Parce que tu es le pire

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Vous l'attendiez, vous le demandiez, vous le réclamez et il est la : LE LEMON. Mais il faidra le métier car il n'arrivera pas au début de l'histoire mouhahah !🔞😜

(Par contre c'est possible qu'il soit plutôt wala car je suis rouillé côté lemon ahah... 🔞🔞🔞)

Jérémie attacha encore une fois un bandage autour de ses poignets. Ses bandages étaient à la fois la preuve qu'il était en vie et celle qu'il avait échoué.

Il tira un sweat en soupirant. Il s'entraîna à sourire devant son miroir avant de prendre son sac pour partir. À peine eût il ouvert la porte, une voix pleine d'innocence le fit sursauter. Alex arrivait tout souriant de sa chambre d'étudiant.

- Un sweat ?, demanda il en pinçant le bras de son ami. Le mois de mai et trop frais pour toi ?! Tu changeras jamais ! Tiens je t'ai fais ton déjeuner.

Jérémie tapa doucement l'épaule du garçon sans rien répondre et prit le petit cornet. Il se sentait épuisé. Il avait avalé une boîte de somnifère avec une phrase qui passait en boucle dans sa tête : «Si je me réveille, je dis tout à Alex». Et il c'était réveillé ce matin sans arrivé à bouger ses jambes anesthésiées. Ses plaies aux poignets c'étaient remise à saigné pendant son sommeil et ses bandage commençaient déjà à se tâcher de sangs.

Après le premier cours, il se dirigea vers l'infirmerie avec pour unique bute, dormir. Que ses plaies s' infectent et le tue, c'est ce qu'il cherchait de toute manière. Dans un livre de français, il avait lu «L'on ne peut cauchemarder que du passé car il forge nos peur pour le futur». Cette phrase lui allait comme un gant.

Sous les menaces et les coups qu'on lui avait infligé, il avit une peur panique d'échouer. Et cette peur habituellement passagère était devenu symptomatique. Il vivait pour essayer de mourir. Il ne savait pas quoi faire d'autre. Vivre se résumait à tourné en rond à prévoir un futur que l'on ne vivra jamais.

Il croqua dans la tartelette au fromage que lui avait fait Alex. Ça c'était un ami. Il lui faisait souvent à manger et prenait sa fatigue permanente pour un manque de vitamine, de fer et de toute autre chose indispensable à la survie. Il était la seule chose qui faisait hésité Jérémie lorsqu'il tenait une boîte de pilules. Alex serait anéantie !

Il retira son sweat et le posa sur le siège de l'infirmière. Ses cuisses collaient à son short tant il avait chaud. Il chercha les sparadraps dans le tiroir numéro deux à gauche et couvra ses plaies. Il se mit sur la pointe des pieds en essayant d'attraper des calmants assez puissant pour le faire basculer dans l'autre monde si il les finissaient. Une vague de nausée le prit soudainement et il vomi entièreté de son estomac dans les toilettes de l'infirmerie.

Il regarda des reste de comprimés et de fromage tourné dans cuvette avant de disparaître. Tout son travail emporter dans des toilettes...

Il se gratta le bras et sentis une petite piqûre. Un trou minuscule faisait un point rouge sur sa peau. Il devait écrire dans son journal que certes, la drogue apaise, mais elle ne te donne pas le courage de te tuer.

Il essaya son visage et sortie des toilettes. Alex était assis et jetait ses tartelettes à la poubelle. Il se retourna en avançant. Il prit violement les poignets de son camarade entre ses mains et souleva un gros sparadrap. Des lignes régulières plus où moins ressentes se dessinaient sur la peau de Jérémie.

- Je le savais, murmura le garçon aux mèches bleus.

- T'as mis quoi dans ses tartelettes, Alex ?

- De quoi te faire cracher tes somnifères, répondit il.

Alex poussa Jérémie sur le brancard et enleva ses pansements. Il chercha le désinfectant et soigna chaque plaies de son ami jusqu'à celle de ses genoux. Il passa son regard sur le bras du brun et tomba sur la piqûre encore rouge. Dans un bruit de fureur, il ouvrit à l'aide de ses deux doigts l'oeil de Jérémie. Il avait les yeux rouges et dilaté. Il était un peut chaud et étrangement lunatique.

- Si je le pouvais je t'en foutrais une !

- Pourquoi tu ne le fais pas ?, demanda le brun en jouant avec le col du bleu.

- Parce que je ne tape pas les gens que j'aime.

Jérémie arrêta de déboutonner le polo de Alex et leva des yeux étonné vers lui. Alex lui prit la main en soupirant.

- J'aimerais bien te dire que tu vas t'en sortir et que ça serre à rien de vouloir crever, mais se serait te mentir. T'as jamais été un gars déterminé, tu choisis toujours la facilité.

