Chapitre 48

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PDV Yoongi

Jungkook,

Je t'aime.

Je t'aime vraiment.

Si seulement,

Tu regardais dans ma direction.

Si seulement,

Tu pouvais croiser mes yeux et y lire comme je lisais dans les tiens.

Si seulement,

Tu pouvais entendre mon cœur.

Je t'aime.

J'aimerais t'avoir à mes côtés, rien que pour moi.

Je voudrais que tu sois à moi.

Mon cœur se resserre chaque que je te vois aux chevilles d'un autre.

À ces faits mes sourires sont faux.

À ces faits, tout ce que je veux, c'est pleurer, parce que la personne que j'aime ne me regarde pas.

Est-ce si dur de me porter la même attention qu'à tous ces autres envers qui tu te portes volontaires d'offrir ton cœur ?

Moi, je t'aime vraiment et ça ne changera jamais.

Signé : Le rayon de soleil de ta vie

J'avais trouvé cette lettre en faisant tomber le sac d'Hobi dans les vestiaires. Le sac était resté ouvert, alors tout ce qui s'y trouvait s'était étalé sur le carrelage blanc.

Déjà, ça ne va pas la tête d'aimer mon mec ?

Puis le fait que ce soit mon ex, me dérangeait plus qu'autre chose.

Ce dernier était sous la douche. J'écrasais la feuille sur laquelle il avait écrit d'une fine plume et je la jetais dans la corbeille.

Je me dirigeais vers les douches. Je retirais mes vêtements en chemin. Lorsque cette odeur d'oranger atteint mes narines, je devinais où se trouvait mon dongsaeng, aka Jung Hoseok, ou encore celui qui osait presque se mettre sur mon chemin.

Il était fou de vouloir me voler mon copain !

Je tirais le rideau, lui provoquant un cri de surprise, puis je faisais un pas pour le rejoindre sous la douche.

J'avais bien fermé le rideau derrière moi. Hoseok n'avait pas manqué de me détailler de la tête aux pieds en déglutissant.

J'étais pas trop d'humeur et lui, il pensait à ma queue ? Non parce que c'était clairement ce qu'il était en train de fixer.

Je soupirais d'agacement en venant bien me coller contre lui, le faisant reculer d'un pas, il se collait au mur invraisemblablement froid.

Mon corps chaud par la température de l'eau, mon souffle lent, décrivant mon calme surdimensionné, inquiétant de fond en comble mon prisonnier, qui lui s'était raidit à mon contact.

- Tu te fous de moi Hobi ?

Je lui avais dit froidement, pendant que j'eus l'impression qu'il s'était arrêté de respirer sous la peur.




💜🎈💜🎈💜🎈💜

Je vous aime de folie !

Je sors, donc je vous poste le prochain chapitre quand je serais rentrée où bien dans si je m'arrête dans un salon de thé on sait jamais ;)

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