《 Partie 2. 》

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" Je fais des signe je parle de QLF "

Dans la peau de Jade :

Une nouvelle fois, je frappe de toutes mes forces sur ce punching ball. Je déversais toute ma haine encore et encore comme si mon pire ennemi se trouvait en face de moi.

Pourquoi ?! Pourquoi vous m'avez abandonnées ?! Qu'ai-je fais pour mériter cela, dîtes-moi ?

C'est toujours et encore des questions sans réponses que je ne souhaite guère au fond de moi avoir les réponses.

Lui : Continue encore plus fort. Fais sortir ta haine. Je sais que tu en ai capable.

Tout mon être hurle de rage. J'envoyais des coups de poings, des coups de coudes, mais aussi des coups de genous dans les cibles qu'il m'indiquait en essayant d'être rapide et réactive.

D'un coup, je donne un coup de pied si rapide qu'il recule en lâchant un petit cri. Il baisse ses gants en mousse avec un sourire satisfait accrochée à ces lèvres.

Lui : C'est très bien ma petite championne. Je suis fière de toi. Tu as bien évoluer au niveau de ta force. J'ai crus que tu allais m'envoyer limite valser à l'autre bout du ring. Mais qui t'as appris à te battre comme ça ?

Je lui souris.

Moi : C'est grâce à mon entraineur et papa d'amour. Il m'a apprit à envoyer de puissance crochets dès l'âge de cinq ans.

Lui : Ah oui ? Quel honneur ! J'en suis presque flatter.

Nous éclatons de rire avant qu'il me prend dans ses bras malgré la sueur qui dégoulinait sur mon corps. Voilà plusieurs heures que nous s'entrainons. J'étais complètement épuisée.

Lui : Allez championne va prendre une douche. Tu as bien travaillé aujourd'hui. Je dois monter dans mon bureu vite fais. Je vais appeler ta mère pour la prévenir que je rentre tard ce soir. Je dois entraîner tes frères.

Je me détache de lui. Dans ma famille, que ce soit mon père, ma mère, mes frères ou moi nous sommes tous passionné de boxe. Mon père est un ancien grand champion de boxe. D'ailleurs, c'est grâce à cette displine que mes parents se sont rencontrés.

À l'époque, ma mère venait s'entraîner à la salle pour se défouler. Elle a rencontré mon père lors d'un de ses entrainements. Mon père s'avisait pour la coacher de tant en temps, puis, de file en aiguille, ils se sont rapprochés. Leur passion les a réunis. Je trouve que leur histoire est trop belle, personnellement.

Moi : D'accord. Je vais voir Younes. Assia doit passer me chercher. Je l'ai laisser prendre ma voiture le temps qu'elle fasse des courses pour sa mère.

Il acquiesce avant de me faire un bisou sur le front et d'aller monter dans son bureau. Je pris ma serviette et pars rejoindre mon frère qui était en plein combat dans l'autre salle.

Je me rapproche du ring et voit Djibril, Salim et Foued les potes de mon frère en train de regarder le combat.

Moi : Wsh les gars !

J'ai eu le droit en retour à un beau regard noir de leur part. C'était violent.

Salim : C'est pas parce que tu es un vrai petit bonhomme que tu dois nous parler en wsh-wsh.

Djibril : C'est vrai. C'est pas beau dans la bouche d'une fille. Toi et ta pote, je vous le répète toujours H24. Je vais finir par vous encastrer dans le mur avec Younes si ça continue.

Moi : Ma pote et aussi ta soeur Djibou, n'oublie pas. Donc vos mieux pas qu'elle sache ce que tu dis sur elle.

Djibril : Attend...c'est quoi ce nom de pd encore Jade ?! Je vais te tapper bêtement à force.

Moi : Mdrr moi aussi je t'aime. Alors, ils en sont où ?

Foued : Au second rang. Le mec ne tient pratiquement plus debout. Younes la bien amoché au premier rang. C'est qu'une question de seconde maintenant.

Je vois le regard déterminée de mon frère. Il fonce direct sur son adversaire et l'enchaine. Je remarque que celui-ci était blessé à la jambe droit. Je crois que je ne suis pas être la seule à l'avoir remarquer puisse que Younes le frappa à cette endroit précis. Il lâcha un cris douloureux et frappa au sol sonnant la fin du round. Younes l'aide à se lever. Les mecs le félicitèrent. Moi, je souris.
Mon frère était le meilleur boxeur de Lille à l'ancienne avant qu'on déménage, il y a quatre ans sur Paris. Personne ne pouvait le battre à part moi chose que monsieur n'assume pas.

Je monte sur le ring pour lui remettre une boutelle d'eau. Il me sourit et me prit la bouteille qu'il bu d'une traite.

