Diavolo x reader

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Me demander pas pourquoi ...  

Mais vous ne vous y attendiez pas, hein ?

J'en ais jamais vue et je me suis dit pourquoi pas X) ( Sauf un mais c'était du Troll. Il était très drôle, d'ailleurs XD )


Pourquoi ? Mon cerveau a fait:

Voila


( Beaucoup de pourquoi dans tout ça )


BREF

Je vous laisse avec ce truc chelou :D




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Bonjour, je suis (T/p) (T/n), et je travaille actuellement pour une "entreprise" nommée La Passione. Cette " entreprise " est assez spécial. En effet, nous avons un trafic peu légal et des agents assez violents. De plus, nous possédons pour certains des pouvoirs. Oui, je suis dans la mafia ! Comment j'en suis arrivée là ? Laissez moi vous narrer mon histoire ... 

Depuis toute petite, tout ce qui est mécanique attire ma curiosité. Au début, j'achetais des montres bons marché, puis je les démontais et les remontais, etc ... Depuis que les téléphones et les ordinateurs prirent de l'ampleur, explorer un système virtuel ma tout de suite plu. Depuis, je programme et travail sur mon ordi tout les jours. Vers mes 15 ans, j'ai passé l'étape supérieure. 

J'ai commencé par hacker quelque petites entreprise, pour mettre le bazar dans leur dossiers. Puis des banques, jusqu'à une base militaire. J'était tranquille, personne m'avait cramée: je savais parfaitement comment effacer mes traces. 

Quand j'ai montrée ça à mes amis, ils m'ont demandés de télécharger des films, série, rien de méchant ... Puis quand les infos ont annoncées une cyber-attaque, volant 10 millions de lires, ils ont aussi annoncée une prime intéressante. Et mes amis, plus interressés par l'argent que mon avenir, m'ont dénoncer.

Je suis rester 5 ans en prison, un lietenant de la Mafia paya ma caution, intéressé par mes compétences.

J'ai perdue la confiance de mes parents, mais c'était pas si pire que je l'avais imaginé. Je me suis tout de suite fait accepter par La Passione. J'ai reçu un Stand et commencer ma nouvelle vie dans cette organisation. 

Maintenant, je fête mes 30 ans demain. Je suis dans la fleur de l'âge.

Bon, j'arrête de parler, j'ai du boulot, moi !

La jeune femme remit ses lunettes sur son nez.

- ( Alors alors alors... Mission du jour ... Ho shit ... ) Elle s'approcha de l'écran.

- C'est une blague ?

Il y avait marquer sur l'écran: 

01-35-94

Décryptez et dirigez-vous vers ces coordonnées. Ordre du Boss.

Le Boss n'envoyait jamais d'ordre direct. C'était par multiples intermédiaires qu'il les donnait.

Soit c'était une super promotion, soit c'était la merde. Mais un ordre est un ordre ... 

Après avoir décryptée les coordonnées, elle se dirigea vers l'endroit exigé, la boule au ventre. Elle tomba nez à nez avec un jeune homme aux cheveux roses, aussi anxieux qu'elle.

- Vous aussi vous l'attendez ? Demanda-t-il d'une voix inquiète.

- De qui ?

- Bah, lui !

- 01-35-94 ?

- On attend la même personne.

- J'en ai bien l'impression... 

- TORURURURURURU !!!

- ???

- Désole, c'est un appelle du Boss !

Il prit son téléphone de son sac et commença la conversation.

- Allo ?

Ses yeux et sa voix changèrent.

- Doppio, est-elle avec toi ?

- Oui Boss !

- Bien. Je vais te donner une adresse, et vous irez tout les deux là-bas. Faites attention à ce que personne ne vous suive.

- Ok Boss !

- Voici l' adresse ...  

Il dit l'adresse à demi-mots pour éviter les oreilles indiscrète, et il raccrocha.

- Suis moi ! Je sais où le Boss veut qu'on le retrouve.

- D'accord.

