une longue histoire (inspiré de skam)

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Attention cette histoire est super longues ! Plus de 4640 mots ! Commentez tout ce que vous voulez et n'hésitera pas à donner votre avis ! Je suis désolé pour la longueur !


EXPLICATION CHIANTE : Les gens... si un jour vous essayé la weed oubliez pas un truc : quand ton corps te dis d'arrêter arrête ! ou tu finira par avoir l'impression d'être un astronaute handicapé qui arrive pas à marcher 2m. J'ai écrit ce loooooooooong pavé quand j'étais un peut déf' du coup je sais plus trop quoi ça parle et c'est pour ça que j'ai besoin de vos avis pour savoir se que je dois améliorer lors d'une futur réécriture. La drogue c'est mal et potentiellement illégale ! J'ai fait l'expérience par curiosité mais s'il vous plains si vous n'en avez pas l'envie ou que vous douter ne le faites pas ! Vraiment ! Personnellement c'est fait et pas à refaire ! Aller bonne lecture ❤️

✨✨✨

Tout avait commencé il y a environ un ans, à une soirée. J'avais menti à ma mère sur-protectrice en lui disant qu'il n'y aurait que Dany et moi chez lui. Je me souviens avoir sauter comme une puce à la vue des nombreuses bouteilles trainant sur la table et du mot de ses parents qui lui avaient donner carte blanche pour la soirée. Mon ami avait fait rentrer chaque invité comme si il était un videur de boite de nuit. Quand la maison commençait à trop se remplir, il tria les gens sur leur physique, leur amitié ou leur classe sociale. Je le regardait procéder du canapé ou certaines de mes connaissances m'avaient rejoint.

Il tourna la tête vers moi en signe de désespoir et j'ai osé les épaules rouge. J'eus honte en tirant sur la cigarette, non pas parce que je fumais, mais parce que je n'avais pas pus refusé quand Alice me proposa une cigarette.

La fumée me brula la gorge et me donna une envie de tousser. J'ai bus une gorgé de bière en lui rendant la cigarette, mauvaise première expérience. Je n'avais pas envie de cracher mes poumons devant elle, pas encore en tout cas. Un garçon a mes cotées sortie une feuille et une moulin pour hacher sa weed. Une douce odeur se dégagea de la petite boite en plastique quand il reversa le contenu dans sa feuille et commence à rouler. il en roula deux et en tendit un à un gars en face de lui assis sur la table.

Il alluma et tira sur le joint avant d'expulser une fumée blanche et légère qui embauma rapidement mon sweat. Il me tendit le joint et sous le regard perplexe de Alice j'ai imité le garçon avant de lui tendre le joint. Elle le prit sans fumé et le fit passé sans me lâcher du regard. Un brouillard me fit tourné la tête et j'ai frotté mes yeux en inspirant.

« - Je ne pensais pas que tu fumais, me dit elle en appuyant sa tête contre sa main. C'est étonnant.

- Tu trouves, j'ai laissé ma tête tombé sur le dossier du canapé. Y a beaucoup de chose que tu ne sais pas sur moi. »

Je lui ai menti, me suis fait passé pour quelqu'un que je n'étais pas. Lorsqu'un ancien ami passait, je le saluait volontairement pour lui faire croire que j'avais beaucoup de contact.

Elle ria et bus beaucoup trop de bière pour une fille de son âge. J'ai fais tourné le liquide dans ma canette, je ne suis pas forcement mieux. Elle me tira et ma tête se mis à tourné lorsque je fus debout. Elle mit ses bras au dessus de sa tête et commence à danser en se frottant contre moi.

J'ai posé mes main sur ses hanches en remontant. Mes hanches suivaient le mouvement des siennes tendis que mes mains recherchaient le chemin vers ses sains. Elle se retourna au moment où j'allais arrivé vers sa poitrine et m'embrassa. Contrairement à mes rêves, elle avait un gout de bière et de tabac paradoxalement opposé à ses lèvres douces.