Younes : Alors petite soeur ?

Moi : Vraiment pas mal. Tu as bien identifier son point faible.

Lui : C'était un jeu d'enfant. Tu le sais très bien.

Moi : C'est vrai. Tu écoutes mes conseils.

Foued : Raiie le frère et la soeur Idrissi en force.

Younes : Tkt on est les meilleures. C'est de famille !

Younes passe son bras sur mes épaules pour me rapprocher de lui et me déposer un bisou sur la tempe. Younes et moi avons toujours été connectés. Malgré nos engueulade mémorable. il est super protecteur avec moi plus que mes autres frères. Je l'aime trop. Il pourrait tuer pour moi et je pourrais tuer pour lui. On est une équipe : il attaquait et moi, j'assurais ses arrières.

: Je suis outrée Jade. Maintenant tu préfères Younes plus que moi.

Je me retourne et vis mon autre grand frère Kais habillé en costar cravate. Il fait des études de droit. Il avait aussi réussit à obtenir un stage dans un grand cabinet sur Paris. Kais était considérée comme le plus intelligent de la famille pourtant il ne délaissait pas la boxe pour autant.

Moi : Arrête de dire des bêtises. Tu sais très bien que je t'aime aussi, mon bébé.

Lui : J'espère bien. Allez viens me faire un bisou.

Je m'approche et lui fit un bisou sur sa joue qu'il me rendit puis il va tshèquer les mecs avant revenir vers moi.

Moi : Il est où Mehdine ?

Medhine était l'aînée de la famille. Il est marié à une belle algerienne-congolaise du nom de Mélissa. Cette fille est un amour! Je l'adore de ouff mais surtout le plus important est que mon frère l'aime beaucoup. Il possédait une concession automobile. Lui aussi, venait s'entraîner régulièrement à la salle avec nous quand il pouvait.

Kais : Il est au travail. Il m'a dit qu'il allait avoir du retard et qu'il va prevenir baba. Il te fait un gros bisou au passage. Ce soir, il vient manger à la maison ce soir. Melissa est de garde cette nuit à l'hôpital.

Moi : Cool.

Tout à coup, je vis une fille sauter sur le dos de Younes alors qu'il parlait avec Djibril. Miskine il a failli tomber en arrière mdrrrr. Il n'y a qu'une seule personne pour faire ça : Assia.

Assia, c'est ma meilleure pote à la compote. Je la considère vraiment comme ma soeur. Il y a pas de mot pour la décrire tellement je l'a kiff. Elle a pas du tout sa langue dans sa poche et n'hésite pas une seule seconde à balancer les quatre vérités en face même si ça fait mal. Malgré son forte caractère, Assia est une super belle jeune femme qui a le même âge que moi. Elle a un beau visage, un teint chocolat clair, des yeux noisettes et des formes là où il faut. Elle est grave généreuse sauf quand il est question bouffe bien sûr.

Assia a deux grands frères, Adama, vingt-six ans, et Djibril, vingt-quatre ans, et deux petites soeur jumelles de six ans, Haby et Kady.

Elle descend de son dos lorsqu'elle fit une drôle de tête avant de commencer à se renifler.

Elle : Ah putain !!! À cause de toi, je pue Younes. Tu connais pas les douches ??!

Lui : Qui t'as dit de monter sur moi aussi, salle niaff. En même temps, je comprends vu le bogosse que je suis.

Elle : Prend pas tes rêves pour la réalité, imbécile. Tchiip avec ta tête de packaging.

Nous : Ptdrrrrrrr packaging.

Djibril : Putain ! Je vais faire quoi de cette soeur-là.

Elle : Chut. Tu vas fais comment sans moi même ?

Djibril : Je m'en fou. Il me reste toujours Haby et Kady.

Assia : Tchiip avec ta grosse tête de packaging zherma ça fait les beaugosses devant les meufs mais en vérité ils sont que de la merde au cul. La preuve, vous vous mettez à 4 pour vous payez un grec. Pff bande de clochards !

Ptdrrr wallah c'est une tueuse Assia, j'ai juré. Les mecs, ils avaient le démon. C'est bon, c'est officiellement son arrêt de mort.

Moi : Ça m'aurait pas plus, je me serais battu.

J'avoue, je suis une grosse engraineuse. Elle me regarde tellement mal à ce moment-là. Si elle avait des gants de boxe, elle m'aurait goumer non pire tuer sur place.

Younes : Toi, t'es morte.

Il allait s'avancer pour la tapper mais hamdoullah mon père arrive au même moment. Et pour encore attiser plus les flammes, Assia lui fait un gros fuck. Younes lui lance un regard noir. Mon père tshèque Kais avant de se retourner vers nous.

