Partie 83 :

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"On cours après l'amour parfait, mais il n'existe pas d'amour parfait. Malgré les beaux moments partagés, je n'aurais jamais cru pouvoir m'enlacer. Pourtant j'ai tout essayer, ouais j'ai tout essayer. Ouais, j'ai tout essayer.Essayer de l'oublier mais je n'ai plus la force d'y croire. Mais je n'ai plus la force d'y croire. Je ne compte plus le nombre d'histoire. Je me suis noyée dans le désespoir"

***************Dans la peau de Farès****************

"Il n'y en a pas deux comme elle. Tu ne peux pas l'oublier. Il te faut deux ailes pour t'envoler"

Ce que je ressentais à ce moment là, c'est un trou béant dans ma poitrine. La douleur était tellement indescriptible que le mot souffrance était trop petit pour qualifier ce choc. Oui, j'ai mal même très mal. A un point ou aucun de mes membres ne réagissaient. Mon coeur était meurtri à jamais, seule ma raison me fit prendre conscience de ce qui se passait. J'étais là sans être là. Et la seule chose qui me réveilla était l'étrange liquide qui coulait sur ma joue. Je compris que c'était une larme. Je pleurais. Qui aurais cru qu'un jour moi Farès ****** je pleurs pour une meuf qui m'a retourné la tête.

Les gens passaient en me lançant des regards de pitiés ou encore de peines sauf que je m'en fichais car la seule source qui me faisait à même tenir à genoux sur le sol venait de s'envoler à tout jamais.

Je n'avais pas bougé d'un poil depuis que le train était partie avec elle. Ma femme. Ma vie. La seule pour qui j'aurais sacrifié ma famille et mes amis. J'aurais tout fait pour être avec elle jusqu'à briser mon amitié avec mon frère. J'aurais tant voulus goûter à ses sourires sincères, ses gâtés, ses tmenick de princesse, ses crises de jalousie, son regard à couper le souffle, être là quand tout va mal et qu'elle a l'impression que le ciel lui tombe dessus. Hélas elle est partie. Elle a sacrifié notre bonheur. Notre Amour. Pourtant je lui avais dit et redit que j'étais là et que plus jamais je m'éloignerais d'elle.

Je fis demi tour et me dirigea instinctivement au guichet. Je jeta un coup d'oeil a l'heure.

Moi : Excusez moi vous pouviez me dire à qu'elle destination se dirige le train de h ?

Mec : Oui bien sûr, patientez.

Il pianota quelque chose sur son ordinateur et regarda pendant une dizaine de minutes.

Mec : Eh bien Monsieur, il y a plusieurs train qui ont démarrés a cette heure-ci dont celui pour Lyon, Paris et encore j'en passe. Vous aviez raté votre train par hasard ?

Moi : En faite, je ne sais pas.

Il me regarde d'un air suspicieux et à la fois perplexe.

Moi : Écoutez une femme a prit un train à cet heure-ci et je ne sais pas c'est pour qu'elle destination. Il faut que je la retrouve. C'est ma femme, je l'ai déjà laissé partir loin de moi une fois. Je ne veux pas que ça recommencer une nouvelle fois.

Je sortis mon téléphone pour lui montrer une photo de Camélia et moi, le jour du mariage de Sabri. On était tellement heureux à cette instant. Il l'observa avant de me regarder de nouveau.

Mec : Je suis navrée mais je ne peux rien pour vous.

Alors là, je vous dis pas la colère qui m'envahissait. Je balança mon point sur la baie vitrée qui se brisa en mille morceaux. Le mec de l'accueil était légèrement blessé au niveau de l'arcade sourcilière mais je m'en fichais. Pour moi, il me mentait. Il savait la vérité. La seule idée qui traversa mon esprit était de retrouver Camélia. Je m'en battais les couilles du reste. Il était un obstacle sur mon passage. L'obstacle qui m'empêchait de retrouver ma femme. Ma main était en sang. Je calcule pas. Je passa le contoir et le leva en le prenant par le col.

Moi : Oú est-elle ??!, dis-je tremblant de colère.

Lui : je..je ne... sais pas...je viens juste de commencer mon service... svp...laissez-moi.

Je le redéposa au sol plutôt je le jeta. Il toussa. Je sais, je suis allé un peu fort mais je m'en foutais. En me retournant, je vis une multitude de personnes me regarder avec effroi. Je sortis du bureau de la même facon que je suis entrée et m'empressa de partir avant l'arrivée des condés.

Dans ma voiture, un accès de colère me prit. Je frappais de fustration et de colère le volant avant de poser ma tête dessus. Pourquoi ? Pourquoi elle a fait ça ? Elle m'a laissé comme ma soeur. Je lui avais répété que si elle partait, je partirais avec elle. Je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça. Il faut que je la retrouve et vite.

Je sens mon portable vibrer dans ma poche. Je le sors. C'était un message de Sophia :

<<Où est Camélia ? Elle a disparu. Stp dis moi qu'elle est avec toi.>> et des pleins de messages et d'appels manqués de l'équipe.

J'éteins mon téléphone. Je n'avais pas la force de répondre à qui que ce soit ou de me prendre la tête. Je reste quelques heures dans la voiture, la tête dans les bras, à pense à elle avant d'allumer le contacte et démarrer. Il faut que je les préviennes. C'est aussi sa famille et la mien à la fois.

Arrivée a la cité, je pars direction le bloc de Camélia. L'ascenseur est toujours en panne. Je monte alors les escaliers le coeur lourd en me rappelant le jour où je lui es dit que je lui passerais la bague au doigt. Ce souvenir remonte à tellement longtemps mais pour moi c'est comme si c'était hier.

Me voilà devant la porte. Je l'ai déjà franchi de nombreuses fois et pourtant je n'ai jamais été aussi abbatu et détruit de ma vie. Je vais être le porteur de mauvaise nouvelle. Une nouvelle auquel je n'aurai jamais voulu annoncé. Je souffla un bon coup et pris mon courage à deux mains. Je toqua. Je pouvais entendre des cris au travers de la porte ce qui annonçait la couleur. Je souffla et patienta.

Quand la porte s'ouvrit enfin je découvris Sophia. Ses yeux étaient rouges vifs. Ca se voyait qu'elle avait pleurer miskina. Comment lui annocer que sa moitié, celle qu'elle considérait comme sa femme était partie pour ne plus revenir. Elle avait survécu avec beaucoup de mal une fois à cette situtation mais je ne sais pas si elle pourra encore une fois le faire. Je vis ses larmes réapparaître à ma vue. Sa me brisait le coeur de voir ma soeur dans cette état.

Elle : Farès...

