j'aimais les dimanches comme on aime la pluie en été
un soulagement
les larmes qui apaisent la brûlure du soleil
et nous aide à apprécier celle du lendemain,
pire encore
je m'abreuvais de ta beauté
et en récompensais jalousement mon cœur
aride
à vide
la volupté de tes gestes s'imprimait sur ma peau sans même que tu ne me touche
il me suffisait de t'imaginer pour être comblée
j'aimais les dimanches mais je les déteste à présent. leurs voix s'imprègnent de la tienne sans pouvoir l'égaler
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen2U.Pro