Je me souviens avoir poussé une porte derrière moi en virant ceux qui dormaient dans la pièces. Je me souviens de ses baisers contre mes lèvres descendant sur mon cou et de mes mains sur sa poitrine nue sous son top.

Elle embrassa mon torse et commence à descendre bien plus bas. J'ai eus un mouvement de recule et elle se leva. Je l'ai juste embrassé, elle a enlevé ses habits, j'ai laissé mon cerveau dans le brouillard et j'ai caressé le fin tissus de sa culottes avec réflexion. Je n'avais jamais osé aller aussi loin lors de mes rêves nocturnes.

Elle recommence à descendre le long de mon corps mais je devais me faire une raison, ça n'allait pas marché. Et dieux sait que ce n'est pas un problème de démarrage ou de préparation. On était tout les deux prêt mais je ne pouvais pas le faire maintenant et risquer qu'elle s'en veuille le lendemain.

Bourré mais pas totalement inconscient. Elle était au niveau de mon nombril lorsque je l'ai gentiment repoussé. Je me suis mis assis en la regardant à genoux entre mes jambes me fixant. Je lui ai donné un baiser plus intense que les précédents et plus sincère aussi.

« - J'suis désolé, je me suis rhabillé en me dirigeant vers la porte.

- Tu te fous de moi, elle ramena la couverture contre sa poitrine. Reviens ici ! Jordan ! Pauvre con ! »

J'ai poussé la porte et la referme. Elle la ferma a clé après mon départ tendis que j'ai tiré une nouvelle canette du pack. Je me suis affalé sur le canapé en acceptant le joint qu'on me tendis. Le gars à la banane me demanda si j'avais eus se que je voulais et je lui ai dis la vérité. « Elle te remercia peut être plus tard... ou t'as loupé la chance de ta vie » m'avait il dit. J'ai mis mes coudes contre mes genoux en me massant la tête. La chance de ma vie... J'ai emporté le joint dans le jardin en serrant ma bière.

Un banc à l'allure horriblement confortable trônait devant la maison, qui vu de l'extérieur semblait calme. Je me suis allongé en fumant, je ne sais pas si la fumé est plus vite monté à ma tête mais je me suis surpris à ronronner les paroles d'un vieux disque que j'écoutais avec Alice il y a quelque jours...

J'ai cligné des yeux en sentant l'air frais passé sous ma jaquette et mon sweat. Je me déplaçais sans marcher, j'ai entendu un souffle et je me suis rendu compte qu'on me portait. Ce n'était pas Dany, il ne portait pas se genre de veste en jeans des vieilles années, j'ai essayé de bouger mais ma tête semblait au bord de l'overdose.

Je me suis davantage serré contre mon brave destrier en imaginant les traits de sont visage, car lorsqu'on est à la fois bourré et défoncé comme je l'étais on ne se demandais même plus comment on en était arrivé là. On ne veut que se faire décapiter pour fuir à son mal de tête.

J'ai réouvert les yeux sur un écran ou se dessinait un dessin animé connu, une tasse et une odeur de café. Je me suis mis assis en appuyant mes coude contre mes genoux, j'ai longtemps reprit mes esprit comme ça avant de me rendre compte d'une présence dans le contour d'une porte. Il était grand, sûrement de quelques années mon ainé, blond avec un sourire en coin.

Il me tendit une tasse en me souriant. J'ai distingué de l'aspirine en décomposition flotter au dessus de l'eau et accepte le breuvage sans réticence. Il me raconta la fin de soirée, Dany lui avait demandé de m'emmener avec lui lorsqu'il a vu la police arriver. Ils avaient arrêter pas mal de gens et mon ami a eus peur qu'ils me trouvent ivre mort sur le banc. Après une brève discussion et de nombreux moment de gêne, le blond se leva.

« - Tu veux quoi avec tes oeufs, demanda il en me souriant. Fromage, pain, bacon ?