J'allais m'avancer pour la prendre dans mes bras quand je fis d'un coup un mouvement de recule. Par de là ces épaules, je vis toute la clique (Chem's, Ryad, Linda, Nayla, Ines,Ikram, Ayoub, Marwan, Medhi, Iliass, Shérazade) débarquer avec ce regard mélangée à l'inquiétude, la colère, l'espoir... Mais cette image fut arrêté par l'arrivée de Younes qui se stoppa à ma vue. Je vis son regard changer laissant place à la haine tout comme moi. Il fonça directement sur moi, me prenant par le col et me plaquant contre le mur. Il était rouge de colère et respirait fortement. Je connais cette état. Il était dans le même état incontrôlable quand quelqu'un prononçait le nom de Camelia lorqu'elle était partis la première fois. Je ne bougea pas d'un poil et le regarde avec autant de haine et de rage que lui. Sophia avait refermé la porte de peur d'attirer les voisins.

Younes : OU EST-ELLE ??!!!!!

Il me mit un coup de poing mais je peux vous dire que même sa force n'est rien comparé à la douleur que je ressentais en ce moment. Je ne réagissait pas mais le fixa avec un regard noir. J'entendais les pleures et les cris des filles derrière nous.

Sophia : Laisse-le Younes !, cria-t-elle désespérément.

Younes : TOI FTG !!!! JVAIS PAS ME REPETER ALORS OÙ EST MA SOEUR ??!!! ESPÈCE DE BATARD RÉPOND TOUTE SUITE !!!!!!

Je le fixais toujours. Ma haine augmentait. Il n'avait aucun droit de réclamer quoi que ce soit aucun. Je lui fit un gros coup de tête. Il me relache sous le choc et je ne perdis pas une minute pour lui rendre son coup de poing.

Moi : TOI FTG !!! TU ME DONNES PAS D'ORDRE !

Il se toucha la lèvre où un filé de sang s'échappe.

Lui : Enculé...

Il s'apprête à resauter sur moi mais Ryad et Sabri arrivent et le retiennent.

Younes : Lâchez-moi c'est un TRAITRE !!! Tu m'as trahis moi qui croyait que tu étais mon frère !!

Moi : Moi ? Ton frère ??!! Tu veux qu'on parle de trahison en voulant donner ta soeur à un batard et non à un homme de confiance. J'ai tous sacrifié pour toi. Combien de fois je t'ai aider dans tes merdes ? Qui allait te chercher au poste ? Qui t'aider quand t'étais bourrer chaque soir parce qu'au fond de toi, tu te reprochais d'avoir laissé partir ta soeur et encore j'en passe. Je t'ai demandé qu'une seule chose. Ta soeur. Et tu me la refusé. À cause de toi et de ton égoïsme, j'ai perdu ce que j'avais de plus cher. A cause de toi, Camélia est partit encore une fois !!!

Ils étaient tous choquée par la nouvelle. Sabri et Ryad relachèrent Younès qui lui ne réagissaient même pas. Ilyass avança et se mit face a moi.

Ilyass : Comment ça Camélia est partit ??!

Moi : Oui, elle est partit et elle ne reviendra pas.

Ce fut étrange de dire ça. C'est comme si je réalisais enfin qu'elle est partis et que je la reverrais peut-être plus jamais.

Ryad -énerver- : Comment ça ? Où est-elle Farès ??!

Moi : C'est maintenant que tu te souviens d'elle toi ! Après avoir soutenue, l'autre dans sa connerie sans te préoccuper de l'avenir de Mia.

Il baissa la tête.

Ryad : J'ai fais ça pour son bien. Je croyais bien faire

Moi : Son bien ??!! Tu croyais bien faire réellemnt ?! Tu te fous de moi ta aggraver les choses, oui.

Chem's s'approcha et posa sa main sur mon épaule.

Lui : Arrête ! Il a assez souffert, Farès.

Je lacha un rire nerveux et dégagea son bras. Lui, souffert ???? C'est une BLAGUE !!! Rassurez moi là.

Moi : VOUS VOUS FOUTEZ DE MOI !!! VOUS SAVEZ MÊME PAS LÀ SOUFFRANCE QUE JE RESSENS A CAUSE DE VOUS !! ELLE EST PARTIS ! OUI, ELLE S'EST BARRÉE SANS MOI !!! JE L'AI VU PARTIR DEVANT MES YEUX SANS POUVOIR RIEN FAIRE !!! ELLE A SACRIFIE ENCORE UNE FOIS SON BONHEUR A CAUSE DE VOUS TOUS !!!!!!! ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE !!!!!

Je balança mon poing sur le mur énervée. Le sang recommençait à couler de nouveau pouratant sa ne m'arreta pas pour continuer de frapper le mur. Neyla vient pour me prendre dans ces bras sauf que je n'étais pas en état. Je me recula d'elle avant d'avancer dans le salon. Arrivée là bas, je vis le plateau de thé le lait et les dattes. J'avais totalement zappé que aujourd'hui normalement la famille de l'autre bouffon devait venir pour demander la main de ma femme. Ma colère s'anime. Je balança tout par terre. J'allais continuer mon oeuvre mais Sabri se mit devant moi pour m'arrêter. J'essayais de me debattre mais Nassim arriva par derrière pour me calmer.

Younes : Laissez-le !, répliqua t'il derrière moi.

Ils me lâchèrent. Je me retourne face a lui ne fixant que ses yeux.

Moi : Tu veux savoir ou est allé Camélia ? Alors je vais te le dire ! Je ne sais pas ! Tu entends ça, hein mon frère ?! Je sais pas où elle est !!! Je l'avais appelé dans la nuit je comptais partir en cachette avec elle. Sa voix etait tellement faible que jetais détruit. Je ne pouvais pas te laisser faire ça Younes, la marrier a un autre. Je pouvais pas le supporter. Je lui es donné rendez vous à la gare sauf que je suis arrivée en retard. Je devais réglé des choses avant de partir. Quand, Je lui es dis que je la rejoint pour prendre un billet sauf qu'elle ma pas laisser le temps. Je comprenais pas sa réaction. Elle me disait quelle partait mais sans moi. Je devenais fou je ne comprenais. Elle me disait qu'elle etait préparer a ça qu'elle ne voulait que je subisse ça a cause d'elle que je ne la méritait pas pourtant je lui disais le contraire et essayait de la résonner. Je ne voulais pas realiser ce qui se passait jusqu'à quelle me disent ces mots : << C'est terminée, Farès. Je t'en supplie laisse-moi partir...Laisse-moi partir comme tu m'as laissé partir de cette gare auparavant...Laisse-moi prendre ce train. Tu te rappelles de ce jour-là. C'était la première fois qu'on parlait et pourtant tu m'avais déjà défendue contre mon frère. Tu savais ce qu'ils m'ont fait subir et pourtant tu m'as laissé partir... je te demande de faire la même chose aujourd'hui. >>, sauf que je pouvais pas. Je lui es dit que je l'ai laissée partir une fois et je l'avais regretté. Je ne pouvais pas. Pas une deuxième fois. Qu'on était deux et que je laisserais pas partir ma femme et ceux sans moi mais elle me dit d'un coup qu'elle navait pas le choix et que je devais la pardonner. Elle m'a frappé avant de courir jusqu'au train qui s'apprêtait a partir. Elle a réussi a y monter tandis que moi je me tordais de douleur. Elle avait taper fort sauf que le train commençait a prendre de la vitesse je courrus pour le rattraper. Je criais son prenom desperement. Elle pleurais et me répétait de la pardonner. Voilà, ce qui s'est passé. Ce train l'avait emporter loin de moi. C'est là que je realisa qu'elle est partit. Vous voulez savoir ce que je ressentais ? De l'impuissance. Je suis partis me renseigner sauf qu'ils n'ont pas voulus me donner d'informations. Je le suis vener et jai éclaté la vitre de l'accueil. Je me suis barrer avant de me faire arrêté. Voilà ce qui s'est passé je sais pas où elle. Mais tous ce que je sais elle est partis encore une fois a cause de toi. Tu me l'as encore enlever. Si c'est ça un frère, je n'en veux plus.