- Tu crois que c'est facile de passé à l'acte ?,répliqua le garçon sur un ton colérique.

- Non, je dis juste que bouffer des boîtes entières de pilules tout en voyant que ça ne t'aide pas devient une habitude. Tu as probablement tes raisons mais te piquer et voler l'infirmière ? Vraiment ?

- Tu me fais la leçon contre le suicide où contre le vol ?

- Contre la bêtise ! Essaye de crever si tu veux mais si t'y arrive pas réessayé pas et viens me parler. Parce que moi je tiens à toi et si jamais tu te crève un rein et que tu cherches un donneur saches que je suis prêt à m'ouvrir moi même pour te donner ce dont tu as besoin ! Alors crever oui, mais crever en sachant que tu entraîne des gens avec toi c'est mieux. Calculateur comme tu es tu n'as pas di pensé assez profondément à l'impact que ça aurait sur moi. Je t'aime et même si tu fais le désintéressée, je sais que c'est réciproque. J'te connais depuis nos trois ans. Alors fait en sorte que je n'ai pas à te donner ma vie. D'accord ?

Jérémie était bouche bée. À la fois parce que la drogue commençait à se dissiper, et parce que Alex venait de lui envoyer une tonne d'information à la figure.

- D'accord, répondit le brun. Mais saches que je suis plus un fasciné du suicide qu'un suicidaire. Comme Dazai dans bungou stray dogs... ou un truc du genre. Si je meurs je meurs mais si non on réessaye.

- Tu es un masochiste, dit sèchement Alex.

Le brun tira le garçon par le col et le regarda dans les yeux.

- Je suis le pire.

Alex se dégagea et referma son polo. Jérémie n'a jamais été se que l'on appelait une bonne fréquentation. Bagarre de rue, implication dans divers vol à l'étalage, arrestation et garde à vu, il avait tout fais. Il n'avait arrêté que quand il avait compris que les prisonniers n'étaient normalement ni torturé ni tué.

Le soir même, Alex entra précipitamment dans un hôpital à quelque rue de l'école. Une femme l'y attendait.

- Nous avons contacter les parents de Jérémie Miller mais ils nous on envoyé vers vous, dit elle un peut perdu.

- Je suis celui qui s'occupe de lui sur place. Où est il ?

Les pas du bleus ont résonné dans le couloir. Pas des pas inquiet allant au chevet de son amour, des pas engagé capable de faire fuir un lion roi des animaux. Alex entra dans la pièce et tomba nez à nez avec un médecin il laissa sa fureur de côté et salua l'homme.

- Le psychologue vient de partir et m'a demandé de vous communiquer ceci : « Ne t'énerve pas contre lui, pour une fois c'est le bus qui lui est passé dessus et pas lui qui a sauté dessous. Pardonne lui, c'est un malchanceux masochiste».

L'homme le salua et partie comme si le.message qu'il venait de communiquer était normal. Jérémie était affalé sur son lit à marmonner.

- Pourquoi monde ? Pourquoi même quand j'essaye de ne pas me faire mal tu fais le contraire de se que je veux ? Pourquoi quand je saute sous le bus ça marche pas et le jour où j'le fais pas il me percute ! Ô monde cruelle pourquoi ne veux tu pas me laisser soit vivant soit mort et non entre les deux. Aucune fracture mais des fêlures et des bleus ! Quelle déshonneur !

Alex toussa et Jérémie baissa la tête. Il avait les bras levé vers le plafond et lui sourit de toute ses dents.

- Remets toi vite ou l'assurance arrêtera de couvrir les frais d'hôpital, dit simplement Alex en regardant les pansements du brun. C'est bien, tu ne les as pas arraché cette fois. Je n'aurais pas besoin de faire.l'infirmière...

Jérémie ria et déchira le bandage sur son bras.

- J'ai toujours été adepte du fantasme de l'infirmière, dit il en se m'étant dans une position subjective. Aller viens me soigner.

Alex était sortie de l'hôpital avec Jérémie une semaine plus tard.

- J'ai toujours pas eut mon fantasme, roucoula le brun.

Alex leva les yeux au ciel et donna un coup à l'arrière des genoux du blessé qui manqua de tomber à genoux.

- Était ce nécessaire de me frapper ?

- Ce qui ne te tue pas te rends plus fort.

- C'est peut être pour ça que je n'arrive pas à mourir...

Le bleu ne dit rien et avança simplement.

- C'est bon, Jérémie prit Alex par la taille. J'ai promis que je n'allais pas faire de tentative de suicide intentionnelle. 