De toute façon, ce n'était pas une proposition. Pendant le trajet, ils discutèrent joyeusement en faisant attention de ne pas être suivis. Doppio était un gentil garçons respirant la bonne humeur. Il semblait très fier d'être en contact avec le boss.

Une fois arrivés devant un immeuble banal, dans une petite rue calme, Doppio reçu un deuxième appel du Boss, leur ordonant d'attendre un petit moment.

Ils discutèrent de la vie et du beau temps, de la situation économique de Tchétchénie              ( pardon j'était obligée ) etc ... Et le Boss arriva. A sa manière. Doppio se plaignat qu'il faisait trop chaud et enleva son pull. Et un Diavolo sauvage apparu.

La jeune femme haussa les soucils, puis se dit que dans un monde où les Stands existe, tout était possible.

- Sais tu pourquoi je t'ai fais venir ici ? Dit-il froidement.

- Mes compétences en informatique, je suppose ?

- Oui. Un gang ennemi se mêle de nos affaires, je veux que tu fasse planter leurs réseaux. Je m'occuperai du reste.

- Et pour votre visage ?

- Un mot à qui que ce soit et t'es morte. D'après ton dossier, tu n'as jamais trahis ni dénoncer  personne. 

- Comptez sur moi. Dit-elle en souriant. A l'exterieur, elle semblait relax. Mais à l'interieur, c'était la panique totale. la moindre erreur et c'est la mort assurée.

- Et ... Je commence quand ?

- Maintenant.

- Ha heu, d'accord.

Elle sortit son ordinateur portable et s'asseya par terre ( on fait avec les moyens du bord ) Et commença à mettre les programmes en place.

- Elle s'appelle comment, l'organisation ?

- L'Ordine.

- Merci.

Elle remit ses lunettes sur son nez, et commença ses recherches. Le reseaux était dur à trouver. Pas le choix, il va falloir qu'elle active son Stand. De plus, le fait que le Boss reste planté la en silence lui mettait pas mal de pression. 

- Malicious Code. 

le Stand apparue. Par réflexe, le Boss recula.

- C'est mon Stand. Il me permet de pirater et de détarquer n'importe quoi. Il peut aussi améliorer ou faire régresser le système d'exploitation d'Internet et des ordinateurs. Expliqua-t-elle.

- Intérressant.

Le Stand s'approcha de l'écran et le toucha.

- RécUpéRatIon Des doNnéeS. Il devint bleu, avec les chiffres 0 et 1 apparaissant à certains endroit de son corps. Il pris les lunnettes de sa manieuse.

- TranSFert dEs dOnnEes. 

Les chiffres s'affichèrent sur les lunettes. Une fois la transaction terminée, la manieuse reprit ses lunettes, et se remit au travail. 

- Trouvée ! Alors voyons voir... 

Elle remit ses lunettes sur son nez et commença à pirater leurs lignes. 

- Si vous voulez des infos sur leur gang, je peut copier les données et les mettres sous clé.

Dit-elle en se tournant vers lui.

- Non. Je n'en ai pas besoin.

- Ok.

Elle  se remit au boulot. Il se pencha vers elle, voir son travail de plus près.

(T/p) Face:


Ca lui mettait encore plus de pression qu'elle en avait déjà. Elle lança son programme et attendis que le chargement se finisse. 

- Va falloir attendre environ 10-15 minutes. Ils sont vachement protégés, pour un gang.

- Tout le trafic qu'ils entreprennent est basé sur la communication.

- Et il font quoi ?

- Trafic d'armes.

- Je vois ... Ce qui explique le réseau privé et assez bien caché. Mais ils sont trop dépendant.

- Ils vont combien de temps à s'en remettre ?

- Mm, je sais pas... Si ils ont une personne comme moi, une semaine, sinon 1 mois. Pour une attaque physique ?

- Oui.

" Chargement terminé. " 

- Malicious Code.

Le Stand apparu, fit sortir une clé USB de sa main et la brancha à l'ordinateur.