Je ne lâchais toujours pas le regard de Younes durant mon monologue et lui ne bougeait pas d'un pouce. Son regard changeait. Je savais qu'il regrettait désormais ses actes et ces paroles mais ce qui est fait est fait. On ne peut plus revenir en arrière. Il lâcha mon regard et partit. Il avait quitté l'appart'. Je me retourna vers les autres et tous baissent la tête. On n'entendait que les sanglots des filles. Sophia se leva d'un coup et s'avança vers Ryad avant de le gifler de toutes ces forces. Il ne bougea pas et la regarde d'un regard désolé.

Elle : Tous ça, c'est de votre faute !!!!!!

Mehdi : Dis pas de la merde, elle a fait son choix. C'est de la faute a personne.

J'allais m'avance pour le niker sauf que Nassim l'éclate à ma place. Marwan les séparent avec Ilyass.

Nassim : Parle lui autrement. C'est ma femme.

Mehdi : Prends pas la confiance, c'est ma soeur. Je peux vite la reprendre.

Marwan : C'est la mienne aussi et tu vas rien reprendre. Sophia c'est pas un objet.

Sophia : Et n'y ta marchandises que tu vends aux gens.

Les tensions commença à monter mais Ilyass décida d'intervenir pour apaiser les tensions.

Ilyass : Je comprends que tu veux défendre ton pote mais là, il a fauté salle comme nous tous. On est tous fautif dans l'histoire. On a laissé les choses se reproduire encore une fois.

Ryad : Vous avez rien fait. C'est de ma faute. C'est ma cousine. Je lui avais toujours promis de la protéger. C'est moi qui la recueillis quand elle était au plus mal et la former. J'étais toujours là pour la soutenir dans toutes ses décisions. Et là, je n'étais pas là pour elle.

Sabri : C'est aussi ma soeur et je suis son grand frère. J'ai rien fait encore une fois.

Ilyass : Tg Sabri, tu es intervenu et tu l'as défendu maintenant on a pas prévu ce qui allait se passer.

Neyla : Tous ça c'est de votre faute je vous déteste. Vous m'avez enlevé ma soeur.

Moi : C'est bon sa sufit !

Ils me regarderent tous, choquée.

Moi : C'est pas en se lamentent que sa va la faire revenir. Tous ce que je vous demande, c'est de m'aider à la retrouver si vous voulez racheter vos fautes. Vous réglerez plus tard vos comptes avec elle. On reste une famille et quand un membre part on doit tous faire pour le faire revenir. Ryad, j'ai peut être la haine contre toi mais je comprends dans un sens tes raisons. Je ne t'en veux pas à toi mais à Younes. Maintenant, aidez-moi à la retrouver.

Eux : Oui.

Chem's : Avec Ryad et Ayoub, on va remonter sur paris pour prévenir Imed pour qu'ils nous aide. Neyla et Linda restés ici avec les filles.

Ryad : Elle est peut-être partie là-bas vu qu'elle connait du monde.

Sabri : Je vais faire jouer mes anciens contacts pour la retrouver.

Nassim : Moi aussi. J'ai des amis qui travaillent dans les aéroports et SNCF. Ils me doivent une dette.

Moi : C'est parfait.

Sophia : Et pour Younes ?

Moi : Je veux plus entendre parler de lui.

Un mois était passée. Aucune trace de Camélia. C'était comme si elle avait disparu. Les filles étaient inconsolables surtout Sophia et Neyla. Sophia avait perdu sa joie de vivre, sa moitié, sa femme. Nassim partait la voir tout les jours et surtout il était à font dans les recherches pour revoir Sophia sourire de nouveau. Mais le pire, c'était Neyla. Elle était enceinte et pourtant elle s'alimentait très peu. Chem's pète les plombs de la voir dans cette état. Askip plus personne sait où est Younes. Il avait totalement disparu. Et sah, je m'en balle les couilles. J'éprouve que de la haine envers lui. Je me suis aussi battu avec Karim car selon lui, je lui es volé sa fiancée mdrr la blague, c'est ma femme. J'ai gardé vite fait contact avec les mecs. Je reste plus avec Nassim maintenant. Je vis chez lui. Il est là pour moi et me supporte. Miskine, il vient me chercher au poste à cause de mes bagarres où quand je reste en chicha totalement bourré mais à part ça je cherche toujours et encore Camélia. Je n'ai qu'elle dans ma tête. J'étais désespéré et pourtant je n'abandonnerais pas le recherche de si tôt. Ses paroles me hantent mais je refuse toujours de mit résoudre. J'arrive sur le toit de la tour, cigarrette à la main en observe la cité. Oui je me usi mis à fumer cette merde, c'est le seule moyen que j'ai trouvé pour oublier mes problèmes et les souvenirs douloureux lorsque que je vis que je n'étais pas seule. Je tourna légèrement ma tête et vis Younes, dos à moi faire la même chose que moi. Tiens, le mec refait son apparition. Je m'apprête à faire demi-tour lorsque j'entends :

Lui : Attends.

Il ne s'était pas retourner. Je vous cache pas que j'avais encore envie de le défoncer mais je sais qu'au final ça ne résoudrait pas les problèmes.

Lui : Je ne voulais pas que ça se passe comme ça.

Moi : Et pourtant, il s'est passé ce qu'il s'est passé. On peut pas revenir en arrière.

Il se tourna enfin vers moi.

Lui : Je parle entre toi et moi.

Moi : Il n'y a rien à dire. Tu m'as trahis.

Lui : Non. Je t'ai pas trahis. J'ai juste chercher le meilleur pour elle.

Moi : Le meilleur en la mariant à un homme qu'elle ne connaissait pas sachant que tu sais que depuis toujours je suis amoureux de ta soeur. J'étais ton meilleur ami, ton bras droit et surtout ton frère. Tu me faisais confiance et je te faisais confiance. Tu savais que je l'aimais et que j'aurais tout fait pour la rendre heureuse, mais non, toi, tu as voulus la confier à l'autre pd.