- Je, mon ventre fit un bruit étrange et j'ai rie. Tu sais quoi ? Donne moi tout ! Tout ce que tu as ! »

Il m'avait ramené un plateau remplie de choses et s'était servi la même chose, il devait pourtant être 10h45 du matin. On a parlé de tout, de rien, de nos amis en comment et de la soirée.

«  - Attends, il avala son bout d'oeuf. Tu avait la fille dont tu rêves depuis quatre ans entre tes jambes et tu es parti ?

- Je te l'ai dis c'est plus compliqué que ça !

- Ouais c'est ce qu'on dit. »

Il coupa le pain et en mangea un bout en souriant. Son sourire était addictif et je ne pus que l'imiter. Quelques heures après, mes parents étaient devant le pas de sa porte en le remerciant de m'avoir prit en charge après que « j'ai refusé de participé à la soirée de Dany ».

Quelques jours plus tard, j'ai retrouvé le garçon chez qui j'avais séjourné sur une photo de la soirée, Charlie Thomson. Il avait le même sourire conquérant et tenait Dany par l'épaule un verre à la main, j'ai laissé ma sourie cliquer sur son nom et ai parcouru son compte. Il aimait lire, les cafés, les bars et les parcs d'attractions. Il avait beaucoup d'abonnés et on avait pas mal d'abonnement en commun, j'ai ouvert la page des messages privé sans trop savoir ce que je voulais.

[ vous : Hi ! Encore merci pour la dernière fois ! Je crois que mes parents n'ont jamais été aussi heureux de me voir chez un inconnu.]

J'ai envoyé et j'ai quitté la page. J'ai continué à regarder ses photos, son sourire et ses yeux me hantait comme si je l'avait déjà vu dans un rêve. J'ai recouvert la page peut sur.

[vous : faudrais qu'on se fasse un truc un jour. (vu)

Charlie : pourquoi pas ! tu es libre disons....

Charlie : 19h45 ?]

Je n'ai pas pus retenir un sourire en acceptant l'invitation. Je me suis levé et j'ai tiré un sweat vert de mon armoire. J'ai mis un pantalon et ma veste avant de partir, le lieu de rendez vous était assez loin. J'ai refermé la porte et en dévalant mes escaliers, j'ai croisé le regard de ma voisine qui me salua poliment. Une fois arrivé devant le parc, Charlie m'attendait avec la même veste en jeans que la dernière fois.

Il passa son bras sur mon épaule en riant, il me tendit une bouteille de bière que j'ai accepté en souriant. Chacune de nos rencontres étaient accompagné de joint, bière et blagues de mauvais gout. Il laissait toujours une de ses mèches sortir de son capuchon et jouait souvent avec les mèches échappant de ma caquette. Il parlait toujours en caressant mes cheveux, en frôlant mon oreille, en passant son bras sur mon épaule avec un rire.

Avec lui, on n'avait pas le temps de se poser, de se demander si ce qu'on faisait était légale, normal ou encore rationnel. Lorsque son sourire se montrait, personne n'avait le courage de lui résister. Ce jour là, on regardait la rivière du haut d'une petite pente en essayant de faire fuir les canards avec des cailloux.

Il c'était penché vers moi et a fait tombé ma casquette. Lorsque son regard c'était plongé dans le mien, le temps c'était arrêté et j'ai pus sentir mon coeur accélérer ses battements. Il commençait à se rapprocher quand quelqu'un l'a interpellé et je me suis caché dans le pli de mon sweat mimant de lancer un caillou dans l'eau. Ensuite, on a parlé un moment avant que sa veste ne commence à glisser le long de la pente.

Charlie l'a rattrapé par le bout mais trébucha et glissa à son tour. Il dévala la pente en roulant avant de plonger dans l'eau, il ressortit de la rivière ses cheveux blanc collant sur son front. Je me suis mis à rire comme je n'avais pas ri depuis longtemps en tendant ma main pour qu'il remonte la pente. Il décolla son T-shirt blanc de sa peau glacé avec une mine dégoûté.