- ImpLatiOn dU ViRus

Il toucha l'écran et un point rouge apparu à son contact, puis disparut aussitôt.

- Et voila ! Tout les messages, appels, ne s'enverront pas ou vont buger de ouf.

-Merci.

- Et, je fais quoi, après.

- J'ai une dernière question: tu as bien que ton Stand peut tout détraquer ?

- Oui.

- Ca marche sur les humains ?

- ... Oui. Ca développe certaine maladie plus moins grave. Mais si j'utilise cette compétences, je dois payer un prix égal. Par exemple, si j'implante un cancer violent, je risque de me retrouver dans le coma pendant plusieurs années. Je n'utiliserais pour rien au monde cette fonctionnalité. 

- ... Je vois... Tu as un Stand intéressant. Pour le moment, tu vas rester avec moi.

- D'accord. 

Coup de pression X10000000 

(T/p) Brain :


- Et sur quelque chose de non-vivant ?

- Sur un appareil électronique, les commandes sont complètement inversée. Sur autre chose, unt tasse par exemple, quand on la prend elle va se casser. Il n'y a aucune répercussion sur moi.

- Mm ... Tu vas m'aider dans certains projet. Je te donnerai les détails plus tard. Un mot à qui que ce soit, et tu mourras

- Je sais ... 

Aïe aïe aïe ... Plus aucun retour en arrière n'est possible.

- Tu vas rentrer chez toi et demain tu receveras les ordres.

-  Bien.

Elle se releva, il repassa en mode Doppio et partit de son côté. Elle rentra chez elle, posa ses affaires et mit sa tête entre ses mains.

- Nom d'un carte SD ... Dans quoi je me suis embarquée ?  C'est la merde... La j'suis bien dans la merde ... Se dit-elle à demi-mot.

Voici l'état actuel de (T/p):

- Haaa ! J'suis dans la merde jusqu'au cou !

Après avoir dramatisée pendant un bon moment, elle se fit à manger, se qu'il l'aida à se calmer. Une bonne pizza ça fait toujours du bien. Elle prit une douche bien froide, pour se mettre les idées au clair. Elle s'endormit, trop fatiguée pour stresser plus.


Le lendemain matin, la première chose qu'elle fit de regarder son couurier ( virtuel et papier ) Pour les papiers ce fut de la pub et des factures. Elle regarda ses messages et vit le message attendu:

/ ... .. _ ._. / ._.. . / _ ___ .. _ / _ .. .. _ / _._. .. _. .__ ._ / . _ / .. ___ ... __ .... .____ _____ /

Ha ouais ... Il s'est cassé la tête à lui envoyer en morse ... Plus parano tu meurs ... 

Bref, ça ne se déchiffrera pas tout seul, même si elle connaissait l'alphabet par cœur. Tant d'effort pour rien... 

/ Sur / Le / Toit / Du / Cinéma / A / 23 H 10 /

- ( Surement pour assassiner un des chefs de l'Ordine ... Je doute qu'on fasse la causette. ) Pensa-t-elle.


° 23H00 °

Elle était arrivée devant le cinéma, sa sacoche contenant c'est affaire avec elle. Elle observa un peu le bâtiment, pour trouver des prises ou un autre moyen de monter. Elle fit le tour, puis se mit derrière: Elle avait remarquée une gouttière particulièrement solide.

Elle l'escalada sans trop de difficulté. C'est pas parce qu'elle était une hackeuse qu'elle ne faisait pas de sport ! Elle n'était pas la personne la plus rapide, mais si elle se faisait poursuivre, elle peut tenir longtemps et semer sur l'endurance son possible poursuivant.

Une fois arrivée en haut, elle ne vit personne. D'ailleurs elle se demandait ce qu'il pouvait y avoir en ce moment au ciné ... Elle s'approcha du bord et se pencha. Y'avait du monde, mais elle n'arrivait pas a voir l'affiche. Tant pis ... 

- (T/p), c'est bien ça ?

- Oui ?