Papa : Ça va, ma fille ?

Assia : Hamdoullah, tonton. Juste Younes, il est méchant avec moi. Il veut me frapper.

Ptdrrr elle cherche vraiment les problèmes cette folle. En plus, elle a parler comme les enfants qui sont innocents et qui ont rien fait alors que c'est pas du tout son cas. Il regarde mon frère qui lui contracte sa mâchoire.

Lui : Wallah baba, elle ouvre trop sa gueule.

Papa : Et alors ? On frappe pas les filles, Younes. T'aimerais qu'on frappe ta soeur.

Younes me fixe avant de détourner le regard.

Younes : Non.

Papa : Voilà.

Salim : Mais, tonton wallah t'abuse. Assia, c'est pas une meuf wsh.

Elle : Je t'en merde, Salim.

Papa : Bon, laisse-là tranquille. Personne va tapper personne. Maintenant, j'ai une bonne nouvelle les jeunes. Il va y avoir une rencontre amicale samedi. On aura l'honneur de recevoir le plus grand boxeur de Paname et Younes, c'est toi qui va l'affronter. Je vous veux tous en forme même toi Jade car vous allez tous combattre. Cette rencontre estvun bon entraînement avant les championnat. Kais va te changer. On va commencer l'entraînement. Mehdine m'a prévenu de son retard.

On hoche tous la tête. On parle un peu de la rencontre. On participe quelques fois à des concours où seule mon père choisit les meilleurs pour y participer. L'équipe est souvent constitué de Younes, Djibril, Assia, Foued, Salim, Kais et moi. Mon grand frère Mehdine parfois y participe lui aussi mais il évite comme Mélissa a peur pour lui. Je la comprends car les rencontres peuvent s'avérer parfois violentes.

Le mec que mon frère va affronter à déjà fait de la compet' de haut niveau, d'après mon père. Il est décrit comme invincible car il perdu aucun de combat. Un sacré challenge. Je laisse Assia avec les mecs et me dirige vers les vestiaires pour me doucher et me changer.

À mon retour, je découvre Younes sur Assia entrain de tordre le bras de celle-ci qui hurlait de douleur. Je ne pus m'empêcher de rire devant ces grimaces bizarres.

Assia : Espèce de hmara ! Viens m'aider au lieu de sortir toute ta gensive.

Je lui tire la langue.

Moi : Vazy Younes laisse-là. Il faut que je la ramene vivante chez elle.

Djibril : Non continue wsh elle va manquer à personne à la casa.

Assia lui lance un regard noir tout comme moi. Younes fini par la lâcher. Elle prit son sac. On se dirige vers la sortie mais cette mongole à trop une grande bouche.

Elle : Au faite, Younes retravaille ta force parce que même Haby et Kady, elles en ont plus que toi.

Je lui attrape le bras pour la faire sortir parce que Younes serait capable de l'attraper par les cheveux. Assia ne peux pas s'empêcher d'avoir le dernier mot. Elle est vraiment pire que moi cette fille. Pas étonnant qu'on soit les meilleures amies. On est pareille.

Moi : Toujours tu as besoin d'ouvrir ta gueule. C'est grave !

Elle : Tchiip tu veux qu'on parle de la fois au centre commerciale quand tu as insulté la caissière qui prenait son time car elle était en train de draguer un client très mignon au passage.

Moi : Oh c'est bon ! En plus, je lui es rendu service au mec. C'était une beurette.

On se dirige vers ma voiture que j'inspecte dans les moindres recoins. On s'est jamais avec Assia quand elle veut c'est un vrai danger au volent.

Elle : C'est bon. Ton bébé n'a rien. T'exagères, Jade.

Moi : Chut.

J'ouvre la portière et je suis suprise de voir que du côté passager se trouvait un seau de kfc. Le pire c'est que carrément, elle lui avait mis la ceinture comme si c'était un enfant.

Moi : T'es vraiment une vraie bagra starfellah

Elle : Oh arrête ! C'est pas pour moi mais pour Adama. C'est pour qu'il me rend mes clefs de voiture. D'après lui, je suis un danger sur la route. The blague international ! Juste parce que quand je me suis garé, je lui es fait un rayure sur sa voiture. Qui lui as dit de mettre sa voiture ici-même ?

Adama est l'aînée de la famille d'Assia. Il a 26 Qans et c'est le meilleur ami de Mehdine. Il travaille ensemble en tant qu'associés dans une concession automobile.

Moi : Mdrrrr salle folle. Tu es grave wallah

On s'installa dans la voiture. Je règle le rétroviseur et je vois par celui-ci deux autres seaux de poulet. Je la regarde en mode tu te fou de ma gueule " C'est l'hôpital qui se fou de la charité !"

