Le début de la dernière heure

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Les bottes en cuirs de Thomas tapait le sol d'un bruit sourd. Il se trouva devant l'immeuble du fameux chef des rebelles avec ses hommes. Il allait être boucler, il allait enfin se faire fusiller !

Quelques mois auparavant

Ben leva les bras au dessus de sa tête douloureusement. Le commissaire demanda à ses hommes de baisser leurs armes après avoir menotté le brun.

Thomas fit assoir le jeun homme en face de lui et croisa les bras.

- Que viens faire notre chère petite traîné de Benjamin ici ?

Ben regarda un moment le crâne bander de l'homme avec un sourire en coin.

- Je veux rejoindre les forces spéciales, il se leva en posant ses menottes détaché sur la table. Réfléchis Thom'... Tu pourrais avoir de ton côté, une personne ayant côtoyé de très près le chef des rebelles. Alors qu'en dit tu ?

Le quinquagénaire fixa les menottes silencieusement avant de jetter une arme sur la table les séparent.

- Si tu mens tu moi directement ! De toute façon mon boss me tueras quand il saura que je fais confiance à un traître... Quelles sont tes conditions ?

- Un escadron, un droit inaliénable de donner des ordres à TOUT les personnes sachant tenir une arme, un logis sur et de la teinture à cheveux.

Thomas leva un sourcil interrogateur avant de demander à sa secrétaire d'emmener Ben dans la suite la plus luxueuse du centre ville. Avant de la suivre, Ben se retourna à l'intention de son aîné.

- Je te promets que tu ne mourras pas avant de voir le sangs du Jun salir tes bottes.

Deux mois plus tard, Ben se battait contre Thomas en entraînement. Sa nouvelle teinture lui avait teint les cheveux d'un blond pâle. Et ,ayant oublié sa paire de lunettes chez Jun, il portait des lentilles de contact de couleurs.

- Je dois avouer que se style te vas mieux, dit le professeur en faisant un crochet du droit à son nouvel élève. Bien qu'il accentue ton aspect rebel !

Ben essuya le sangs qu'il avait sur ses mains d'un air furieux. Le vieux semblait le mettre à terre trop facilement et ça l' enrageait !

- Jun est bien plus fort que moi alors il faut te réveiller ! En corps à corps avec lui, même ton intelligence ne t'aidera pas !

Ben se releva en enchaînant coup de poing et de pieds que Thomas évita sans trop de peine.

- Le... corps à corps n'est pas prévu, dit Ben essouffler. Je n'ai pas l'intention de me battre contre lui.

- Alors pourquoi m'avoir demandé de t'entraîner ?, demanda l'ancien militaire.

Dans se moment d'inattention, Ben plaqua l'homme a terre et sortie une arme de sa ceinture et la posa sur le crâne dégarni du policier.

- Pour passer le temps. Je viens à peine de partir, attaquer maintenant serait trop prévisible.

Il se lava en rendant l'arme à son propriétaire avant de s'éloigner.

- Où vas tu ?, questionna le professeur en se massant l'épaule.

- Je vais m'assurer que les derniers détails sont près.

Ben sentis à peine quelqu'un derrière lui, qu'on le prit par l'épaule et le plaqua au mur. Le blond sourit gentiment à son ancienne amie.

- Harley, comment ça vas ?

La rebelle lâcha le traître dans un geste de rage. Lui qui avait été son mentor, son ami et son frère les avait trahie !

- NE ME PARLE PAS COMME SI J'ÉTAIS TON AMIE !

Ben s'assit sur le sol froid de l'entrepôt.

- Excuse moi, dit il sans se défaire de son sourire. Comment va Jun ?

- Il est dévasté !, mentit la jeune blonde. Ton départ la beaucoup affecté ! Il ne sort plus de la tour ! BORDEL MAIS OÙ ÉTAIS TU !

Ben se leva rapidement et prit le cou fin de la blonde entre ses doigts.

- Ne me ment pas, son regard s'assombrit. Je sais très bien que tu as prit place dans mon lit et qu'un autre a prit ma place autour de son membre. Tout se que je veux savoir, c'est les activités des rebelles en se moment.