Lui : Oep, ta réalisé ça quand elle allait se marier. Ta cru elle allait t'attendre toute sa vie. C'est toi qu'est partie. Tu l'avais pas vu souffrir pendant un an comme moi. En apparence, elle nous souriait à tous mais au fond d'elle, elle avait mal. C'est pas toi qui l'entendait pleurer chaque soir ou encore qui allait la réconforter quand elle faisait un cauchemar. J'ai juste voulue que ma petite soeur soit heureuse.

Je fronça les sourcils.

Moi : Tu sais tout comme moi que si je suis partie c'est à cause du bizz. J'étais recherché à cause de tes histoires. J'allais tombé parce que je suis resté là à t'aider. Ne l'oublie pas sinon depuis longtemps je me serais marié avec elle !!! Alors n'inverse pas les rôles ! Tu sais quoi je ne veux même plus parler avec toi. Par ta faute, elle est encore partie.

Lui : Ecoute...je suis pas un pd pour pas reconnaître mes tords dans cette histoire. Mais je sais que je dois te dire que je suis désolé car si ma soeur est partie, c'est à cause de moi. C'est entièrement de ma fautes et j'assume entièrement les conséquences.

Moi : Non, c'est pas à moi qu'il faut que tu dises ça mais à elle. Maintenant, c'est trop tard. Écoute, je n'ai plus rien à te dire. T'as fais ton choix. T'as pas confiance en moi, c'est mort...Tu crois que je vais te pardonner et qu'elle aussi va te pardonner aussi facilement. Tu m'as enlevé de nouveau ce qui est le plus précieux pour moi. Avant, je ne pouvais rien dire mais aujourd'hui, c'est terminé. Ne me considère plus comme ton frère maintenant car à l'heure d'aujourd'hui pour moi, tu ne représentes plus rien. Quand je la retrouverais, crois moi que je vais me marié avec elle avec ou sans ton accord, Younes.

Lui : Dahak, tu me dis ça à moi ?! Mais au final, ta propre soeur, tu ne lui as toujours pas pardonné.

Je ne fis pas attention à sa remarque. Ma soeur est encore un sujet sensible pour moi et je ne souhaite pas en parler. Je descends jusqu'à chez la mère de Younes où je retourne toute l'équipe au salon dont Ryad, Chem's et Sabri debout au milieu. Je fais la bise au filles et tshek les gars. Quand la mère de Camélia a appris pour sa fille, elle était anéantie. Elle ne parle plus à Younes. Elle reste vivre avec la mère de Sophia, Marwan et Mehdi en attendant car l'appart lui fait trop rappeler Camélia. Je la comprends même moi sa fait des semaines que j'ai pas mis les pieds. Je lui es promis de la retrouver et je compte tenir ma promesse.

Moi : Vous avez du nouveau ?

Ryad : Oui. Grâce aux contacts de Nassim qui travaillent à la gare, on a découvert que Camélia avait pris un billet de train pour Paris. De plus, elle a logée dans un hôtel.

Une joie immense m'envahit. J'avais enfin de l'espoir. Hamdoullah enfin on a un indice d'où elle se trouve.

Moi : Qu'est ce qu'on attend faut qu'on aille la chercher.

Mehdi : C'est ça, le problème.

Je fronce les sourcils. Je commençais à m'énerver

Moi : Comment ça ??!

Chems : Elle n'est plus là-bas depuis des semaines. Il n'y a plus aucune trace d'elle même sur sa carte bleu ou autre.

Je me réassois et souffla, dégoutée.

Moi : C'est pas possible ! Où a-t-elle pu allée ??!

: Elle est très maligne. Elle peut-être n'importe t'où à l'heure d'aujourd'hui. Elle a prévu son coup, c'est sûr. Elle tient ça de Ilyass.

On se retourne tous pour découvrir Younes.

Ilyass : C'est sûre. Heureusement que cela ne viens pas de toi. Mais dit donc depuis quand le sort de ta soeur t'intéresse ?

Sabri : Ilyass. Stop.

Lui : Non. Je ne me calme pas. Tout ça c'est de sa faute encore une fois. Retourne d'où tu viens ! On a pas besoin de toi, ici.

Sabri : C'est bon ferme ta gueule !

Youness : Laisse, il a raison. C'est de ma faute. Mais Tout ce que je peux vous dire au moins pour vous aider c'est que Mia a vecu avec nous. Ryad et moi, on est des chef de gang. Enfin Ryad, tu l'étais à une époque. Elle sait comment ça se passe ainsi que nos méthodes de recherche. Elle est préparée et va tout faire pour pas qu'on la retrouve.

Moi : Tu l'appelle Camélia et non Mia, dis-je d'un ton sec.

Lui : C'est ma soeur.

Moi : Quand sa t'arrange.

Un grand froid s'était installé plus personne ne se calcula mais Lynda décida de briser le silence.

Linda : Farès, Nassim vous restez manger avec nous ?

Moi : Oui pas de soucis et toi Nass' ?

Nassim : La même. J'ai la dalle en plus.

Sophia : Pff après on me traite de bagra.

Marwan : Parce que t'en ai une pardis.

Sophia : Stop parler français ne te vas pas.

Marwan allait répliqué mais il se fait couper par la sonnerie du téléphone fixe et comme Younes était le plus près, c'est lui qui répond.

Younes : Ouais allô ?

:.................................

Younes : Oui c'est moi. Qu'est ce qui ce passe ?

Il fronça les sourcils. Je sais pas pourquoi mais j'ai un mauvais préssentiment.

:.................................

Younes : Ouais.

:................................

Je fixais toujours Younes du regard. Il ne tenait pas en place. Il y a quelque chose qui va pas. Quand d'un coup son regard croise le mien. Il était neutre et ne bougeait plus. Il était comme une statut. Son regard avait changé. C'est là que je compris puis il lâcha le téléphone qui s'éclata au sol.

***********Retour dans la peau de Camélia************

Je réveille pour une fois sans avoir fait de cauchemar. Il était 11h. Ca fait si longtemps que je n'ai pas dormi comme ça, apaisée. Je regarde autour de moi. Je n'étais pas à l'hôtel mais bien à la villa. J'avais du mal à réaliser ce qui s'est passé hier et pourtant c'était bien vrai. J'ai rencontré ses personnes qui m'ont offert un toit. J'ai retrouvé Walid et Belka qui désormais me protège comme si j'étais leur petite soeur et je l'ai revue aussi lui...Youssef. Je me lève et pars faire le rituel du matin. Tout était si beau et luxeux que j'osais à peine toucher.

Une fois fini, je m'habille d'un jean noir troué aux niveaux des genoux, un tshirt blanc, gilet gris et des petites UGG grises. Je relisse vite fait mes cheveux et me maquille légèrement. Sa fait longtemps que je ne ressemblais pas à une vraie fille. J'avais trop pris l'habitude de mettre de joggins.
Je sors de ma chambre et fis le même chemin qu'hier soir. J'entends plusieurs voix venant de la cuisine quand je fais mon apparition. Je vis qu'ils étaient tous là sauf Youssef. Il doit sûrement encore dormir. Au milieu de la team, je vis un renoi qui n'arrêtait pas de rire. Son rire est trop hlou en sah.

