Chapitre 3

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Jour 2.

Stupide, voilà comment se trouvait Drago, il se trouvait stupide. Par Merlin pourquoi avait-il été la voir pour lui dire d'oublier ce qu'il lui avait dit. Il aurait tout simplement pu faire comme si il avait oublié toute sa soirée. Il se mit une claque mentale, se rappelant soudain du stupide pari qu'il avait fait avec Blaise. Il comptait bien le gagner. Parce qu'un Malefoy ne perds jamais un pari.

Le jeune homme ne prit pas le temps de réfléchir plus longtemps et décida de se rendre à son cours de Métamorphose, il détestait ce cours. Non pas qu'il n'aime pas la matière en elle-même, c'était plutôt sa voisine qui avait le don de le faire sortir de ces gons.

— Dray !!!

Le blond soupira, et pour une fois se dit qu'il était peut-être mieux de ne pas lui répondre, après tout. Peut-être que si il l'ignorait ça finirait par lui passer.

— Dray, réponds moi !

Il détourna son regard vers la jeune fille puis planta ses yeux dans les siens, il avait un regard froid, inexpressif. Le seul sentiment qu'il montrait était du dégoût et une haine profonde.

— Pansy, lâche moi cinq minutes tu veux !

Il s'était voulu dur dans ses paroles, et il l'avait fait exprès, il voulait la blesser, volontairement. Parce qu'une fois que Pansy était blessé, elle le laissait tranquille pendant deux ou trois jours. Ce n'était qu'un mince répit, mais au moins, pendant ce temps il pourrait passer à l'action avec Granger.

Il ne fut que plus satisfait quand il remarqua que Pansy n'avait pas l'intention de lui répondre, apparemment pour le moment elle avait l'air d'avoir compris le message qu'il voulait lui faire passer.

Le professeur McGonagall fit son cours, passionnée par ce qu'elle racontait à ses élèves, mais Drago n'en écouta pas un traître mot. Son regard était fixé depuis le début du cours sur une certaine Gryffondor. Et oui, les Serpentard et les Gryffondor avait le cours de métamorphose en commun.

Il fallait qu'il trouve quelques chose pour l'aborder, enfin l'aborder n'était pas le problème en soit, mais il devait trouver quelque chose, pour ne pas être haineux envers elle pour une fois. Et surtout, pour pouvoir la voir seule, sans ses deux acolytes.

Après mainte et mainte réflexion, une idée lui vint en tête. Une lettre. Si la jeune femme aimait lire, elle devait sûrement aimé écrire aussi d'après lui. Quoi de mieux pour attirer une fille qu'une relation épistolaire. Le tout, c'est de la draguer, sans lui dire qui se cache derrière ces lettres.

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