J'espère que ce chapitre vous plaira. Ils est un peu différent des autres mais en positif, je vous rassure !

Sur ceux, 

Bonne lecture :3

PDV Auriane

Je suis en train de me préparer. J'ai appris que c'est Nicolae et Drogo que s'occupe des enfants. Je sais que je peux rien dire ça sert à rien de négocier. Je m'habille et me maquille :

Mon tee-shirt a un décolleter dans le dos et j'ai mis un gloss marron clair mate.

Après tout cela je descends grignoter, en attendant Peter, qui m'a demander de l'attendre en bas. Je me casse pas le tête et me fait un sandwich tout ce qu'il y a de plus basique. J'entends Peter arriver et je suis dos à lui.

Peter : Je savais pas que tu étais tatouer.

Moi : Maintenant tu le sais.

Peter : Pourquoi un loup ?

Moi : C'est mon animal préférée.

Je l'entends lâcher un « ho » et je brise rapidement le silence qui commence à s'installer.

Moi : Je pense pas que tu voulais me voir pour parler de mon tatouage. Non ?

Peter : C'est exacte. Je voulais te voir parce que j'aimerais t'emmener quelque part.

Moi : Où ?

Peter : Surprise.

Je le regarde dans les yeux comme pour essayer de le sonder mais rien il lâchera pas le morceau. Je fini mon casse-croûte et me lève.

Peter : T'es prête ?

Moi : Voui !

Peter : Alors let's go !

Nous nous dirigeons vers la voiture de Peter. Arriver à celle-ci il m'ouvre la portière et rajoute :

Peter : Si mademoiselle veut bien se donner le peine.

Je glousse face à tant de galanterie.

Moi : Quel gentleman !

Peter : Toujours pour une belle femme.

Je rougie et rentre dans la voiture. Il ferme la portière, fait le tour de la voiture et s'installe côté conducteur.

Moi : C'est rare de te voir conduire. En général je te vois marcher.

Peter : C'est vrai que je préfère marcher.

Moi : J'te comprends. J'aime tellement marcher que je n'ai toujours pas passée mon permis.

On part tous les deux dans un fou rire incontrôlable. Ça fait du bien de pouvoir sourire sans réfléchir et sans ce forcer. De rire pour tout et pour rien. Ça fait longtemps que j'ai pas rigoler comme sa. On continu à parler de tout et de rien. On arrive à notre destination que je ne connais pas. Il sort de la voiture en me disant de ne pas bouger. Je le vois faire le tour et viens m'ouvrir la portière. Il me tend sa main que je prends avec quelque seconde d'hésitation.

Moi : Merci à vous mon cher.

Peter : Je vous en pris gente dame.

Je glousse encore une fois. Je crois que sa devient une manie pour moi. Je regarde l'environnement dans le quel je me trouve et je sens l'odeur de la mer.

Moi : La mer ?

Peter : Oui, mais tu verra.

Il me tends sont bras, au quel je m'accroche. On continue de parler, jusqu'à ce qu'on arrive au bord de l'eau. Plus loin de nous il y a les galeries marchandes et tout au bout de la plage il y a une fête foraine. Faut dire que je n'ai jamais était à une fête foraine et je suis déjà passer devants la mer. Mais retenez bien le mot DEVANTS ! Je ferme les yeux un instant voulant profiter de la légère brise. Il fait bon aujourd'hui pour une journée d'automne. Je rouvre les yeux et regarde Peter. Je me sens si bien en sa présence, il tourne sa tête et plonge son regard dans le mien. C'est mal si je vous dis que j'ai envie de l'embrasser ? J'ai peur de faire une bêtise. Et si je le faisais que ce passera t'il ? Je me pose bien trop de question. Il s'approche de moi et je sens son souffle sur mes lèvres. Je commence à avoir chaud et une nouer de papillon prend forme dans mon bas ventre. Je me mords la lèvre par cette soudaine proximité. Va-t-il m'embrasser ? Je décide de me focaliser sur le moment présent. Je le vois hésiter et je prends finalement les devants en me mettant sur la pointe des pieds et dépose délicatement mes lèvres sur les siennes. Ce baiser est libérateur, faut dire que inconsciemment je l'attendais avec impatience. Ce baiser d'abord doux ce transforme en baiser passionné. Je mets mes bras autour de son cou et lui pose ces main dans le creux de mes reins. Nos langue rentre en contact, au bout d'un petit moment on se détache à bout de souffle. Enfin surtout moi que lui parce que lui n'a pas besoin de respirer. Je dois avoir les joue toute rougie par tout ce que je ressens actuellement. Je lui souris et lui me regarde tendrement.

Peter : Tu veux voir la suite.

Moi : Oui !

Il dépose un petit bisous sur mes lèvres et me tend sa main, que je prends de suite. Nous marchons sur la dalle de béton qui longe toute la plage avec les galeries marchandes sur le côté. Je regarde les vitrines pendants qu'on marche, main dans la main. On arrive a l'endroit de la fête foraine.

Moi : Tu aime ce genre d'endroit ?

Peter : Pas tellement, je préfère les endroits plus calme avec peu de monde. Mais je me suis dis que ça te plairait, comme tu aime les endroits animer.

Je souris face à son sens de l'observation.

Moi : Ça me plaît énormément. À vrai dire je ne suis jamais aller dans une fête foraine.

Peter : Ça tombe bien ! Moi aussi.

On fait le tour pour voir ce qu'il y a comme attraction. Il me propose un manège tranquille pour commencer : le train fantôme. Comment dire que quand on regarde un film d'horreur, intérieurement je me chie littéralement dessus et je fais bonne figure en face. Mais je le dis pas, j'ai beaucoup trop fièreté pour le dire. On monte dans le petit wagon, je m'accroche à Peter comme une bouée de sauvetage.

Conscience : Pas très courageuse la p'tit. Ricane ma conscience.

Putain ! Elle me fait chier elle !!!

Peter : Tu as peur ?

Moi : Heu... Ben... O-Oui.

Il lâche un petit rire et passe ses bras autour de moi. Je me sens en sécurité dans ses bras.

Peter : Ne t'inquiète pas je suis la.

Hooo... Je fonds. Qu'il est mignon. Non je suis pas accro, c'est pas vrai !

Conscience : Menteuse !

Conscience 1, moi 0...

Le manège commence et je suis pas sereine. Clairement pas sereine ! Je m'accroche un peu plus fort à Peter. Entre scrimeur et les bruit de tronçonneuse. Je vais être sincère, j'ai tout entendu mais rien vu. Tout le long du manège je l'ai passé la tête contre le torse de Peter.

On continue les manèges et on rigole énormément. On n'est le soir, à la terrasse d'un petit resto. Je mange pendant que Peter me regarde et me sourie tendrement. On parle de tout et de rien, mais surtout de rien. On passe une excellente soirée. J'aimerai que ce moment dure l'éternité. Il est beau, très beau. C'est la ou je me rends compte que je suis totalement mordu. ( Sens mauvais jeu de mot. Ce n'ai pas parce que c'est un vampire, qu'il faut prendre cette expression on pieds de la lettre. ;) ) Je ne peux plus me le cacher maintenant, c'est visible comme le nez au milieu du visage. 

Je l'aime. Oui ! Je l'aime. Nous deux c'est évidant !

À suivre