Elle se retourna et vit le Boss. ( Qui portait un manteau psk il faisait froid ).

- Bonsoir !

- Bonsoir.

- Ce cinéma a un truc n'est-ce pas ?

- Oui. Il sers de QG à l'Ordine. J'aimerais que tu pirate son système de sécurité. 

- Ok.

 Elle prit son ordi de sa fidèle sacoche et s'asseya par terre. 

- Alors... Connexion... J'infiltre le réseau et les ordinateurs... Je mets l'angle de vue des caméras vers le plafond et laisse une image du couloir tourner en boucle ... Voila ... 

- Prends les plans du cinéma.

- Ok ... Tour centrale, puis disque dur interne... Voila. Sur la salle de conférence n°3, on voit des pointillés sur un des murs. Surement un passage dérobé. L'itinéraire le plus cours et le plus sûr serait de passer par la lucarne là-bas, puis de prendre les escaliers, de passer par la salle de projections n°5 pour aller au bout du couloir et arriver à la salle de conférence.

- Je vois.

- Je regarde si la salle de projo n°5 va être utilisée.

Elle regarda dans l'emploi du temps de la semaine et annonça le résultat.

-  Le public peut venir s'installer à 10 minutes d'intervalles entre chaque séances, le temps de nettoyer, vérifier que le disque n'est pas abimé, etc ... Dans 3 minutes vous avez 10 minutes.

- Tu viens avec moi. Et tu peux me tutoyer. 

- Hein !? 

- Tu sais réfléchir vite et tu garde ton sang-froid.

- Ha ... D'accord ... 

- Tu peut déverrouiller la lucarne ?

- Oui.

Elle revit le trajet et rangea ses affaires. Ils se dirigèrent vers la lucarne, et elle la déverrouilla grâce à son Stand.

- Le décompte à commencer. Dit-elle en souriant. Au fait, je dois vous- pardon, t'appeler comment ?

- Mon nom est Diavolo.

- Bien, Diavolo.

Ils descendirent, et elle poussa une porte menant au escalier. Ils les descendirent en quatrième vitesse. Ils débouchèrent sur un couloir, où des portes avec les chiffres n° 4, 5 et 6 indiquais les salles. Ils entrèrent dans la n°5 et passèrent entre les sièges pour ne pas se faire remarquer. Ils arrivèrent de le couloir, allèrentau bout déverrouillèrent la porte de la salle de conférence grâce à Malicious Code.

- Si tu vois , une épaisseur, séparation ou sentez un courant d'air, dis le moi. Fit-elle a voix basse.

- D'accord.

Ils tâtèrent les murs, et Diavolo vit une petite fissure suspecte. Il prévint sa coéquipière, qui cherchait un quelconque passage. Au moment où elle avait trouvée, ils entendirent des bruits de pas de l'exterieur. Elle accélera et il passèrent dans l'autres pièce juste à temps.

Ils atterirent en pleine réunion de gang. Tout le monde stoppa la conversation et les regardèrent. Un silence gênant s'installa.

- Hum... Bonsoir ! Dit-elle avec un grand sourire.

Gros blanc.

- Tuez les ! Ordonna le chef.

Les hommes se levèrent d'un coup, prirent des armes et tirèrent sur eux. 

- Ouah ! La (c/c) courue se cacher derrière un meuble. Le combat transportait trop de risque pour elle. Diavolo sorti son Stand et s'occupa d'eux. Ils ne semblait rien comprendre, se faire écraser par une force invisible était très étrange. Malheuresement, un des gardes du corps la vit se cacher, et la sorti de sa cachette en dégageant le meuble. 

- Ha ... 

Elle courue dans toute la salle, évitant les balles. 

- Utilise ton Stand ! Cria l'antagoniste principal du manga.

- J'ai pas envie ! 

- Je suis légèrement occupé, là ! Et c'est un ordre !

Argh ... On ne discute pas les ordres du Boss. 

- Malicious Code ! 

Le Stand apparu et toucha le garde du corps. Il s'évanouit aussitôt.