« - Je crève de froid, dit il en essorant sa veste. Je vais mourir ici, maintenant à cause de cette veste. Tu te rends compte, il me jette un regard dépité.

- C'est bon j'ai compris, j'ai enlevé ma veste et la lui passe en riant. Monsieur peut se réchauffer avec ca. »

J'ai posé la veste sur ses épaules et il tourna la tête, ses yeux dans les miens, son nez contre le mien. J'ai avancé sans réfléchir et je l'ai embrassé, sans penser au conséquence, comme si c'était normale, quelque chose qui coulait de source. Et sa main froide se posa sur ma nuque tendit que ma veste tomba par terre sans bruit. Je me suis écarter et l'ai regardé avec attention. Il fixait mes lèvres et m'a à nouveau embrassé, volontairement. Il me tenait par la nuque et j'avais une main sur sa joue, tout cela n'avait aucun sens, aucun but.

C'était inattendu, excitant et fort. J'ai gardé les yeux fermé quand on s'est séparé. Son pouce caressait mes lèvres et je sentais son regard posé sur moi. Sa main gelé se posa sur ma hanche et il se pencha de nouveau. Mais j'ai simplement reprit ma veste et suis partie en direction de la voiture le coeur battant.

Il conduisait en serrant ma main entre ses doigts. Il était concentrer sur la route mais un sourire était peint sur ses lèvres. J'ai caressé sa main, redessine ses vaines du bout de mes doigts sans le quitté du regard. J'ai brisé le silence avec une simple phrase aux allures anodines.

« - Je ne savais pas que tu aimais les garçons...

- Je ne les aime pas, il me regarda rapidement. Je t'aime toi, tu es le premier, le seul.

- Ah bon, j'ai souri en fermant les yeux. Toi aussi... tu es le seul. »

Le lendemain, j'étais avec Dani quand Charlie s'avance vers nous. On l'a regardé muet, lui le terminal nous parlait à nous en public. Il m tendis la casquette qu'il m'avait enlever en haut de la pente avec un sourire et je suis rester comme tétanisé. Il disparu comme il était venu sous les regards de tout les autres élèves. J'ai mis la casquette en essayant de me cacher derrière la visière. Mon coeur allait transpercer ma poitrine.

Lors d'un cour, George m'avait tapé le bras en riant.

« - Tu sais ce qui se dit ?, il fit de grand geste. Apparemment, un gars de l'équipe t'a vu embrassé Charlie y a pas longtemps ! Y en a qui veulent vraiment faire leur intéressant !

- Ouais, j'ai serré machinalement le poing. T'es le seul à qui on a raconté ça ?

- J'pense pas, il se balance d'un air détaché. Tu sais comment les rumeurs vont vite ici... Mais t'inquiète j'y crois pas ! »

Je suis sorti de cour un peut perturbé et j'ai enlever mon sweat tant cette découverte m'avait donné chaud. Deux filles de secondes m'ont regarder en souriant, l'une d'elle gloussa lorsque son amie lui avoua que 'tout les gays étaient beaux'. J'ai essayé de ne pas faire attention à son commentaire en allant vers mon casier. Alice m'y attendait et je vis son groupe d'amies caché derrière un mur plus loin. Je l'ai salué en la poussant pour ouvrir mon casier. Elle me parla à travers la fine porte de métal.

« - J'aurais pas du m'énervé contre toi à la soirée, commença elle.

- Ne t'en fais pas, j'ai tiré mes livres comme si le stress de cette discussion ne me faisait pas trembler en plus des nombreux regards qui m'on tétanisé.

- Tu sais, elle referma mon casier doucement. Tu aurais du me dire que tu étais gay, elle Remi une mèche derrière son oreille. Ca aurait évité pas mal de moment gênant ! On se connaît depuis longtemps maintenant.

- Non en faite...

- Non mais vraiment !, elle leva la main dans un geste solennel. Je ne t'aurais pas juger, en plus j'adore les gays ! Avoir un ami gay c'est vraiment cool !

