pas décrire l'intense douleur qui me parcourait rien que d'y penser, elle m'empoignait et me donnait la rage de me tenir encore debout. De me relever quand je tombe.

Cette raison je l'ai trouvé seul. Si rien ne change je le ferai changer !

J'ai enduré ces moments pour pouvoir espérer m'échapper... et me venger !

À ma majorité, mes parents avaient jugé que j'étais apte à explorer le monde. À découvrir la nature comme mon père le disait. Mais... je comprends bien que ce n'était qu'une prétexte pour se débarrasser gentiment, de moi.

On m'a alors dit ce jour là de partir. Je n'ai pas eu le temps d'enfiler quoi que ce soit, ni de prendre quelque chose. J'étais obsédé par cette porte qui me séparait du reste du monde.

Je me suis alors enfuis, j'ai couru plus vite que n'importe qui, peu importe la douleur de tomber, de m'écorcher, de m'écraser, j'étais à présent prêt à préparer ma vengeance.

Mon corps n'allait pas tenir longtemps, car j'avais tellement maigri que mes os se dessinait sur mes omoplates.

Je faisais bien attention à m'éloigner le plus vite et le plus loin de cette maison.

J'ai erré longtemps dans les espaces verts et les verdures à perte de vue. Le seul avantage que j'en tire, c'était ses fruits qui étaient plus délicieux que ce que je volais... heu... je veux dire ce qu'on m'apportait.

La nature avait reprit ces droits car la magie remplaçait la technologie. Huit ans maintenant que la magie existe, huit ans que je veux me venger.

Vous me demanderez comment le savais-je? Je le savais juste. Je ne voyais peut-être rien mais je sentais, j'entendais et je pouvais encore toucher !
En ajoutant, ma compréhension facilité de mon environnement: rien ne m'échappait. Il était facile par la suite de comprendre le monde qui m'entourait

Je ferais tout pour me venger quitte à sacrifier mon temps...

J'attendrai patiemment le moment où je pourrai retourner là d'où je viens, pour leur faire regretter d'être né.

Mais avant ça, je dois m'entraîner.

À suivre...( devenue la marque de fabrique de miyaru-sensei xD )

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Je crois que j'ai fais le tour, j'espère que ce début de récit ( qui aura du BL en modération xD par la suite ahah ) vous a plus.
Et que c'était pas très lassant... 😅

Pour l'occasion je tags des personnes pour le premier chapitre ! ^^ (ou ceux susceptible d'aimer)

_-Sally18-_
Elotakette
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Eien-no-runesansu
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nemomoumoune59

Miyaru-sensei ❤️

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