Elle : bah quoi j'ai faim aussi.

Je souffle cette fille me désespère vraiment. On prend la route direction la casa.

Arrivée à la cité, on regagne chacune son chez soi, bien-sûr Assia a prit tous ces seaux de poulets. Dans mon hall, je salam les teneurs de murs et regagne mon étage. En rentant, je vis ma mère assise dans le salon.

Moi : Salam Mamacita !

Maman : Salam guelbi ! C'était bien ?

Moi : Tranquille. Baba est avec les garçons.

Maman : Oui, je l'ai eu au téléphone tout à l'heure. J'en ai marre tout leurs vies, c'est la boxe. Ils connaissent rien d'autre même-toi en dirait j'ai 5 hommes à la maison.

Je ris à cette réflexion.

Moi : Ah yemma ! C'est aussi grace à la boxe que tu as rencontré, Baba. Et puis, sois heureuse. Au moins, je reste avec toi le soir contrairement aux garçons.

Maman : Tu as réponse a tout comme ton père. Je suis partagé entre le fait de te frapper avec la cuillere en bois ou de te laisser manger les pizza que j'ai commandé mais comme je t'aime, je vais choisir l'option 2.

Je lui fit un bisou.

Maman : J'avais la flemme de cuisinier en rentrant du boulot. Et j'ai pris aussi des glaces Ben&Jerry's chocolat-brownie. Je lui fit un gros bisou sur la joue, heureuse.

Moi : Ah merci maman je t'adore. Le défilé a commencé ?

Maman : Non, c'est juste après la pub.

Moi : D'accord. Je vais me changer et je reviens.

Je pars dans ma chambre et me mit en pyjama pour être plus confortable. Je me fit un chignon tout péter et je rejoins ma mère dans le salon. Je prends place et commence à déguster ma part de pizza pendant que le défilé commence. J'adore regarder les défilés de mode surtout ceux de Anissa Lahcen Taïder. Cette univers de la mode m'a toujours intéressé depuis que je suis petite et ça ma mère le sais. C'est fou jaime deux choses complétement différentes dont un sport de brute et un métier rempli de strass et paillettes. Cependant, je passe mon temps à dessiner des créations de mode quand j'ai rien à faire. Mon rêve est de devenir mannequin mais je sais très bien que c'est impossible et qu'il faut que je sois réaliste. C'est pas ça qui va me faire nourir ma famille. Seule Anissa Lahcen a réussi à percer dans ce monde. Elle est vraiment incroyable cette femme. Elle m'inspire tellement. C'est mon modèle. J'aimerais tellement être comme elle.

Maman : Je te vois bien défilé dedans, ma fille. Tu as l'allure d'un mannequin.

Moi : Arrête yemma ! Tu m'as vu ?! Je ne fais pas le poids devant ces filles. Elles sont toutes plus belles les unes que les autres. Ce sont des missiles. Regarde-moi, je n'ai même pas l'air d'une fille avec mes survêtement et mes baskets. Il faut se rendre à l'évidence.

Maman : Eh alors ma fille ? Tu es aussi un missile, un avion de chasse gueh. Il faut juste que tu sois un peu féminine et tous les mecs seront à tes pieds que même ton pere va avoir des cheveux blancs.

Moi : Mdrr yemma tu me tues. Mais regarde même si je deviens un temps sois peu féminine, c'est impossible. Il faut juste être réaliste. C'est dure d'être mannequin de nos jours. C'est pas en vivant avec ce rêve que je réussirai à nourrir une famille comme toi, tu l'as si bien fait avec nous. Pour le moment, ma priorité est que je me trouve un job cette année comme j'ai eu mon master. C'est ça la réalité et c'est pas mes rêves de mannequinat qui vont me faire avancer.

Maman : Ne sois pas pessimiste, Jade. Je pense qu'il faut que tu regardes les choses d'un bonne oeil. Allah réserve souvent de bonnes choses n'en doute pas.

Moi : Je sais yemma mais bon on verra bien ce que l'avenir nous réserve.

Maman : Tu as raison. Cependant, oublie pas que les rêves peuvent souvent devenir réalité. La preuve avec toi. Tu es tombé le jour où je croyais que le ciel nous est tombés dessus avec ton père.

*********Début du Flashback********

Dans la peau de Jennah Idrissi, la mère de Jade :

Nous étions à Marseille où nous avions logé chez la soeur de mon mari Mohammed, Soukeïna. Mohammed avait un combat très important dans deux jours.