- Je vois, je lui ai souri. Mais je ne suis pas ton 'ami gay' je ne voulais juste pas abuser de toi.»

Elle ne bougea pas en me regardant partir. Le reste de la semaine avait été longue entre des blagues mal placé, des interrogations gênantes aux quels je répondais à la négative. Je voyais Charlie chez moi et il m'avoua que lui, personne ne lui posait de question. Il me serra dans ses bras, caressa mes cheveux et me rassura comme quoi tout allait passé. Apres un moment, la rumeur c'était fait oublié et plus personne ne me faisait des blagues sur les homosexuels dans la cour.

Je recherchais le bâtiment des terminaux quand je la vis. Une fille aux mèches roses qui tenait Charlie par le bras avec un sourire à faire fondre le coeur le plus glacé. Une terminale passa avec une amie en disant envier 'ce genre de couple' et j'ai vu la petite rose se mettre sur la pointe des pieds et l'embrassa avec tendresse. J'ai rapidement repoussé chemin en retenant mes larmes.

Dany m'avait rattrapé une cigarette entre les lèvres, il avait vu ma détresse et avait décider de me suivre sans rien dire jusqu'à ce que je veuille bien lui parler. J'ai mis deux jours avant de lui en parler, deux jours ou je suis resté dans ma chambre à regarder le plafond. Je me souviens qu'il avait sonné et était monté dans ma chambre.

On avait allumé un joint et bus quelque bière en parlant. J'ai commencé par lui annoncé que j'aimais Charlie et il a prit l'information avec beaucoup de calme sans poser de question au point que je me demande si il ne s'en doutait pas. Il me connaissait depuis longtemps après tout. J'ai ramené mon genoux contre ma poitrine en laissant l'autre jambe pendre entre les barrières de mon petit balcon. Le vent frais me rendais plus calme et j'ai prit une grande bouffé d'air avant de lui parler de Charlie et de sa copine.

«- Parle avec lui, répondit Dany en soufflant sa fumé. Dis lui que tu veux pas être son "amant" et qu'il doit faire un choix. Si il choisi sa meuf passe à autre chose y a rien à faire après.»

J'ai accueilli ses conseils avec beaucoup  d'attention. Il m'aida a envoyé le fameux ultimatum la vue brouiller par la fumé. Apres un certain temps, il toussa en rouvrant la fenêtre. J'ai jeté le restes de cigarette et spray un déodorant dans la chambre. Mon ami me tapa sur l'épaule avant de descendre par la semaine quand la voiture de ma mere se fit entendre.

J'étais en train de dormir quand mon téléphone se mit à vibré plusieurs minutes de suite.

[Charlie : jsuis devant chez toi.]

Je me suis glissé jusqu'à l'entrée sans bruit. Je voulais simplement sortir la tête pour lui dire de partir mais il m'attire contre lui et déposa un baiser sur mes lèves. Il a avoué avoir tout raconté à sa copine et me demanda pardon de m'avoir fait passé en seconde position. Il semblait terriblement sincère et mon cœur se réchauffa, il m'avait en vérité terriblement manqué.

Je l'ai fait doucement rentrer dans ma chambre et l'ai embrassé fougueusement. Oui, ses lèvres m'avaient manqué ! Sa façon de balader ses mains à la recherche d'une pose sur mon corps, les marques qu'il pouvait laissé, la douceur de ses gestes et son regard hardant m'avaient manqué. Je ne pouvais pas attendre, pas risquer de le perdre à nouveaux alors j'ai passé ma main sous son pull pour lui communiquer mon envie.

«- Non, il serra les lèvres. Ta mère est à côté et je n'ai pas de...

- J'ai compris, je l'ai embrassé. Mais reste encore un moment.»

Il se coucha sur mon lit et je me suis posé dans le cru de son épaule. Il était chaud et rassurant. J'ai a peine fermé les yeux que je me suis endormi le serrant dans mes bras comme une peluche à protéger.

