Chapitre XIII

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Aie! !!!
Alors que je courais dans les luxueux jardin du centre d'entraînement je me suis pris dans quelqur chose. Alors que je me relève après mettre lamentablement vautré sur le sol toutes les lumières qui éclairaient l'allé s'étindent sauf une qui éclaire l'objet sur lequel j'ai trébucher. Je me met à quatre pattes et avance vers l'objet en question. Il s'agit d'une boîte en velours bleu marine ( ne me demandé pas comment j'au pu trébuché dessus, je sais pas ) avec une petite étiquette où il est marqué ; " Bon anniversaire Espoir, ne cesse jamais d'espérer ". Je relève la tête, et tous les spores de lumière qui éclairaient le chemin viennent de s'éteindre sauf un, celui qui m'éclaire. Mon coeur bat, bat tellement fort que j'ai l'impression qu'il vas exploser. Ma repspiration est saccadé, à cause de ma course folle dans les jardins. Quand la musique commence. Une musique douce, mais rythmique. La musique traditionnelle du district 12. Je me rappele. Tous les ans, depuis que je suis née, je vais à la fête de la Victoire, celle de la Révolte, depuis que je sais marché je danse. Je danse avec une passion inconnu à beaucoup de monde. Celle de l'amour. Car ce n'est pas seulement pour fêter quelque chose, mais pour fêter l'amour. L'amour que les gens ce portent les uns pour les autres, dans les bon comme les mauvais moment. Elle a lieu dans tout les districts, même au Capitol. Mais beaucoup de monde préfère aller au 12. Annie et Léo y vont souvent, tous le temps en fait. Il m'a appris à danser, avec Tommy, qui est un... était un excellent danseur. Ils m'ont appris les pas, et en on même inventé, et les ont enseigné au autres. Je me souvient de la fois ou Tommy à inviter Marlène à danser c'était très drôle.

C'était il y a 4 ans, la fête batait son plein, même les personnes âgés était encore debout et dansaient à une heure si tardive. Le bois de la piste était déjà abîmer. Avec Tommy et Léo, nous étions sur le bord de la piste. Et discutions. Léo nous faisait part de ses découvertes en matière de pêche, et dans l'art de faire les filets. Tommy quand à lui ce balançait sur ses pieds l'aire soucieux et inquiet. Il avait prévu de demander à Marlène de danser avec lui, mais étant donné le fait qu'elle ne l'aimait pas beaucoup, il avait peur d'avoir un râteau. Quand à moi, j'étais tous simplement heureuse. J'avais une vraie famille. Des amis. Une maraine qui m'aimait, tous comme son fils, Léo. J'avais un vie. Je n'avais pas peur de mourir dans les prochains jours. J'avais un frère. J'avais Tommy. Nous poussions Tommy à aller la voir. Elle était avec des amies, en train de jacasser commes des oies. De ce dandiner ses fesses rebondit, au rythme de la musique. Tommy est finalement allé la voir, et ils on dansé toute le long de la soirée. Et on commencé à sortir ensemble le lendemain matin. D'après ce que j'en sais, elle avait toujour eu un faible pour lui. Maintenant elle est morte. En même temps que Tommy, au même jeux de la faim.

Met-le, me chuchote une voix dans l'oreille.
Je tourné la tête, c'est Math. Trop abasourdie pour réfléchir. J'enfile le colier. Et d'un coup d'un seul, tous les tributs, viennent sur le chemin, et ce mettent à danser. Danse. Danse. Danse.Danse. Danse. Danse.Danse. Danse. Danse.Danse. Danse. Danse. Danse. Danse. Danse.Danse. Danse. Danse.
Je n'en peu plus... J'en ai oublié mes problèmes, mais ils reviennent dès que je m'arrête. A un moment, Solin me prend par la main et me ramène au centre de la "piste", si je peut l'appeler comme ça, ainsi tous le monde ce met par deux et commence à danser, toujour sur le rythme de la musique qui met si cher au coeur. Tourner, plier, sauter, chanter,danser, on arrête pas de la soirée. A un moment les tributs on même apporter un gâteau, ne mon pas offert de cadeaux, mais le fait d'avoir penser à moi, un jour en retard, certe, mais avoir penser à moi cela n'a pas de prix.