Aujourd'hui, j'avais décidé de passer l'après - midi au parc avec mes hommes. Les garçons jouaient tranquillement avec d'autres enfants. Je savais que Moha attendait avec impatience la nouvelle que j'allais lui annoncé. J'avais essayer depuis que nous sommes arrivés de reculer ce moment inévitable. Malheureusement, je savais que cette nouvelle allait lui briser le coeur autant que moi à cet instant.

Lui : Alors qu'à dit le médecin, Jennah ?

Je ne pus m'empêcher de pleurer. Je ne pouvais pas me retenir, c'était trop pour moi. J'étais dégoutée de le décevoir. Il me prit dans ses bras et me chuchota de me calmer. J'etais tellement bien quand il était près de moi.

Moi : Je suis désolé tellement désolé

Lui : Chut arrête Jennah et raconte moi plutôt pour que je comprenne.

Moi : Il....Il a dit que mon col était trop endommagé dû à mon dernière accouchement qui était à risque.

Il me serra fort dans ses bras. Je savais qu'il était pas bien lui aussi. Mon dernière accouchement à failli me faire perdre la vie. C'est encore un dure souvenir pour lui tout comme moi.

Lui : Continue.

Moi : Après de nombreuses analyses, ils ont conclus que je ne pouvais plus avoir d'enfant, Moha. Je peux pas avoir la petite princesse qu'on a tant désirée. Je suis désolé, si tu savais. Je suis une mauvais femme. Je dois te faire honte. Je suis tellement désolé.

Il se détache d'un coup de moi. Il lève mon visage vers lui. Il avait les yeux rouges à cause de moi. Il sèche mes larmes.

Lui : Ferme ta gueule, Jennah wallah tu vas arrêté de dire des conneries parce que je vais te niker. D'où, tu es une mauvaise femme, et d'où, je devrais avoir honte de toi. T'es complétement folle. Tu es la plus belle chose qui m'est arrivée dans ce monde. Avant toi, j'enchainais conneries sur conneries seule la boxe me calmait jusqu'à ce que je te rencontre. Tu as fait naître un nouveau moi. Tu m'as donné trois magnifiques fils. C'est le plus beau cadeau qu'un père peut espérer. Je suis tellement fiere de toi, omri.

Je renifle pour empêcher l'écoulement de mon nez.

Moi: Alors tu m'en veux pas ?

Lui : Bien sûr que non hegouna. C'est pas grave. On a déjà une magnifique famille. Tema on a Mehdine, Younes et Kais qui possède le caractère de leur père et la beauté de leur mère.

Moi : Pff ils te ressemblent plus à toi qu'à moi.

Lui : Ça, c'est vrai.

Je lui donna une petite claque derrière la tête pour rire. Eh voilà c'était repartie pour une énième bagarre entre nous. Je l'aime trop mon mari. C'est le meilleur. Quand on entendit un cri d'enfant qui nous stoppa net dans nos chamalleries

Lui : C'était pas Kais ?

Il me regarde. Un autre cri se fait entendre

Lui : Je crois bien.

On se lève en même temps et on se dirige en courant vers l'air de jeu. Quand on découvre Younes à terre et une petie fille sur lui. Ils étaient tous les deux entrain de se battre. Mehdine essaye de les séparer tandis que kais pleurait. Il avait le genou tout écorchée. Moha s' approche d'eux et sépare la petite de Younes qui se débattait toujours dans ses bras tandis que moi je rejoins Younes qui avait été blessé à l'oeil annonçant l'arrivée d'un oeil au bord noir.

La petite : Lâchez-moi j'en ai pas fini avec lui !!! Il est méchant !!! Lâchez moi, je vous ai dit !!!!

Moha la posa à terre et la retourne vers lui. D'un coup, je vis qu'il était totalement fiché sur place en la voyant. Je ne compris pas ça réaction. Il se ressaisit.

Lui : Eh calme-toi Rocky ! Arrête de t'exciter et raconte-moi ce qui se passe plutôt.

Il lui a parlé calmement mais durement pour lui faire comprendre ce qui fonctionna puisqu'elle arreta de se débattre.

Elle : J'étais assis sur le banc et le petit garçon qui s'appelle Kais m'a demandé de zouer avec lui. Je lui es dit oui et on a courrut pour faire du tobboggan mais il est tombé. Quand je me suis approché pour l'aider, l'autre vilain garçon est venu et m'a crier dessus en me disant que c'est moi qui l'avait poussé. Je lui es dit non mais il m'a pousser alors comme j'étais énervé, je lui donné un coup poing comme dans les matchs de boxe que j'ai vu à l'orphelinat. Et après bah, on s'est battu

Younes : Tu l'as poussé !

Elle se retourne énervée et je fus surprise d'être choquer par sa beauté. Elle était vraiment magnifique. Cependant, ce sont ses yeux qui me perturba le plus. Il était d'un vert. Je comprends maintenant la réaction de Moha.