Le lendemain, je me suis réveillé seul dans le lit. Je me suis levé rapidement avant de trouver Charlie accoudé au buffet en souriant à ma mère. Elle était en train de lui raconter une vieille anecdote en préparant le déjeuner. Quand les yeux clairs de Charlie se song posé sur moi il sourit et avança vers moi sous le regard amusé de ma mère. Il m'embrassa en tenant ma main en coupe tendis que je suis rester tétanisé.

«- Bon je vais y aller, ma mère fit la bise à Charlie et m'embrasse sur le front. N'oubliez pas d'aller en cours ! Je compte sur toi Charlie ! Jordan n'a plus de raison de manqué des cours le matin !»

Il lui a sourit et referma la porte derrière elle. Je le regarde abattu marché de part et d'autre de la cuisine ouverte comme si il connaissait déjà chaque emplacement de chaque ustensiles. Je me suis appuyé contre la table à mangé en le regardant mettre les yeux brouillé dans deux assiettes.

«- Tu... as parlé à ma mère ?, dis je un sourire amusé sur les lèvres.

- Oui, il eut un sourire et monta le son de la radio. On c'est croisé dans la salle de bain ! Elle a cru que c'était toi sous la douche et est rentré avant de se rendre compte que les habits n'étais pas les tiens.

- Pardon ?, j'ai levé un sourcil.

- Elle n'a rien vu, dit il en posant les assiettes sur la table. Rien de plus que toi en tout cas, il m'embrassa mais je l'esquive d'un signe de tête. Elle a dit que j'étais un homme a marié, ajouta il en chantonnant. Despacito !

- J'espère bien que tu en ai un, je l'ai regardé dans les yeux. Mais je te préviens que si tu oses mettre cette musique insupportable à notre mariage je ne vais pas jusqu'à l'hôtel.»

Il a rejoint les autres terminales à l'entrée de l'établissement tendit que je me dirigeait comme habituellement devant la cafétéria. Dani commençait à amener le groupe dans ma direction quand une chevelure rose pâle se posa devant moi son mascara coulant sur ses joues.

«- Ça c'est pour avoir fait chialer Alice.»

Elle me donna une gifle tellement inattendu que je me suis surpris à me tenir la joue comme si on m'avait envoyé un coup de poing. Elle essuya ses larmes avant de préparer son poing.

«- Ça c'est pour avoir embrassé mon mec sal con !»

J'ai basculé en arrière. J'ai levé les yeux et me suis rendu compte que cette pute m'avait frapper avec une bague à chaque doigt. Tu m'étonnes que j'ai mal ! J'ai senti le métal contre mon nez et un liquide rouge se mêla a une douleur sourde. J'ai pus voir Dani la pousser vigoureusement et les autres élèves nous dévisager sans intervenir.

Dani et George m'ont accompagné chercher de la glace sans rien dire. Depuis l'infirmerie je pouvais vaguement entendre leur discussion sans la comprendre. Je suis sorti une poche de glace posé sur mon nez encore rouge. On a rejoint les autres qui attendaient dans la cour, George a lancé un regard à Nathan et Dani avant de tousser un bon coup.

« - Alors, il me regarda. Toi et Charlie c'est confirmé ?

- Ouais, je me suis cacher derrière ma poche de glace.

- Ca fais depuis quand ?, demanda Nath en me tendant une canette de bière.

- J'en sais rien, j'ai froncé les sourcils. Un mois ? J'suis un peut paumé.

- J'aurais jamais pensé que tu étais gay, cacha finalement George. 'fin tu as pas l'air gay tu vois ?

- George ?!, Dani se frota les yeux dans un mouvement désespérer. Tu as un don pour dire ce qu'il ne faut pas...

- Non mais tu comprends pas, il passa une main dans ses cheveux bouclés. C'est celui qui avait le plus de filles et qui a le plus coucher entre nous. Ca me surprends juste... »

On a ri devant cette constatation avant de rejoindre le cour suivant.Une fois le dit cour terminé, un groupe de terminales sont venu vers nous. Les autres troisièmes les ont suivi du regard comme pour être sur que ses déesses tant admiré était bien à leur étage. Une rousse aux yeux verts me sourit tendrement.