Foued était juste a côté de lui quand il me remarqua.

Foued : Sbah el kheir Camélia t'es enfin réveiller ! Ta bien dormi ?

Moi : Sbah el nour ! Oui hamdoulah, merci. Et vous, tous ?

Eux : Oui hml.

Farah : Viens assis toi avec nous. Il y a tout sur la table gauffres, jus, lait, café chocolat.

J'acquiese et me dirigea vers la place qui restait juste en face du renoi qui me lachait pas du regard. Je m'assois entre Belka et Moha. Belka me fait un calin et un bisou. Walid et Moha se lèvent et débarassent leurs bol avant de venir me faire un calin et repartir à leur place. Tout le monde me fait la même ce qui m'a trop touché. A peine arrivée qu'ils me considèrent tous comme une des leurs.

Le renoi : Wsh la miff même pas vous présente la jolie demoiselle.

Foued : Ah ouais Djibril, je te presente ma hlel. Je vais aller la kthob aujourd'hui en plus.

Le fameux "Djibril" fit les gros yeux.

Je ris à sa tête.

Lui : Jure wallah.

Samir : Laisse frère, il raconte de la merde. En fait c'est ma mra. Il fait trop le mec qui veut me rendre jaloux mais il a pas compris que sa marche pas avec moi.

Mdrrr ils sont trop drôle tous les deux. Et en plus tellement Samir parlait sérieusement, on pouvait réellement croire que ceci était vrai.

Walid : Azy vos gueules. Hlel de rien du tout oui. Vous êtes immariable, frère.

Nous : Mdrrrr.

Brahim : Raiie Walid protège sa tipeu.

Walid : Tkt mon gars.

Foued : Tu m'as brisé le coeur, brisé les côtes, j'ai changé de côté.

Samir : Arrête Fouedounette mon hlel. T'inquiète, tu restes dans mon coeur et personne ne peut le briser (avec une voix de fille)

Nous : Mdrr

Bram's : Starfellah bande pd.

Samir fait le signe de zherma parle à ma main.

Lui : Les vrais diront masha'Allah et les haineux diront Starfellah.

Foued : Ouais tsheak ma hleh en chaussettes.

Nous : Ptdrrrrr

Samir et Foued étaient à fond dans leurs délires. Quand je vois Youssef qui entre enfin. Il a une petite bouille trop mignonne quand il se réveille mais il garde aussi perpétuellement ses soucils froncés. Il reste toujours aussi beau même quand il vient juste de se réveiller. Moi, je me réveille le matin avec une tête, je ressemble à la cousine de Choubaca avec les yeux de gouloum stp mdrr. A part ça, croyez-moi ou non mais mon regard ne pouvait se détacher de lui et je pense qu'il a remarqué que je le regardais puisqu'il leva son regard vers moi. Je baissa immédiatement la tête, intimidée. Brahim contourna la table pour le saluer.

Brahim : Sbah el kheir kho. Ca été le voyage ?

Youssef : Sbah el noor. Oui hmdl.

Youssef ne sembla pas calculer tout le monde autour de lui. Il salua juste rapidement les mecs et lança un petit salam aux filles sans me lacher du regard. Après cela, il arrive juste en face de moi. Il me regardait toujours avec ses sourcils fronçés et son regard mystérieux. Comment dire que j'étais perturbé. Je ne savait ni quoi dire ni quoi répondre.

Sous ma surprise, il me tendit sa main en ne me lachant toujours pas du regard.

Youssef : Salam, Youssef.

Je fus pas tellement surprise de son ignorance, il m'avait pourtant signaler hier soir que devant les autres lui et moi étions de parfait inconnu. Je ne vais pas me plaindre mais j'avoue que au fou de moi je crois que je suis... un peu déçu... oui c'est bien le mot déçu.
Je fus pas tellement surprise de son ignorance, il m'avait pourtant signaler hier soir que devant les autres lui et moi étions de parfait inconnu. Je ne vais pas me plaindre mais j'avoue que au fou de moi je crois que je suis... un peu déçu... oui c'est bien le mot déçu.
Je lui tendis ma main à mon tour avnt de la serrer. Je ressentis d'un coup plein de frissons dans mon corps.

Moi : Comment tu sais ?

Il me fit un petit sourire.

Lui : Haha

**********Début du Flash back************

Moi: alors alors

Youssef: alors rien hein mdr nn serieux déjà sa serais bien si je connaissais ton nom tu trouve pas ?

Moi: J'avoue, Camélia et toi Youssef ces sa ?

Youssef: Comment tu sais ?

Moi: Haha

Youssef: tu t'es renseigner sur moi ou ces comment ? Belek t'es de la bac ?

Moi: ptdrrrrr n'importe quoi, ces juste que au quartier on t'appel le mehboul j'ai demander a ma pote le pourquoi du comment

Youssef: aaah beh t'es bien informer laisse moi deviner elle ta dit que j'etais quelqu'un de dangereux ?

********Fin du Flash-back**********

On se regarde quelques secondes encore avant que je me détache de lui remarquant que tout le monde nous observait du coin de l'oeil ce qui me gênait un peu. Quand Belka intervient :

Lui : Mon frère, je te présente ma tipeu, Camélia. C'est elle la pote dont je t'ai déjà parlé hier au tél. Je l'ai invité à vivre ici avec Walid. C'est une bonne amie à nous, hein Balboette ?

Je hocha vite fait la tête mais je resta toujours absorbé par le regard de Youssef.

Moi : Comme je l'ai à tous je ne vais pas rester longtemps et....

Lui : Tu restes ici, Mia, me coupa-t-il avant de partir faire son café.

Djibril se décala pour laisser la place à Youssef et se mettre à côté de moi. Je suivais sans le vouloir le moindre de ses faits et gestes sous les yeux de Moha. Obligé, il va croire quelque chose.

Djibril : Mia, dis-moi réellemnt ta un mec ?

Je fis les gros yeux face de sa question. Youssef leva son nez de son petit déjeuner pour prêter attention à ce qui se passait autour de lui.

Moi : Euuh.... c'est quoi cette question ?

J'étais malaise. Le souvenir de Farès revient directe dans mon esprit avant de s'évaporer.

Djibril : Oklm Mia, c'est juste une question comme une autre. Déstresse poupée.

Je ne sais pas pourquoi mais mes nerfs ont commencés à monter. Peut-être parce que ça me fait penser à lui et à mon passé sûrement.

Moi : Ok alors premièrement, je n'ai pas de hlel puis deuxièment appelle-moi encore ma belle et je te castre à vie.

Eux: Pouahhhhhhhh c'est une tueuses ste meuf.

Foued : Pauvre Djibril. C'est pas grave. Comme on dit une de perdu et dix de retrouvée. Et puis, un petit vent ne fais pas trop de mal dans la vie. Elle aime pas les renois. Elle aime pas. Tu peux pas forcer le game.