Harley essaya de se débattre mais l'emprise de son frère était trop forte.

- Parle, rajouta il en la laissant glisser au sol. Parle où je t' obligerais à parler.

- Tu ne ferais jamais de mal à ta soeur, dit la blonde trop sur d'elle.

Pour seule réaction, il tira une balle à quelque centimètres de la femme. Son oreilles sifflait et une vive douleur attaquait son tympan.

- D'ACCORD D'ACCORD !!!, elle posa ses mains sur sa tête en pleurant. Le groupe de Ken se dirigera vers la grande cité se soir vers minuit pendant que celle de Klein va vers la frontière !

- Et Jun ?

- Lui et son groupe reste à l'immeuble ! Ils... ils espèrent un jour te revoir ?, tenta la rebelle désespéré.

- Ne me ment pas, répéta le plus âgé en tirant dans la cuisse de sa cadette. Pourquoi restent ils seuls dans l'immeuble ?

- Il.... aaah... ils veulent.... prendre contact avec... avec les rebelles japonais pour... pour avoir de nouvelles armes... il leur faudra au moins une semaine pour.... se connecter au réseau japonais... S'il te plaît... laisse moi partir...

Le regard glacial de son frère fit s'envoler dans les aires son derniers espoirs de rédemption. Elle partit alors d'un rire roque fasse à sa mort et elle hurla des phrases comme «Tu n'es qu'une pute !», «Je porte en moi l'enfant de Jun !»,«Que le diable ait pitié de toi !». Elle leva ses mains pleines de sangs vers le canons de son frère les yeux rouges et avec un sourire de folle. Un sourire qui disparu sous le bruit sourd d'une balle.

Ben espéra de tout coeur, que leurs enfant ait droit au pardon et qu'il ne suive pas sa mère dans les ténèbres.

Plus tard dans la nuit, une dizaine de rebelles furent abattus à l'entrée de la grande citée pendant que d'autre se faisait arrêté à la frontière. Et tout ça se faisait dans un silence profond.

L'escadron de Ben se préparait tranquillement dans le centre tendit que Thomas cherchait le blond dans tout le commissariat. Il dut interpelé un officier de la troupe pour savoir de Benjamin c'était rendus en éclaireur dans l'immeuble vêtu de la même façon qu'à son arrivée. En sweat shirt et sans armes.

Les baskets de Ben glissèrent sur le sol alors qu'il se faisait percutée par le poing d'un des rebelles.

- Traître ! Que viens tu faire ?!

- Dans mon souvenir, tu était plus doux, siffla Ben en se massant la joue.

- Dans mes souvenirs tu ne trahirais jamais Jun !

Un silence se fit entendre quand la porte d'un appartement s'ouvrit soudainement sur les cheveux rouges de Jun.

- Où est elle ? Je sais que tu étais avec elle, où est elle ?


Le regard bestial du roux fit légèrement frémir Ben. Ce dernier se leva doucement et plomba le crâne du rebelles dans un rire.

- Ça fait longtemps...

Jun laissa Ben entré dans la chambre sans rien dire et le suivit de près. Jun s'assit à son bureau la main sur son front en essayant d'oublier sa migraine.

- Le sida t' aurait il enfin eus à l'usure ?, ricana le blond en s'asseyant sur le bureau en face du roux. Je plaisante ! Tu n'as pas le rire facile aujourd'hui.

- Non, il est vrais que la disparition précipiter de Harley mets rendus de mauvaise humeur.

Jun caressa doucement la cuisse de Ben avant de poser la tête sur son torse dans une étreinte. Ben mit ses jambes autour du dos de Jun en lui caressant les cheveux.

- T'es nouveau tatouage te vont bien, le complimenta il en soulevant doucement la chemise de l'aîné.

- Je te retourne le compliment avec ta nouvelle couleur, dit Jun en lui caressant le dos. 

Ben poussa la chaise de son ancien amant en arrière et descendit du bureau. Il l'embrasse fougueusement et lorsqu'ils se détachèrent, les mains de Jun était lier par une paires de menotte.

- Que fais tu ?

- Disons, que j'ai une heure avant que tu ne te fasse tuer.

À suivre dans le dernier chapitre...

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