Chapitre 5: Savoir pardonner

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Salut tout le monde. C'est moi. ( pourquoi je dit tout le temps des trucs inutiles?)

Dans le dernier chapitre:
Anne s'est fait engagée par Grillby et a décidé de fêter ça en mangeant des hot-dogs avec Saaaaansyyyyy.
À l'épicerie, elle a revue une personne qu'elle n'avais pas vu depuis un an. Mystère et boule de gomme, on ne sais rien de plus à pars qu'il l'emmerdait. Nana est ensuite retourné chez elle, la tête plein de mauvais souvenirs. Pendant qu'elle défaisait les courses, le grand Papyrus a recogner à sa porte, menaçant de défoncer celle-ci si Nana ne lui ouvrait pas. Sans est devenu blême. ( fin du résumé apocalyptique )

Ce chapitre sera un peu spécial, vu qu'il sera du point de vue de Sans.
Bonne lecture! ( oui, je ne savais pas trop quoi ajouter )
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~ point de vue de Sans ~

J'ai entendu mon "frère" frapper à la porte. Mais qu'est-ce qu'il fou là!?! Il était pas sensé me retrouver... comment il a fait... je ne suis pas sorti...

- OUVRE MOI PUTAIN DE MERDE!!!

Anne m'a regardé et semblais réfléchir à se qu'elle devait faire.
Je crois qu'elle se doute que je ne voulais pas revoir mon frère. Pas maintenant, en tout cas. Je voulais attendre qu'il se calme un peu... généralement, ses crises ne dure que quelques jours... je frisonne en repensant à toutes les fois où j'ai dû l'endurer dans l'underground. Je n'avais nul pars où aller, car mon frère me retrouvait facilement. C'est pour ça que j'apprécie la surface. Il y a un million de cachette que mon frère ne connais pas. Je crois que j'ai juste mal choisis cette fois. J'ai soupiré puis je me suis dirigé vers la porte.  Anne semblait surprise. Je l'ai regardé en souriant.
- Je devais y passer un jour ou l'autre, Nana.

Elle par contre ne souriait pas du tout.
J'ai ouvert la porte sans lui laisser le temps de répondre et j'ai vu mon frère. Étrangement, il ne m'a pas frapper dès qu'il m'a vu. Il était plutôt... au bord des larmes?

- SANS !! MAIS QU'EST-CE QUE TU FOUTAIS, PUTAIN ?! J'AI... TU SAIS QU'ON PEUT PAS FAIRE CONFIANCE AUX HUMAINS!!
-...

Il a eu peur... pour moi? Il a eu peur que la gamine me fasse du mal? Il a eu peur tout court?

-... Bosse?
- Sans... Lazy Bone...

Il a pas crié. C'est encore plus bizarre.

- TU SAIS SANS... JE.... suis désolé...

Et il s'excuse!?

- REVIENS À LA MAISON! S'Il te plaît....

Voir Pap aussi mal à l'aise me donne envi de rire, mais je me retiens, c'est pas trop le moment.

- Sans ?

C'est Nana qui a parler. Mon frère et moi on s'est retourné vers elle. Mon frère allait dire quelque chose, mais la face d'osselets l'a devancé.

- Sans, je crois que toi et ton frère avaient... des choses à vous dire?

Elle m'a sourit et semblait un peu plus rassurée. Elle me regardait avec un drôle de visage, comme pour me dire: va s'y, c'est le moment!!
Pap l'a regardé bizarrement. J'ai encore soupiré.
- Bon on rentre, bosse? Merci, gamine. On mangera des hot-dogs la prochaine fois. Garde moi la moutarde.
- promis, Sans.

Je suis sorti et je me suis dirigé vers la maison. La maison que je partage depuis un an avec mon frère. Depuis qu'on est sortit de terre. Papyrus m'a suivi sans un mot. J'ai ouvert la porte et suis entré à l'intérieur.

- bon, tu m'explique ton soudain changement d'attitude bosse? Pas que ça me déplaise, mais ça fait un peu bizarre.
-... SI TU ÉCOUTERAIS LES INFORMATIONS AU LIEUX DE DORMIR TOUTE LA JOURNÉE, TU SAURAIS QU'IL Y A EU DES ATTENTÂT CONTRE LES MONSTRES.  ALPHYS A DÉMÉNAGÉ CHEZ UNDYNE, PARCE QUE SA MAISON C'EST FAIT INCENDIER.
ALORS OUI, J'AI EU PEUR DE PLUS JAMAIS REVOIR TA STUPIDE TÊTE!!!

-... des attentats?

Je savais déjà que certains humains ne nous aimaient pas, mais à se point? Il a eu peur de... la gamine? Elle ferait pas de mal à une mouche!

- il y a eu des blessés?
- NON, HEUREUSEMENTr.
- une chance...
- ...DIT SANS?
- oui, bosse?
- JE... JE REGRETTE  VRAIMENT CE QUE J'AI DIT... MAIS JE NE PEUX PAS PLUS LEUR FAIRE CONFIANCE MAINTENANT... MÊME SI JE DOIS AVOUER QUE L'HUMAINE D'À CÔTÉ À L'AIR GENTILLE!!

Je ris un peu fasse au mots prononcé par Pap. On s'était engueuler parce  qu'il avait insulté les gens du voisinage.
Nous sommes les seuls monstres du cartier. Et moi, comme un con, j'ai défendu les humains. Bien entendu, ça a dégénéré et Pap en était presque au poings. Je suis parti pour éviter de me faire frapper. J'aurai pu me défendre... si ça avait été une autre personne. Dans l'underground... disons juste que j'avais souvent les os en miettes... Et même si c'est lui qui me faisait subir ça, il s'occupait de moi après, comme pour essayer de se faire pardonner. Disons qu'il a du mal à gérer sa colère. Malgré tout ça, j'aime mon frère. Il est tout ce qu'il me reste.

- oui, elle est sympa...

Le reste de la journée, on l'a passé à rien foutre. Un peu comme si le simple fait que je sois la le rassurerait. J'avais enfin l'impression de redevenir le grand frère. Ça me faisais bizarre.
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Fin du chapitre. Voilà.
Non je déconne, j'ai encore des trucs à dire. Le chapitre était pas très joyeux, mais il était nécessaire.
Je voulais vous faire réfléchir.
Sur une note plus joyeuse
/!/ attention, je conte ma vie /!/
Comme je vous l'ai dit, je suis partie en camping. J'étais avec ma famille et une amie. C'était marrant. Même si j'aime pas tellement le camping.
Il y avait du chocolat chaud en des guimauves •^• .C'est bon, le chocolat chaud pis les guimauves.
/!/ j'arrête de raconter ma vie /!/

Salut les humains !
-Mizu

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