Ils sautèrent tous sur Djibril qui lui fut choquer de ma réponse. Je regarde en face de moi et vit presque un mini-sourire se détacher des lèvres de Youssef. Mais Belka passa direct son bras sur mes épaules.

Belka : Balboette, je crois bien que l'on va un peu apprendre à calmer ton agressivité.

Je hocha juste les épaules en réponse.

Soraya : Bon l'équipe sa vous dit une petit après-midi piscine. Il fait super beau dehors ?

Eux : Ouais.

Leila : Youpiii asy Mia, tu montes avec nous. Tu vas faire quelques essayage avec nous.

Brahim: Intéréssant, je peux venir.

Leila rougit direct. Elle ne s'y attendait pas à celle-la tellement que ce fut la première fois qu'elle ne répond pas à sa remarque. Surtout que je'ai bien grillé qu'elle kiffait Brahim. Leila niveau caractère, elle me fait trop pensé à ma Sophia. C'est un truc de ouff.

Samir : Whoo Bram's on se calme. C'est à ma soeur que tu parles là, hcheum un peu.

Bram's : Tkt kho c'est pour dahak. Tu me connais. Elle fait trop warrior c'est bien qu'elle se taisent un peu. Téma, elle est geêné.

Leila : Pff je suis une warrior mon chère. Rien ne peut me gêner, je te signale. Mia, dépêche-toi. Hsl, tu nous rejoins en haut.

Je me détache des bras de Belka pour aller les rejoindre quand il m'arrete en course.

Belka : Mia.

Moi : Oui, je sais. T'inquiète. Pas de trucs trop court ou vulgaire, dis-je sans me retourner.

Décidément, il a le même comportement que Ryad ou encore Sabri avec moi. Je monte rejoindre les filles dans la chambre de Leila. Heureusement que dans cette maison, on les repère facilement grâce à leurs cris puisque vous savez toutes les filles que nous sommes de vraies piplettes entre nous. Dès que je rentre dans celle-ci, Leila me prit direct par la main pour me montrer plein de maillot aussi beau les uns que les autres.

Leila : Voilà ma belle ! Choisis ce qui te plaît. Il y a de toutes les tailles.

Moi : Merci beaucoup, ils sont super beaux.

Syrine : T'inquiète, on sait qu'on a grave du goût mdrrr.

Je commença à regarder un par uns en essayant de trouver ma taille. Pendant que les filles parlaient.

Leila : Eh Mia ! T'as trop de la chance.

Moi : Pourquoi ?

Soraya : Tu as attirée le regard du beau Youssef. Sérieusement, vous vous dévorez limite des yeux tout à l'heure.

Je me mis direct à rougir. Super !

Farah : C'est mignon, elle rougit.

Syrine : Coup de Foudre au premier regard.

Oh les filles si vous saviez la vérité...

Moi : Arretez de dire n'importe quoi. Bon je vais me changer.

J'étais un peu soulée. Je voulais pas qu'on me casse avec quelqu'un. Au moins pas maintenant. J'étais toujours amoureuse de Farès. Je suis en pleine cicatrisation. C'est trop douloureux pour le moment. Et puis, il n'y a rien entre Youssef et moi. On est juste... de simple connaissance. Oui, c'est ça le mot.
J'avais sélectionner un maillot deux pièces croisé vers le ventre et de couleur vert émeuraude. Il mettait parfaitement mes formes en valeur. Un peu trop même. Je remarquais aussi des tracées d'abdo apparaitre sur la ventre du aux sports intensifs de ces dernières semaines. Je sors de la salle de bain pour en choisir un autre quand je fus arrêté par des hoquet de surprise.

Soraya : Oh mon dieu ! Mia, tu as un corps de oufff !!! Mama, c'est pas très charlie tout ça.

Je leur fit un petit sourire.

Moi : Je me sens pas très alaise dedans. Je crois que je vais en choisir un autre.

Elles : NON HORS DE QUESTION !!!!!!!

Moi : Chut pas si fort. Vous êtes complètement folle ma parole.

Leila : Oui, folle de te laisser te changer alors que tu es super belle dans ce maillot. Tu reste comme ça. Fin de la discussion.

En temps normal, je me laisserais pas faire mais j'ai préférée laisser. Les filles finissent de s'habiller puis nous descendions toutes en bas. Les garçons étaient tous déjà dans la piscine. Je laisse les filles passer en première. J'étais malaise de me montrer ainsi. Il y avait sur les transats Moha, Bram's et Youssef et le reste des mecs était déjà dans la piscine. J'hésitais beaucoup avant d'avancer mais j'ai pris mon courage à deux mains et je les ai rejoind. En arrivant, je tomba nez à nez avec Youssef qui me regarda de haut en bas avec un sourire charmeur jusqu'à que Syrine cria de les rejoindre. Il fronça d'un coup ses sourcils et me laissa passer pour que je puisse les rejoint. Belka arrive vers moi.

Lui : Vos mieux que tu restes près de moi pour éviter les accidents.

Samir : Ou évitez d'être mouillé.

Là, je n'ai rien compris à ma vie. Samir me souleva direct et me pris comme une princesse avant de me faire plonger dans la piscine. Je remonta vers la surface et repris ma respiration. Je replique direct en sautant sur lui essayant le faire couler sauf qu'à la fin, c'est lui qui me faisait couler.

Moi : Moha, Belka, Walid aidez-moi !

Direct, j'entendu des plongons. Belka me rejoint direct et se met devant moi en mode garde du corps.

Lui : Qui embête ma princesse ?

Djibril : Zherma Camélia a des gardes du corps okok.

Moha : Tu veux quoi toi ? Wsh déjà ta le profil d'être un vigil à Carrefour et tu parles. Azy, rentre à la casa avant que tu deviennes un Strompfs.

Eux : Ptdrrrrrrrrrrrrrrrr

Foued : Depuis quand tu voles mon humour, Moha ?

Samir : Depuis quand toi t'as de l'humour même ?

Nous : Mdrrrrrrrrrrrrrrr

Syrine : Ca m'aurais pas plus, je me serais battu Foued.

Foued : Eh mais toi, je vais te brisé les os.

Il allait attraper Syrine quand Moha la soulève d'un coup pour la mettre derrière lui.

Moha : N'y pense même pas.

Foued le regarde un moment avant de lui lancer un clein d'oeil. Il saute sur Moha et tous les deux se bagarrent pour rigoler. J'avoue que Moha est un peu plus grand que Foued mais celui-ci ne s'avoue pas vaincu. Moi, j'admirais la scène lorsque je sentis la main de quelqu'un enfoncer ma tête sous l'eau. Je luttais pour m'en défaire et remonter à surface jusqu'à la pression se relâche. Quand je remonte enfin et suffoque à moitié. Je me retourne près à frapper la personne quand on me retient le bras. Je lève la tête et je suis face à Youssef. Je baisse direct le regard et mama son torse est bien musclé putain. Ce mec a un truc qui m'attire. Je ne s'aurais d'écrire ce que ce serait. Je sens sa main qui me redresse le menton histoire que je le rfregarde bien dans les yeux.