Depuis un certain moment, je vois que Leo ce tien à l'écart avec une mine horrible, et sans cesse en train de toucher des petits papiers. Je m'approche, lentement. Je suis en face de lui, mais il n'a pas l'aire de m'avoir aperçu. Je me met à sauter, a danser. Toujours rien. Je lui lance des; Mec, Man, Poisson panné, crevette, ramolo de la cervelle, Odair ! Toujour rien ! Mr. Léo Finnick Martin Odair ! Allo ! La Terre appelé la Lune ! Je passe derriere lui, lui fait des gilis-gilis, lui pince les oreilles. Au bout de bien une demi heure, trois quart d'heures, j'abandonne. Nan mais sérieux. Les autres tributs vont finir par me prendre pour une folle. Ou alors une psicopate. Je m'assois a côté de lui. Et appuis la tête sur les mains. J' a-ban-donne.
-Tu vas arrêter ton cirque Hope !?
Quoi ?!
-Non mais dit-donc Léo, si tu m'avais vu depuis toute à l'heure tu aurrais pu me le dire, non !?
-Non...
-Depuis toute à l'heure je saute dans tous les senses, je hurles, et en faite il suffisait juste que je m'assois à côté de toi pour que tu me remarques !
-Il faut abandonner...
-Ouais c'est ça bien sûr.... heu de quoi tu parles ?
-Il faut abandonner tout espoirs de survivre aux jeux...
Je lui demande déconcentrée :
-Qu'est-ce qui ce passe, Léo, qu'as tu découvert ?
-Donné le moi...
-De quoi ?
-Ton indice...
Étonné, je sors le petit bon de papier, qui me sert d'indice, et le-lui tend.
Je remarque alors que les papiers qu'il avait dans les mains, son en fait les indices, sûrement ceux des autres tributs. Il étale les papiers par terre et ajoute le mien à la fin. Cela forme un petit paragraphe.
Il me le lit :
"À ce jour, tous les tributs à l'entrée de l'arène, recevrons obligatoirement le sort qui leur est destiné. À l'arrivée, n'ayant plus aucuns souvenirs. Ils se turont avec une cruauté peu connue. Ils ont tous de même une chance, à leur troisième meurtre, leur mémoire reviendra, alors la vérité éclairera leurs pensées en apportant la vérité. Le gagnant, fou deviendra, secret il gardera".

Le médaillon glissa des mains de Hope et atterrit sur le tapis de fleurs avec un bruit sourd. Les faces de l'accessoir résistèrent au choc, mais le coeur de la jeune fille, lui, se pulvérisa.
Mais le doute n'était plus permis. Tout ce temps, tous ces jours perdus, sans espoir. La vérité était là, sous son nez.
La cose de tous ses malheurs prochain était là.
À l'observer.
À attendre.
Caché en pleine lumière.
Tous les indices étaient là. Elle avait juste été trop aveuglée pour les discerner.
Et à présent, il était trop tard

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Voilà un nv chapitre. Court, pas de coms - mais Nina on est en vacances tu as le temps de faire des trucs plus long, nan ?! - mais avec un père comme le mien, il est assez difficile de rester sur le portable pour écrire. Je ne tiendrais donc peut être pas ma promesse de poste la fin du livre... peut être pas....

C'est un trop bizz, j ai l'impression que les Notes De l'Auteur font toujours la taille du chapitre. C'est très bizzard...
...mais Nina arrete de parler! Elle sera encore plus longue.
Oui c d'accord il faut que j'arrête.
Ouais il faudrait.
Ok.
Tu arrête.
Toi aussi.
Ta gueule
La ferme.
Ta boca.
-Hey, tous va bien ici j'ai entendu du bruit.
Non c est Nina qui parle trop.
A bon je parle beaucoup?
Non c Nina.
Non c toi.
Au revoir.......


[Attention! Je viens juste de remarquer que j avais ce chapitre en brouillon! Sûrement beaucoup de fautes! Je n'ai pas pu le relire!!!!]

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