Elle : Menteur, je lui ai rien fait !

Kais intervient.

Kais : Je suis tombé tout seule You wallah.

Elle : Ta vu quand je t'ai dit que je l'ai pas poussé et bah je l'ai pas poussé donc ta bouche. Si tu me cherche, la prochaine fois, je vais te cassé tes dents.

Lui : Bah viens ! Je t'attends.

Moha : Wooh personne va casser les dents de personne, ici. Vous allez vous présentez chacuns des excuses à l'autre. immédiatement.

Il bouda tous les deux. Franchement c'était drôle a voir.

Lui : J'ai dit maintenant.

Younes souffla.

Younes : Je suis désolé. J'avais peur pour Kais. Je voulais juste le protéger. Tu avais raison. Tu l'as pas poussé.

Il lui tend la main.

Elle : C'est pas grave. J'aurais fait pareille si c'était mon frère. Moi aussi, je suis désolé. Amis ?

Il lui sourit.

Younes : Oui maintenant t'es ma tipeu.

Ils se tshèquent.

Younes : Lui, en lui montrant du doigt, c'est mon grand frère, Mehdine, et lui bah tu le connais c'est Kais, mon petit frère.

Eux : Salut.

Moha et moi sourions face à cette image.

Moha : Comment tu t'appelles ?

Elle : Jade, monsieur.

Je me mis à leur hauteur

Moi : C'est jolie. Nous, nous sommes les parents de Mehdine, Younes et Kais. Tu as quel âge ma belle ?

Elle me sourit. Je fonds.

Elle : J'ai cinq ans comme ça.

Elle me montre son âge avec sa main. C'était vraiment trop chou. On ne lui demande pas où était ses parents vu qu'elle nous a précisé qu'elle vivait à l'orphelinat.

Moha : Alors tu regardes les matchs de boxe ?

Elle : Oui, c'est trop bien !!! Quand je serais grande, je serais une boxeuse et aussi mannequin parce que tout le monde me dit que je suis belle, dit elle en faisant des mouvements de princesse.

Moha était mort de rire ainsi que moi. Elle était trop mignonne cette petite.

Elle : Mais attend, je te connais toi. Elle réfléchit puis d'un coup.

Elle : T'es Mohammed Idrissi. Ohh je suis trop fan de toi. Je peux avoir un autographe.

Son sourire s'illumina et ses yeux brillait quand elle le regarde. Comme si elle avait décroché le jackpot.

Lui : Mdrrr oui princesse. Tu veux que je signe où ?

Son visage changea d'un coup. Elle se tappe le front.

Elle : Oh zut ! Je voulais que vous signez mes gants de boxe mais je l'ai laissé à l'orphelinat.

Au même moment, une femme assez pressée arrive vers nous enfin plutôt vers Jade.

La femme : Jade ! Tu as pas entendu depuis toute à l'heure, on te cherche. Il est tard. Il faut rentrer à la pension.

Jade : Non ! Je veux pas y aller, Silvia.

La fameuse "Silvia" : Jade, ma puce. Tu n'as pas le choix. Allez viens avec moi. J'ai acheté tout à l'heure les glaces que tu aimes tant comme ça on les mangera en cachette ce soir. Ça marche ?

Jade : Mmh d'accord mais est-ce que le monsieur peut venir signer mes gants, s'il te plaît Silvia ? C'est le meilleire boxeur de Lille, Mohammed Idrissi. Allez dit oui, dit oui !!!

Silvia : Euh je sais pas...

Elle nous regarde confuse.

Moha : Il n'y a pas de problème. Dis jade ça te plairait de voir mon match samedi.

Jade : C'est vrai ?

Lui : Oui, tu es ma plus grande fan.

Elle sauta de joie toute excité et lui fit un grand calin qu'il lui rendit pour le remercier. C'était tellement beau à voir. On irait dit un père et sa fille. J'aurais tellement voulu avoir une fille comme elle.

Silvia : Jade va rejoindre les autres, s'il te plaît.

Jade hocha la tête avant de partir rejoindre ses camarades à quelques pas de nous. Je voyais Moha la regardait avec admiration. Il avait tout comme moi craquer sur elle.

Moi : Les garcons allez jouer un petit peu avec Jade. On arrive.

Un miracle ! Ils étaient déjà avec elle sans que je leur demande quoi que ce soit. Cela se voit que eux aussi apprécient beaucoup la petite.

Silvia : Je vous remercie pour Jade. C'est vraiment gentille.

Lui : Je le fais avec plaisir. Cette petite est formidable.