Lui : T'inquiète. Tu peux toujours continuer à m'admirer ma belle. C'est pas tout les jours que tu vois un beau gosse, me sussure-il en me faisant un clein d'oeil.

Je rougis pourtant je m'approche de lui. Nos corps se frolaient. Je me mis sur la pointe des pieds pour atteindre son oreille.

Moi : J'ai déjà vu mieux ailleurs malheureusement pour toi.

Je me détache de lui avant de sortir de la piscine et de me poser sur le transat pour bronzer un peu. Syrine me rejoint.

Syrine : Viens Mia, on va boire un peu. Il fait trop chaud.

Moi : Oui, tu as raison. Allons-y.

Elle me tend un pareo que j'enfile avant de rentrer dans la maison et de se diriger dans la cuisine. Elle sort deux cannettes de coca ainsi que des verres qu'elle sert.

Moi : Alors ?

Elle : Alors quoi ?

Moi : Avec Moha hier soir?, dis-je en me rappelant ce qui s'est passé la veille.

Elle : Il y a rien eu enfin si. C'est bizarre à vrai dire.

Moi : Mais non, je vous ai vu tout les deux. Vous vous dévorez du regard, c'est un truc de malade. C'est trop hlou. Regarde, il vient de te défendre contre Foued. Et je crois bien que tu l'intéresse d'après ce qu'il ma dit hier soir, laissais-je entendre pour éveillé sa curiosité.

Elle : Attend il est intéressée par moi ?! Le Moha imposant, dure, froid et aussi solitaire que Youssef. T'es sûre qu'on parle bien du même ?

Moi : Bien sûr que oui, Syrine.

Syrine : Tu dois te tromper, Mia. Il ne doit pas s'intéresser à une pauvre fille simple comme moi. C'est pas possible.

J'étais un peu abasourdi par ces paroles.

Moi : Pourquoi tu n'as pas confiance en toi comme ça ??!

Elle : Parce que je suis une fille normale. J'ai pas des formes de ouff comme Soraya et Farah. Je ne suis pas une grande gueule comme Leila. Je n'ai pas ton courage et ta beauté, Camélia. Je suis juste une pauvre orpheline. Je n'ai pas de famille. Dis-moi qui voudrais d'une fille comme moi ??! Personne !, dit elle en larme.

Elle baissa la tête. Je la prit automatiquement dans mes bras. Je lache quelques larmes avec elle. Le fait qu'elle était seule et sans famille me font rappeler ma situation. J'étais grave toucher, c'était le mot. Je n'aurai jamais qu'une fille comme elle contenait autant de tristesse. Je lui leva son mento pour qu'elle puisse me regarder.

Moi : Regarde-moi, ma belle.Tu es belle et tu as de magnifique yeux gris. Tout le monde souhaiterais avoir les mêmse et encore même sans ça tu resteras toujours belle. Souviens-toi, tu n'as pas besoin de tout ça pour attirer un homme et surtout Moha. Il faut que tu restes toi meme tout simplement. Si il est attirée par toi, c'est pour ce que tu es et non ce que tu tentes de montrer. Maintenant, arrête de pleurer et fonce. C'est tout.

Elle essuya ses larmes et souffla un bon coup.

Elle : Si tu le dis. On verra comment ça va évoluer avec le temps. Je comprends pas pourquoi toi tu n'es pas encore cassé. Tu es belle, gentille et intelligente. Tu pourrais rendre n'importe quel homme fou de toi.

Oui, sauf que je ne voulais pas n'importe quel homme. Je voulais Farès. Mon coeur le désire toujours et encore. Pourtant, mes pensées se dirige vers...

Elle : Pourquoi pas Youssef ?

Moi : Hein de quoi tu parles ?

Elle : De Youssef. Il y a truc qui vous lie vous deux juste dans le regard. C'est la première fois qu'il fait attention à une fille wallah. D'habitude, il ne calcule jamais les filles, même nous et encore, les meufs juste il les ken puis il les jette.

Moi : Ca ne veux rien dire. Je ne m'intéresse pas à Youssef et lui aussi, crois-moi. Bon passons à un autre sujet.

: Oui comme le fait que tu es ici chez mon homme ?, dit une voix aigu derrière nous.

Surprise, je me retroune vers cette voix et c'est...Samira avec ses deux putes de copines. Mais que fait cette garce ici ? Et pourquoi elle dit que je suis chez son homme attendez....elle parle bien de Youssef. La maison est à lui. Ca veut dire que Youssef est son homme ? Really ????

Syrine : Dégage de là, Samira. On dirait que ça ta pas suffit ton oeil au beurre noir que t'essaye de camoufler par ton marquillage enfin plutôt ton pot de peinture de chez Sephora.

Samira : Non de KIKO.

Nous : Encore pire.

La pote de Samira (1): Restez à vos places surtout toi, Syrine. Dis-moi, mais où est donc Moha ? Il m'a beaucoup manqué, mon bébé.

Je vois Syrine devenir rouge de colère et sah elle commençait à me faire peur limite elle tremblait sur place.

Syrine : Espèce de salle p...

Je la stoppa dans son élan.

Moi : C'est pas la peine de gaspillez ta salive, Syrine. Ignore-là. L'ignorance est le plus grand des mépris. Elles n'en vaut pas la peine.

Je continue de boire tranquillement mon coca quand je vis Samira me l'arracher des mains avant de m'asperger avec. J'étais stupéfaite à vrai dire je ne l'avais pas vu venir celle là. Tout mon paréo ainsi que mon maillot était tranpé.

Samira : Maintenant tu sais ce que ça fais, kehba. Ta pas ta clique pour te protéger maintenant, hein ?

Alors je peux vous dire que ni une ni deux mon poing vola sur son visage. Elle toucha son nez qui pissait le sang. Je crois qu'au passage j'ai eu des traces de son pot de peinture sur la main. Folle de rage, elle sauta sur moi. On bascula toutes les deux par terre. Je me perds pas de temps et me mis directe sur elle. Je l'enchaîna avant de me faire arrêter par une de ses potes (2) qui me tira les cheveux en l'arrière. Je tomba par terre. Elle allait m'écraser le visage avec son pied mais Syrine arriva au bon moment et la frappa à la tête avec une poile. Mdr c'est une folle. Miskina, sa pote (2) était assomé. Mais Samira arriva par derrière Syrine et la cogna avec un vase en verre qui s'éclata sur sa tête. Je n'ai meme pas eu le temps de la prévénir. Le choc fut tellement violent qu'elle tomba par terre au milieu des bouts de verre.

Moi : SYRRRRIIIIIIIIINNNEEEEE NOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!

