Chapitre 2- Vincent

Màu nền
Font chữ
Font size
Chiều cao dòng

Alice, la fille du marché, me prépare au retour de notre maître. Je portais une chemise blanche et par dessus un gilet noir. Classe ! Je me regarde dans le miroir et entend un soupir de la par d'Alice.

- Tu sais pas mettre du gel ou quoi ?

- Non, j'en ai pas mis c'est différent. Quand arrive le maître de maison ?

- Il rentre d'Angleterre avec son père dans environ cinq minutes. Carlos, leur chauffeur, trouve toujours un moyen d'arriver à l'heure.

Pendant se temps, je regarde la salle autour de moi. Alice ma fait entrer par derrière, pour que les autres serviteurs de Vincent ne me voit pas, et m'a emmenée directement dans la chambre du maître.

soudain Alice fait volte face et me regarde de façon insistante. Puis s'écrie...

- La voiture est là! Alice sautait partout. Je dois prévenir le jeune maître de ta présence. Oh ! Je t'ai déjà dis que tu serras le domestique personnel de Vincent? Et rappel toi de ce que je t'ai dis, toujours faire ce qu'il désir.

Elle referma la porte et partie. J'entendis, après un moment, des pas monter les escaliers. Des brides de leur conversation me vînt avant qu'il n'arrive "Il est comme vous le vouliez jeune maître, et a coûté le prix que vous avez fixer. Pas plus pas moins". Mon coeur se mit à faire le grand huit rien qu'à l'entente de sa voix "bien" fut les seul mot que sortit le maître, et se fut assez pour me faire trembler de tout mon corps.

Mes mains était moite. Et si il ne m'aimait pas à cause de ma fragilité? Je ne fais que 1m67 pour 18 ans... je ne pourrais pas aider le jeune maître dans beaucoup de choses...

- Le voilà! un homme très chic me prit dans ses bras. Tu seras tellement  utile à Vincent, et peut être aussi à moi.

- Père... c'est le mien , tu n'y touche pas...

je n'agais dans l'incompréhention , dans quoi voulait t'il que je lui soit utile? 

- Peux importante! Prends soin de lui, c'est le seul esclave que tu auras! Je n'aime pas le marché noir de tout façon, et tu va l'arrêter maintenant dit-il soudain plus dur qu'avec moi, ce qui me mit mal à l'aise d'être entre eux deux . 

- Père, il se fit plus insistant sur le mot pour démontrer son agacement.

- Ok fit-il plus froid lorsque ses yeux se posa sur le maître.

Alice me fit un clin d'oeil et partit suivie du père de famille. Une fois la porte claquée, le jeune maître s'affala sur son lit puis se mis sur les coudes et me regarda. Ses yeux étaient verts clair plus profond que la forêt elle même, et ses cheveux d'un ébène très foncés fut coupés pas trop court mais de façon à ce que qu'elle que mèche barre son front quelque fois . Il me regarda de haut en bas, et intensifia son regard sur mon corps tout frêle et tremblant, c'est fou comme il me mettait mal à l'aise .

- Tu vois l'armoire là-bas ? Tout les matins à 6 heures, tu me reveilleras et me sortiras mes vêtements. Tu dînes avec moi et me suit partout. Le soir, tu me serviras mon pyjama pendant ma douche. Le reste du temps où l'on est pas ensemble, tu seras libre mais toujours prêt à me rejoindre si j'en ai besoin.

- Bien, Vincent. 

- Appelle moi Monsieur, mais si tu obéit sans me faire du tort on sera amis.

- D'accord. 

- Comment tu t'appelle ?

- M- Mathias. 

- Alors, Mathias viens.

Je m'approche et il me tire sur le lit. Il mit tout son poids sur moi et me plaquant contre le matelas. Vous ai-je déjà dit que j'étais aussi fort pour me défendre qu'un bébé?

Vincent, après m'avoir immobilisé, me dépose un baiser sur le creux de la bouche. Mais pourquoi je dis ça aussi simplement? Je recommence! VINCENT M'A TOUT SIMPLEMENT M'A EMBRASSÉ !
Il se leva et quitta mes lèvres, me redonnant en même temps ma respiration. Le rouge me monta  aux joues, et mon souffle avait du mal à redevenir régulier. Je mis ma tête dans le cousin. Vincent se reposta devant la porte.

- Tu es mignon. Si innocent, faible... Je t'aime bien Math'...

Il me sourit et se tourna "On doit aller dîner. Depeche toi".
Quoi ? Il me reparle comme ça? Après m'avoir... Ce fut si trouble dans ma tête que j'avais du mal à m'en remettre.

- Ne dis pas à mon père ce qui c'est passé, sous aucun prétexte! Compris? fit-il d'une plus douce que son précédent ordre. 

- D- d'accord. 

- T'es chou. Oh et...

- Quoi ?

- Le rouge te va bien.

J'espère, parce que je sens que je vais souvent porter cette couleur !

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen2U.Pro