Silvia : Oui, elle est. Je l'ai jamais vu aussi heureuse qu'aujourd'hui. D'habitude, elle est renfermer sur elle-même et se bat pratiquement avec tous les garçons de la pension. Elle a un sacré caractère à son âge.

Je decide de lui poser une question qui m'a laissé un doute dans mon esprit.

Moi : Et ses parents ?

Silvia : Ils l'ont abandonnées alors quelle n'était qu'un petit nourisson. Il y a cinq ans, une femme est venu. Elle a posé la petite devant la pore de la pension et quand j'ai ouvert. Elle est partie précipitamment laissant la pauvre petite. Je n'ai pas pu voir son visage. On ne connaissait même pas le prénom de la petite. Je l'ai nommée Jade par rapport à la couleur de ses yeux. Du côté du père, on a aucune information. Personne n'a essayer de réclamer la petite. Plusieurs couples ont voulu l'adopter mais les rencontres fut un désastre avec Jade.

Je voyais que Moha était énervée.

Moha : Qui peut abondonner son enfant, putain, c'est la chair de son sang ?!! En plus, regardez-là cette petite. C'est un ange.

Silvia : Je suis totalement d'accord avec vous mais elle n'est pas la seule. Certains enfants ici présents ont une histoire plus poignante et similiaire à la sienne.

J'avais mal au coeur pour Jade mais aussi tous ces enfants. C'est tellement injuste de payer pour leurs parents qui non pas réussi a les assumer et qui ont préférer la faciliter. Moi j'ai été privee de mon droit de grossesse et je rêverais d'avoir une petite fille que je ne peux pas avoir. C'est tellement...il n'y pas de mots. Bon, je devrais être heureuse d'avoir trois magnifiques fils mais je suis seule moi contre quatre hommes à la maison. J'ai aussi envie d'avoir une fille pour lui apprendre des choses et faire des choses qu'une mère fait avec sa fille tout comme ma mère la fait auparavant avec moi.

Silvia : Vous aviez trois beaux garçons.

Je la vis regarder mes fils entrain de parler avec Jade. Un sourire apparait sur mon visage.

Moi : Merci beaucoup.

Silvia : Je vais conduire les petits à l'orphelinat, vous nous suivez ?

Moha : Oui, bien sûr.

Elle tourna les talons. Il allait avancer pour la suivrenmais je le retiens par le bras. Il me lance un refard interrogateur attendant une reponse.

Moi : Moha...et si c'était un signe ?

Lui : Jennah...

Moi : Non, s'il te plaît. Écoute-moi. Elle a besoin de nous d'une famille qu'il l'aime. Elle a besoin de nous. Je sais que tu y a pensé. Je te connais par coeur.

Il me regarde un instant et s'avance vers Silvia qui était avec les enfants. Je le suis de près.

Lui : Attendez.

Elle se retourne.

Lui : On veut adopter, Jade.

Elle nous regarde surpris. Jade lève la tête, surprise. Mes fils nous regardaient. Moha se met à la hauteur de la petite et lui souris.

Lui : Tu voudrais bien qu'on soit tes parents avec Jennah, Jade ?

Les garçons s'avancent eux aussi.

Eux : Dis oui !!! On veut une petite soeur.

Elle nous regarde tout les deux assez choquer avant de lancer un énorme sourire.

Elle : oui oui oui !

Elle nous saute dans les bras de Moha. Quand vient mon tour, je la serra fort dans mes bras remerciant Allah de nous donner ce cadeau merveilleux. Elle me regarde avec ses yeux magnifiques. Je me demandais sil venait de sa mère ou bien de son père parce qu'ils étaient si hypnotisant.

Elle : Je suis trop contente tu es ma nouvelle maman. Je t'aime, maman.

Alors là, je ne pus m'empêcher de pleurer. Ces mots...ils resonnaient tellement bien quand elle le disait. Je regarde Moha, lui aussi était heureux. Le voir comme ça, il n'avait pas de prix.

Moi : Moi aussi je t'aime.

On se détache l'une de l'autre. Et elle saute dans les bras des garçons.

Moha : Je veux l'adopter maintenant. On veut pas attendre avec ma femme.

Silvia : C'est merveilleux ! Suivez-moi. On va remplir les papiers et vous pouviez la prendre directement vu que je pense qu'elle ne voudra absolument pas se détacher de vous.

Moha : C'est parfait.

Et voilà, en l'espace de quelques heures, Jade était devenu notre fille officiellement. Toute la famille était heureuse pour nous. Ils l'avaient déjà adopter surtout les garçons. Moi qui croyais etre le pire journée de ma vie, je m'étais trompée. Comme quoi Allah nous éprouvons dans ce monde. A chaque mal, un bien comme on dit.