Pour la première fois, Alex laissa le garçon l'embrasser sans résistance. Les mains de Jérémie passèrent sous son jeans et il le calma d'un coup de coude dans le ventre. Le brun c'est plié en deux. Sa cote fêlé, sa si précieuse cote fêlé...

Les mois qui suivirent furent infernaux. Jérémie se prit un bus, se fit renverser de l'eau bouillante dans un restaurant, se fit poussé d'un pont alors qu'il regardait la vue avec Alex, se cassa la jambe lors du camps de ski et se fit assommé par une balle lors du festival sportif de l'école.

Alex se prit la tête entre les mains frustré. Jérémie le regarda depuis le salon. Pour plus de sécurité, ils avaient décidé de faire apparemment commun.

- J'ai l'impression que moins tu tentes de crever plus le monde veut que tu crèves...

- Je t'aurais bien proposé de coucher ensemble, taquina Jérémie, mais j'arriverai à me casser le sexe.

Le brun frissonna devant cette idée.

- Quelle horreur, lâcha il. Ça doit faire un mal de chien !, il roula sur le dos en laissant sa jambe pendre du canapé.

Jérémie laissa échapper un cri de surprise alors que Alex s'était assis sur son bassin. Il leva un sourcil vers lui.

- Que me vaut ENFIN cette honneur ?

- Je n'ai pas envie que tu meurs sans qu'on ait couché ensemble...

- Demandé aussi gentiment, murmura Jérémie, je ne peux que te demander une chose : Dis moi que tu m'aimes.

- Quoi ?!

Alex se leva un peut effrayer par le ton et le regard pervers de Jérémie. Ce dernier se le va prêt à bondir. Alex avait oublié qu'il était un pervers masochiste à tendance psychopathe.

Jérémie regarda son camarade tenter de se réfugier à la douche mais réussi à s'y glisser avec lui. Alex avait retrouvé ses cheveux clairs naturels et des joues rouges. En éternelle malchanceux, Jérémie tomba sur Alex qui  rentra dans la cabine de douche.

L'eau coula sir Jérémie qui se tapota la cuisse à genoux.

- Ô monde cruel même dans un moment pareil tu me mets à genoux...

Alex prit le visage de Jérémie dans sa main et il fronça les sourcils.

- Tu commences vraiment à me faire peur...

Jérémie le regarda sans un mot comme si il cherchait à comprendre le sens de cette phrase ambiguë à ses yeux.

Dans un mouvement terriblement serein, le brun défi le jeans du blond qui trembla. Il prit les cheveux du brun dans sa main et lui tira la tête un arrière.

- Que... Que fais-tu crétin ?

- Dis que tu m'aimes.

En même temps qu'il répéta cette phrase, il sortit la verge dressé de Alex de son antre. Le blond bascula la tête en arrière en posant le.dos de sa main contre ses lèvres. Le brun qui était toujours contraint à garder la tête lever, commença des mouvements d'aller retour. Agacé par la prise qu'avait Alex sur lui, Jérémie ralentit le rythme à son maximum. Il avait une bonne prise et serrait bien le membre dans sa main, mais ses mouvements était horriblement lents.

Alex le lâchait pour appuyés contre la paroi vitrée. L'eau coulait sur son visage tendit que Jérémie commençait à accélérer. Cette emprise ferme et ses mouvements rendait toute opposition inutile tant Alex tremblait sous chaque caresse.

Le brun s'avança vers le membre. Il bloqua de son pouce le bout du gland empêchant une parfaite éjaculation. Il posa son autre main sur le ventre de Alex et lécha le membre gonflé dans toute sa longueur.

- Merde, lâcha Alex en se mordant la main. Qu'est ce que t'es en train de foutre...

- Dis moi je t'aime.

- Arrête putain !

Jérémie prit en bouche toute la verge afin de le faire taire. Il suça doucement et se retira lorsque le membre commença à dégonfler. Il bloqua fermement l' éjaculation du blond qui semblait en souffrir.

- Je..., le plus petit alta, je t'aime...

Il se releva en m'étant la tête de Alex dans le creux de son épaule et dans un mouvement de poignet, il laissa le blond se vider dans sa main.

Alex prit appui sur le brun et mort de honte, il serra les dents caché dans l'épaule du plus grand. Jérémie enleva son pantalon et aida Alex à se déshabiller. Pendant que le blond se nettoyait, le brun se fit couler un bain. Il glissa dans la grande baignoire en soupirant. Ses nombreuses blessures et ses muscles le brûlaient mais il ne réagi pas. Il posa une serviette froide sur son front et ferma les yeux. Il se demanda alors si la mort part noyade était si difficile que ça.