« - Je voulais m'excusé pour le comportement de Charlotte, elle passa son doigt sur mon nez en me tenant la joue. Elle ne t'as pas raté. »

Je voulu dire quelque chose mais Charlie me surpris en posant son bras sur mon épaule. Depuis quand était il là ? Il fusilla la rousse du regard en souriant comme si de rien était et elle enleva sa main.

« - Ne t'en fais pas, elle remis une mèche derrière son oreille. On se demandait juste si il voulait venir à notre soirée demain soir.

- Je...

- Tu pourras ramené des amis, rajouta elle joyeuse. »

Le regard insistant de George et Nath m'ont obligé à l'invitation. Une fois le trio repartit, tout les regards se sont tourné vers moi et Charlie qui ne semblait pas près à me lâcher. Les gars étaient excités comme des puces à l'idée d'aller à une soirée de terminal. Je me suis contenté de les écouter parler en essayant de ne pas faire entrevoir ma gêne.

Le soir venu, on était regrouper chez Charlie le temps de partir pour la soirée. J'ai inspiré la fumée qui me monta à la tête dans une quinte de toux. Je me suis dirigé dans la cuisine avec l'étrange impression que mon corps entier était sous anesthésie, se rouler un pur n'était peut être pas une si bonne idée. Je me suis tenu au lavabo tendit que le décor semblait se déformer comme si je voyais en 360 degré. Je devais être sacrement loin car je n'avait pas entendu Charlie arriver, il me tira par la main et me parla sans que je ne puisse comprendre.

Vous savez cette sensation dette prisonnier de son propre corps lorsque l'on rêve ? Je ressentais la même chose. Les images sautaient et ma tête était en coton, je me suis retrouvé à la soirée sans savoir comment. Le couloir de l'entrée semblait s'allonger et je me suis tenu au mur dans un geste involontaire. J'ai respiré et me suis retrouvé sur un canapé. La lumière d'un joint brillait entre mes doigts et malgré le flou de ma vision je pus distinguer Charlie dans ma direction. J'ai trébuché en montant dans la voiture, l'impression de ne plus être dans mon corps, la tête au dessus du reste, totalement défoncer.

Je me suis retourné dans le lit sans savoir comment je suis arrivé là. J'ai cligné les yeux avec une impression de tournis. Charlie ouvra les fenêtres et je me suis réfugié dans les bras à l'odeur de chanvre.

« - Je ne te laisserais plus fumer, dit il en dressant mes joues bouillantes.

- J'ai fais quoi ?, ma bouche étaient pâteuse. On devais pas aller à une soirée ?

- On y était et tu as refumé. Je t'ai retrouvé par terre dans le jardin à regarder les étoiles avec un groupe de terminal.

- Hein ? Mec, j'ai fermé les yeux en perdant toutes notions du temps. Je suis dans le mal, vraiment. Y a tout qui tourne, j'suis trop détendu et ma tête pense à plein de trucs, j'ai ouvert les yeux en regardant la tache noir tremblante au plafond. J'crois j'ai un problème... tu crois j'ai un problème ?

- Non, il serra ma main. Tu es juste défoncé comme tu l'as jamais été. Ca va mettre un petit moment à partir.

- Reste avec moi, je me suis senti léger au point de perdre connaissance. J'ai besoin d'un point de repaire... oh mec j'assume plus...

- T'inquietes, Charlie embrassa le dos de ma main en se couchant face à moi. Je suis là et je te comprends. La première grande défonce est toujours spécial, tu te sens perdus, bizarre et absent mais ne t'en fais pas. Je suis là pour veiller à ce que tout ça finisse bien.

- Charlie, je me suis serré contre lui balbutiant. Charlie je t'aime, je t'aime... Charlie...

- Chut, il rit. Essaye de dormir un peut. Moi aussi je t'aime. »


À suivre ?

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