*********Fin du Flashback********

*******Retour dans la peau de Jade********

Je me souviens de ce jour. C'était le plus beau jour de ma vie. Mon vœu a été exaucé. J'ai une famille.

Maman : Quand je t'ai vu la première fois avec ton pere, tes yeux m'ont de suite charmer.

Moi : La seule chose bien que mes géniteurs m'ont légués malheureusement.

Elle me fit un sourire triste.

Maman : Tu sais si tu veux tu...

Moi : Non maman je ne veux plus en entendre parler. Pour moi, ils sont morts. Ils m'ont abondonnées. L'histoire s'arrête ici. Baba et toi vont êtes les seules et uniques parents. Personne ne peut vous remplacez. Vous m'avez tout donnée en me sortant de cette orphelinat. Grâce à vous, j'ai vécu dans un foyer heureux avec tout l'amour qu'un enfant de cinq ans pouvait recevoir. Vous êtes ma famille. Je vous aimes baba et toi. J'aime aussi mes grands frères même si parfois on se bagarre et on se charie. Je ne sais pas comment vous remerciez.

: T'as pas à nous remerciez. C'est plutôt à nous de le faire.

Je lève les yeux pour découvrir mon grand frère Mehdine qui me sourit suivit de Younes, Kais et Baba.

Younes : Il a raison. T'es notre petite soeur. On s'en fou qu'on a pas le même sang. Tu restes notre Jade, notre petite bonhomme.

Kais : On t'aime comme tu es. On sera toujours là quoique tu fasses ou que tu décides.

Je me lève et les prends tous les trois dans mes bras.

Moi : Je vous aimes bande de hmars.

Eux : Nous aussi, hmara.

On se détache.

Younes : C'est pas tout mais moi j'ai la dalle.

Les mecs partent chacun faire un boussah à la madre. Et on s'installe pour manger. Une larme s'échappe de mon oeil. Je ne sais pas ceux que je ferais sans eux. Mon père s'approche de moi et me l'essuie.

Lui : Les princesses ne pleure pas, Jade. Je veux que tu retiens que tu es et que tu seras toujours ma petite princesse, d'accord.

Moi : Oui baba.

Lui : Bien allons manger avant que tes haloufs de frères mangent tous.

On les rejoins sur les canapés. Ils avaient déjà manger au moins une boîte même avec yemma, on a pratiquement taper la moitié d'une boîte. J'allucine. Quand ils ont la dalle, ils plaisante pas eux. Mais j'avoue avec le sport ça creuse aussi. Je regarde Mehdine.

Moi : Mais toi tu dois pas aller chez ta femme.

Lui : Elle est de nuit à l'hôpital ce soir. Elle vous passe le salam a tous au faite.

Miskina je sais que Mélissa déteste travailler la nuit parce qu'elle laisse Mehdine tout seule à la maison. Dès fois, quand Melissa est de nuit, Medhine vient manger à la maison pour la rassurer. Je sais qu'elle a demandé à son chef de changer ses horaires mais elle n'aura pas de réponse avant demain malheureusement. Mehdine aussi déteste cette situation parce que comme il travaille la journée, ils se voient très peu et sa l'énerve. Moi, personnellement j'adore ma belle-sœur. C'est un amour. Elle fait partie ses rare personnes à savoir pour mon adoption. A part l'équipe et ma famille personne est au courant. Quand on me demande d'où viennent mes yeux, je réponds qu'ils viennent de là grand-mère maternelle.

Moi : Dis lui qu'elle passe quand elle veut et que je l'appelerais demain.

Lui : Tkt.

Yemma : Chut. Le défilé est pas terminé.

Younes : On peux pas changer la chaîne et mettre un match.

Ma mère et moi on le regarde méchamment.

Elle : Premier arrivée, premier servie. Maintenant, ferme ta gueule et mange.

Mon père pose la main sur l'épaule de Younes, compatissant.

Baba : Écoute-là, si tu veux pas qu'elle te tue.

Younes mange silencieusement sa pizza. Quand la madre parle tout le monde se tait. On finit de regarder ensemble le défilé et le coup du spectacle, l'entrée de Anissa. Comme à son habitude, elle était magnifique. Je reconnus grâce au couture que sa robe bleu nuit était conçue par Versace. Un vrai bijou qui lui allait à ravire.

J'aimerais tellement un jour participer à un de ses célèbres défilés et porter une de magnifiques créations, mais surtout aussi voyager autour du monde comme à Miami, Milan mais surtout à Dubaï. Je ne sais pas pourquoi mais cette ville m'attire comme un aimant.

J'espère que ma mère dit vrai, que les rêves peuvent se réaliser...

#_LaBambina🌹

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