Mes (ancien) 80 textes manquent de longueur, d'aventure et de joie. Un nombre ne signifie pas grand chose dans la vie dun homme. Sauf bien-sûr si c'est le premier ou le dernier qu'il voit ou entend. Nous retenons que les choses qui nous marque. Des choses éprouvantes, drôle et bien souvent ce sont des moments heureux. Inconciament notre coeur vire les moments pénible de notre cerveau; nous les oublions alors qu'ils nous donnent une bonne leçon. Lorsque nous sommes enfant, nous voyons le monde comme une aventure paisible. Quelque rebondissement mais jamais de tort.

Une monde de bisounours.

Lorsque nous sommes adolescent, pleinement conscient de comprendre les infos, nous le voyons plus comme un monde pénible. Mais, quoi de mieux que des adolescent qui ne s'occupe que d'eux ? De leurs sentiments et autre?

Un monde de galère.

Lorsque nous sommes adultes, je n'ai pas la moindre idée de comment nous allons le voir. Beau? Ideux? En pleine guerre ou avec des conflits réglé?

Un monde inconnu.

N'avez vous pas toujours l'impression de vous répétez? Comme si, inlassablement la nature cherché a nous faire du mal. Comme si, au plus profond de notre coeur on savait que tout ces monde était radicalement différent. Notre esprit nous protège. Enfant, il nous protéger des conversations des grands.

Beaucoup de choses nous protège. Au fond, cette protection n'est elle pas de trop? Doit t'on vraiment avoir besoin d'elle pour comprendre notre avenir? Notre monde ? A certains âge elle est essentielle mais elle ne sert plus à rien pour moi. Je n'ai vécu que quinze petit années soit, mais je pense qu'on a plus besoin de censurer. Parler moi comme à une futur adulte je vous en supplie. Moi aussi, ouais, moi aussi, je pense au futur à mon passé joyeux et malheureux. Je pense au mal être de ma famille, aux maladies qui traînent et mes amis vue toute les deux semaines. Moi aussi je me demande ce que je vais faire de ma vie, si je fini comme une conne sans le bac.

On a tous déjà pensé aux problèmes d'adultes.
Comme on a tous déjà pensé à la mort.