Sauter dans l'eau avec des poids et prendre une grande inspiration pour sentir le liquide salé dans ses poumons brûlant sous l'effort et le sel. Jérémie ouvrit les yeux en sentant l'eau monter. Alex le regardait avec détermination de l'autre côté de la baignoire. Le brun sourit en lui faisant signe d'approcher. Il se redressa et le blond s'assit dos à lui dans la baignoire.

Trop insouciant, Jérémie remi la serviette sur ses yeux et se replongea dans ses réflexions morbides tendis que Alex prenait son courageux à deux mains ! Il leva les yeux aux ciels utilisés une expression où l'on doit prendre quelque chose à deux mains est assez comique après ce qui c'était passé non ?

Il se retourna et mis une main sur la serviette de Jérémie. Le brun ne bougea pas car peut être que le blond allait essayer de le noyer ? Mais Alex tapota sa cuisse avant de tomber sur son entre jambes. Jérémie tenta de se débattre par surprise mais le blond lui mit la serviette sur la bouche. Jérémie regardait le plus jeun sans bouger et sans pouvoir parler. Alex était assis sur ses cuisses et tenait son membre entre ses doigts inexpérimentés... que pouvait il donc faire ?

Alex branla d'abord le brun en essayant de lui faire ressentir la même envie que lui mais il céda. Il embrasse Jérémie à pleine bouche en faisant se toucher leur érections. Le brun prit les fesses du plus jeun entre ses mains en les serrant. La noyade allait sûrement attendre, il devait expérimenter d'autres choses sous l'eau.

Il fit basculer Alex en arrière et il manquait de finir sous l'eau. Ses genoux prenait froid tendit que Jérémie frottait son trou du bout de son gland. Alex prit alors peur. Il n'avait jamais fait ça, il n'avait littéralement JAMAIS rien fais. Il a toujours aimé Jérémie et ça envers et contre tous. Il n'avait jamais sentis la chaleur d'une femme et allait directement sentir Jérémie en lui. C'est comme passer à l'âne sans même toucher au coq.

Comme pour le rassurer, le brun déposa de multiples suçons sur le coup du blond qui se cambra en arrière en appuyant sa tête sur le rebord de la baignoire. Jérémie s'attaqua alors à ses tétons qu'il lécha  et croque suça doucement. Une fois sur que Alex était concentré sur ses deux extrémités roses, Jérémie lui mit directement deux doigts. Il était alors moins sur de lui. Ils avaient le même gabarit et la même peur d'être au dessous, mais il savait que Alex n'avait jamais franchie le pas et que c'était à lui de l'initié.

Le blond lâcha un cri en se tordant. C'était déchirant, on le déchirait de l'intérieur mais les mouvements de sceaux apaisaient la douleur. Sa verge lui faisait mal tant elle était tendu, mais il ne pouvait se laisser aller une seconde fois seul. Il combattu la douleur et chercha le membre de Jérémie sous l'eau. Il prit le sexe entre ses doigts et le guida vers son trou que Jérémie avait libéré.

Alex sentit d'abord un vide, puis il senti quelque chose entrer. C'était épais et dure mais petit. Puis Jérémie rentra davantage. Le blond était serré et il adorait ça. Il prit les hanches du plus jeun et donna un violent coup de rein qui en un coup, percuta la prostate du malheureux. Il voulus lâcher un cris, mais sous les mouvements violents de Jérémie, l'eau lui arrivait en plein visage.

Jérémie le martelait en serrant ses fesses entre ses mains. C'était bon trop bon. Il savait que Alex n'allait pas tenir alors il ralenti. Il commença des mouvements lents qui atteignaient jamais la prostate et cela frustrait fortement le blond qui dans un geste désespéré poussa Jérémie en avant.

Surpris, le brun se retrouva assis et le blond tomba, embrocher, sur lui. Et que c'était bon de se faire embrocher ! Alex se laissa aller dans un soupir d'aise et Jérémie le suivi dans un  bruit roque. Le blond se leva mais du rester assis sur la baignoire tendis que le brun du vider la baignoire afin de ne pas baigner dans... tout.

Alex sentit le membre calme de Jérémie contre ses fesses lorsqu'il l'aida à aller sous la douche. Il se relava et Jérémie leva un sourcil par dessus son épaule. Il tapa le début d'érection de Alex en souriant.

- Tu es opérationnel pour un troisième round ?

- Je ne tiens pas debout Jérémie...

- On n'aura qu'à échanger, dit le brun tout joyeux.

- Tu es masochiste, répondit juste Le blond en lui faisant face. Tu es le pire.

Fin ?~

Excusez toutes le fautes, ne les relever pas  dans leur entièreté ou faîtes en une liste et envoyé les moi d'un bloc si cela vous amuse 😂

Je suis fatigué suis debout depuis 6h ahah... bonne nuit...

N'oubliez pas de me donner vos avis!

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