- Ugh ... J'vais être malade pendant une semaine. 

Après s'être occupé des derniers ennemis, Diavolo s'attaqua au boss.

- Pitié ! laissez-moi en vie !

- Je n'ai aucune pitié avec mes ennemis. 

- Qu-qu'est-ce que j'ai fait !?

- Tu fait ton trafic sur mon territoire. La Passione, ça te dit rien ?

- Je m'excuse! Je ne le ferais plus ! Je l'arrête tout de suite !

- Je n'en doute pas.

Et il le tua avec King Crimson.

- On y va. Vérouille la salle à vie et coupe les communications.

- Beuh ... 

- Ca va ? Tu lui a fait quoi ?

- Un malaise... Le problème avec mon Stand, c'est que c'est la roulette russe. Je peut tomber sur tout et n'importe quoi: Du petit rhume chiant qui reste longtemps à une bonne angine. 

- Tu pense que tu vas prendre quoi ?

- J'en sais rien. Mais ça commence demain, ça va durer une semaine et puis ca va partir. Je n'ai pas besoin de médicaments.

- Quand tu dis demain, c'est à partir de minuit ?

- Ouais, a peu près. Pourquoi ?

- Il est 23h46.

- Shit. Faut que je fasse vite.

Elle activa son Stand et coupa tout ce qui pouvait servir communiquer. Une fois sortis, elle vérrouilla et bloqua la salle. Ils remontèrent sur le toit. Elle regarda l'heure et lacha un juron. Il était 23h53 et elle sentait la fièvre monter. 

- Faut que je rentre chez moi.

- T'es sûre que ça va aller ?

- Depuis quand le Boss prends soin des autres ? T'as une réputation de mec cruel.

- ... King Crimson ... 

- Je blaguais ! C'est juste bizarre que tu me fasse confiance et pas à un autre. Sauf Doppio. Mais c'est normal.

- Tu es modeste, loyale et réfléchie.

- Merci.

Elle toussa.

- Pff... Ca sent le gros rhume. Chier.

- Je vais t'aider à descendre.

- Merci ... 

Après avoir descendus le bâtiment, il la raccompagna chez elle. 

- J'ai l'impression de ramener une personne ivre.

- Non. C'est un rhume kamikaze.

- Comment ça ?

- C'est violent sur le coup mais ça pars vite. C'est comme ça que je les appelles.

- D'accord.

- A droite.

Une fois arrivés, il ne lâcha pas.

- Mais pourquoi tu fait tout ça ? Je peux me débrouiller seule.

- Avec 39 de fièvre ?

- J'ai l'habitude. 

- Tu arrive à peine à marcher.

- Ugh ... D'accord... Mais je me demande pourquoi tu fais tout ça.

- Je te rends la monnaie.

- Ha ... 

- Quel étage ?

- Le dernier. Le 5ème.

Il la regarda.

- Tu te fous moi ?

- Malheureusement, non.

- Tss... 

Il grommela deux-trois truc et l'aida à monter. Arriver du palier, énervé par le poids-mort qui portait, il avait une furieuse envie de défoncer la porte. Elle l'ouvrit et entra dans son petit appartement. 

- Voila mon petit chez moi. Salon avec cuisine ouverte et qui fait aussi chambre. A droite les toilettes et a gauche la salle de bain. Mais il y a largement assez de place pour quelqu'un de seul.

- Repose-toi.

- Tu vas partir ? 

- Peut-être pas.

- Pot de colle.

- King Crimson.

- Pardon.

- J'vais me changer. Dans la salle de bain.

- Heureusement.

Bon du coup elle se changea se coucha et s'endormie directe. Et lui il dormi... Sur une chaise... #LeBossMaltraité.

BREF 

Quand elle se réveilla, Diavolo lui avait fait son petit déjeuner et elle avait un torchon mouillé sur la tête. 

- On peut dire... Que vous êtes... Le Boss à tout faire !

Il la méprisa du regard.

- Désolée. 