Je me releva direct vers elle. Sans ment rendre compte, je marchais sur les bouts de verre mais je m'en fichais. Le plus important était la santé de Syrine. Arrivée près d'elle, j'examina sa tête. Je regarde ma main, il y avait du sang.

Enervée, je me jeta sur Samira et sa copine (1). Là, je peux vous dire que j'étais déchainer. Hop coup de casserole dans la tête pour sa pute de pote et pour elle. Je me remis sur Samira et la frappait de toutes mes forces. J'étais incontrolable jusqu'à que je sens quelqu'un me tirer en arrière. Je me débattais toujours.

Moi : LACHE-MOI !!!! LAISSE-MOI LA DEFONCER CETTE KEH ! LAISSE-MOI FINIR LE TRAVAIL !!!

D'un coup, je me sentis retourner et je vis Youssef, les sourcils froncés me regardent droit dans les yeux. Et c'est pas, il me lâche et part prendre les Cheveux de Samira en trainant par terre comme un chien et s'éloigner avec elle. Belka arriva prêt de moi tandis que je suffoquais et pleurais en regard le sang de Syrine se déverser par terre. Moha cogna contre le mur fou de rage en voyant son état. Il était incontralable et frappais partout.

Lui : Chut ! Calme toi-Mia.

Je ne sais avec quel force j'ai utilisé pour me lever mais j'arriva vers Moha et tenta de le calmer.

Moi : Moha arrête ! Il faut l'aider sinon elle va mourir.

Il s'arreta net et me regarda avant d'aller vers Syrine pour la soulever et la porter comme une princesse. Son visage était blanc lui qui est habituellement bronzé. Il se précipite vers la sortie surement pour la ramener à l'hopîtal. Avec lui, je sais qu'elle est sécurité. Comme d'une part il la kiff, il souhaite juste sa protection. A cette instant, je sais qu'il doit avoir peur pour elle, peur de la perdre.Youssef revient dans la cuisine et se dirige vers moi. Je me calma et le regarde, inquiète.

Moi : Il faut que j'ailles avec eux, lui annoçais-je.

Il me regarda un instant. Je voyait qu'il essayait de décripter mon regard. Il toucha mon front ce qui me piqua.

Lui : Avant, il faut que tu te soignes avant.

Moi : Non, je pars.

Lui : Commence pas à faire la warrior. Tu saignes, dit-il d'un ton froid.

Il me prit par la main. On monta à l'étage ensemble dans le silence. Je me laissa guider par lui en ne pensant qu'à l'état de Syrine. J'espère qu'elle a rien de grave. Elle a essayé de me protégée et par ma faute elle est blessé à cause moi. J'ai l'impression de causé des dommages partout où je vais. A ce moment je remettais en question. Et si c'était une bonne idée de rester ici ?

On entre dans une chambre. Le couleurs était sombres. On respirait le parfum d'homme direct en rentrant. C'était surement la chambre de Youssef. Il me dirige vers sa salle de bain privé. Tout était si beau et bien ranger. Il m'assoit sur le bord de la baignore. Il sort des cotons de son placard avant de les inbibés d'alcool et de me les passer sur le front. Je grimace de douleur.

Lui : Je suis obligé, murmura-t-il. Tiens ma main pour faire passer la douleur

Je l'écouta et le laisse faire. Je lui donna ma main un peu tremblante. Ca piquait de ouff que je pressais sa main mais avec ma petite force il doit rien sentir. Je sais pas mais quand il est près de moi, je suis stresser même voir perturbé par sa présence. Ce mec est tellement mytérieux. Il dégage un truc de ouff. Sincèrement, Youssef est totalement mon style mec. Je vais pas le cacher. Je repense encore à la première fois où je l'ai vu à la boulangerie. La honte quand j'y repense. Il avait payer une de mes baguette et le pire c'est que j'ai oublié mon porte-monnaie là-bas. C'est lui qui me l'avait rapporté en scoot. Je voudrais tellement savoir pourquoi il a disparu de la tess. Enfin sa version des faits ou bien si les dires des gens sur lui sont vrais. Est-ce qu'il a toujours cette image de mehboul ou bien a-t-il changer ? Comment il a réussi à avoir une aussi grande maison comme celle-ci ? Toujours et encore des questions sans réponses.

Moi : Tu n'etais pas obligé.

Il ne fait pas attention à ce que je dis.

Lui : Depuis quand la belle Camélia se bat ? Tes frères te laisses te battre maintenant.

Il avait tappé là où sa fait mal.

Moi : Ne parle pas de mes frères. Apprend juste à dresser tes putes la prochaine fois.

Je me lève direct. Enervée, j'allais ouvrir la porte mais il m'en empêcha. Il me plaqua contre celle-ci. Son regard était noir. Je flippais intérieurement. Il était si froid si dur. Il respirait Fort voir même bruyamment.

Lui : Tu me parles autrement, je suis pas ton pd de frère ni ton ex. Maintenant, dégage avant que je fasses une dinguerie, Mia.

Sa voix m'as fait froid dans le dos tellement elle était dure et froide. J'essaya de me dégager de lui mais il me retenait toujours son regard fixant toujours le mien jusqu'à qu'il me laisse enfin partir. J'étais toujours choquer des évènement. En descendant, je vis Moha et Syrine de retour qui m'informèrent que celle-ci allait bien juste quelques point de sutures hamdoullah. La team me raconta que Soraya a niker à son tour Samira après avoir su ce qui était arrivée a Syrine avant de les ejecter de la maison. Youssef est dessendu avant de claquer bruyamment la porte d'entrée. Au moins, il était sortie et avec les autres on a essayer de se changer les idées.

************ 1 mois plus tard**********

J'étais sur l'autoroute, je conduisais comme une folle. ILs m'ont tous mentis. Surtout lui. Je ne peux pas revivre dans cette merde, c'était hors de question. Mes larmes n'arretais pas de couler. J'en ai marre de tous c ette histoire. C'est sur ils vont me retrouver maintenant. Il faut que je pars au plus vite. Où ? je ne sais pas mes loin d'ici. Mes sanglot redoublèrent au font j'ai très mal de les quitter surtout la moitié sans leur dire au revoir. Pourquoi quand tout vas bien il y a toujours un truc qui gache tous merde !!!
Je roulais comme une folle. Je voyais pas très bien la route à cause de la plus. La radio m'archait pas. C'était la hess. Je vois un truc passer devant la route. Je sais pas pourquoi mais je commence à paniquer et à essayer de l'éviter sauf que d'un coup je me sens voler avec la voiture. Je suis tourner et retournerjusqu'à enfin sa s'arrete. Je suis à l'envers. J'ai mal partout mais surtout à la tete. J'ai l'impression de voir au loin quelqu'un marcher vers moi; sauf que je n'ai pas le temps de voir qui s'était puisque mes paupières commençèrent à se fermer petite à petit me plongeant dans un sommeil profond.
Mais que s'est-il passée ? Tel est la question. La suite dans la prochaine partie, la miff. Désolée du retard #LaNewChronika

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