- Tiens.

Il lui tendis une tasse de thé.

- Diavolo, le Boss de La Passione faire du thé à une hackeuse malade à cause de son propre Stand... On aura tout vu... Sinon, bien dormi ?

- La chaise est incroyable. Je me suis pas du tout pété le dos. 

- Ha ... T'aurais pu essayer la baignoire.

- La ... Quoi !?

- Ca doit être mieux qu'une chaise. Je suppose.

Diavolo.exe a cessé de fonctionner. Veuillez redémarrer le système.

- J'ai une tête à dormir dans des baignoires ?

- J'en sais rien. Chacun a ses secrets.

Il soupira. Dormir dans une baignoire. Une baignoire ! Sérieusement. Il préférait dormir par terre comme un clébard. Elle se releva, toujours pas très bien réveillée, les yeux à moitié ouverts. 

- T'as un instinct un peu paternel. Dit-elle en buvant son thé.

- ... Tu trouve ?

- Ouais tu fait un peu papa-poule. C'est marrant. Et surprenant.

- ... 

- Pourquoi m'avoir choisie ?

- Je l'ai déjà dis.

- Oui mais là on a le temps de bien s'expliquer.

- Tss... Tu n'as jamais dénoncer quelqu'un, tes compétences sont intéressantes. J'ai lu que tu a réussi à hacker une base militaire.

Elle rigola.

- Ha oui ... C'est vrai ... J'ai mis les plans d'une bombe en fond d'écran et j'ai laissée un message du genre: Votre sécurité c'est de la merde.

- Quel humour... 

 - T'as vu ? En même temps, je voulais faire une merde internationnal Ducoup j'ai fait une blague pas drôle.

- J'ai remarquer.

Son rhume dura 3 jours, Diavolo réduit à l'état de majordome. Il fut heureux que sa maladie s'arrête, lassé de passer le balais.

- Attends... On est quel jour ?

- Lundi. Pourquoi ?

- Jeudi c'était mon anniversaire ! J'allais le fêter seule, comme d'hab en mangeant une pizza devant un film et un dessert à la fin, c'était mon plan avant que tu m'appelle  pour la mission. Il s'est passé tellement de chose que je l'ai oublié. En même temps quand personne te le souhaite... 

- Tu vas avoir quel âge ?

- L'âge où on commence à te traiter de vieux: 30 ans !

- Joyeuse trentaine. Tu passeras pas ton anniversaire toute seule.

- Ouiiii ! Merciiiii !

- On fait quoi pour l'occasion ?

- Un cinéma ?

- Avec plaisir.


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Ptdr je m'attendais pas à écrire un xreader pareil.

En tout cas j'espère que ça vous auras plus XD

3 anecdotes pendant que je l'ai écris:

1- Le Stand Malicious Code est une référence à mon 3ème manga préféré, malheureusement pas connu du tout, et plus édité: je l'ai lu à la bibliothèque. Mais vous pouvez les commandez sur Amazon ( RIP moi qui déteste Amazon et son fonctionnement et le modèle économique de Jeff Besos :') ) C'est une série en 4 tome. Je me suis inspirée du personnage Anna, qui posssède un code de piratage.

2- Ma raie des cheveux est un zigzag comme Diavolo. Coïncidence ? Je ne crois pas.

3- Je me suis gratté le nez et d'un coup j'ai saignée du nez. On aurait dit que j'avais mangée quelqu'un à cause du sang autour de la bouche mdr 

... 

C'est glauque ce que je dis en fait ... 

BREF

Je vais m'attaquer au commande que j'aie reçue, dont un Jotaro x Oc qui semble assez prometteur ;)

Dans (le supposé ) ordre de sorti:

1- Jotaro x Oc ( Commande )

2- Kakyoin x MaleReader ( Commande )

3- Jotaro x Reader Partie 4, une sorte d'histoire bonus ( Commande )

4- Narancia x Reader ( Idée de mon cerveau qui tourne losange )


BREF


ARRIVEDERCI


































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