29.Tu n'es qu'un enfoiré, sale hérisson.

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Je sers les poings et tente tant bien que mal de reprendre mon calme. Mais...

Ayumi : "Bakugo... Je t'aime tellement."

Bakugo : "Moi aussi bébé."

Alors là... C'est juste impardonnable. Je m'accapare le pouvoir d'une fille de la seconde générale D, un alter de vent. Je projette une bourrasque énorme dans sa loge, ce qui fait que les tables s'envolent, notamment celle où est posée Ayumi. Je pleure d'avantage et court en dehors du stade. Je me fais rattraper par Shinso, Izuku, Shoto, Eijiro, Ayumi, et surtout Bakugo. Le brocoli me rattrape par le poignet, et je me retourne pour lui faire face. Les larmes coulantes à flots sur mes joues prouvent bien mon été d'esprit. Les regards des garçons montrent leur surprise.

Shoto : "Ayaka ? Il t'arrive quoi ?"

Moi : "R-rien. Tout va bien."

Shinso : "Je suis sûr que non, et que les autres sont de mon avis."

Les gars ensemble (sauf Bakugo et Ayumi) : "Ouais."

Moi : "Vous voulez savoir ce que je ressens ?!"

Shinso : "Dis nous Aya'."

Moi (en criant) : "Ce qu'il se passe, c'est que cette grosse pute d'Ayumi à utiliser son pouvoir sur Bakugo !"

Ayumi : "C'est faux ! Et puis qu'est-ce que cela te ferrais ?"

Moi : "Ce que ça me ferrais ?! Putain mais t'es aveugle sale conne ! J'ai le coeur brisé !"

Ayumi : "Et pourquoi ton pauvre petit coeur de meurtrière est-il brisé ?"

Moi : "Je ne suis pas une meurtrière !"

Ayumi : "Tu as pourtant envoyer toute ta classe à l'hosto, en plus tu as tuer une des filles de la classe."

Moi : "Je ne l'aurais pas fait si tu ne m'avais pas énervée !"

Ayumi : "Je ne t'ai pas énervée. Tu as juste eu un surplus d'émotion, comme là."

Moi : "TA GUEULE ! Tu ne sais rien de moi ! J'ai changée depuis ! Ton harcèlement est fini ! C'est vrai, j'ai envoyé une classe entière à l'hôpital, et j'ai tuer une de me camarades ! Mais c'est TA faute ! Si tu ne m'aurais pas mise en colère, tout ça ne serait jamais arriver."

Ayumi : "Tu as étouffé mon ancien copain avec mon alter ! Tu l'as étrangler, sale folle !"

Moi : "Moi ? Une folle ? Et toi alors ?! Tu es quoi ? Une sale conne qui est totalement débile au point de rendre un garçon amoureux de toi seulement par ce que tu es en manque ! J'ai peut-être manquer de tuer ton ex, mais il l'avait cherché. Tout comme toi."

Bakugo : "Oh ! Il t'arrive quoi Ayaka !"

Moi : "TOI ! Sale bâtard ! Tu ne vois pas que je t'aime depuis je sais pas combien de temps bordel ?! Mais non, tu es trop aveugle pour t'en rendre compte ! Tu embrasses ma pire ennemie devant mon pif, et tu ne change rien en me voyant ! Je pensais que tu aimais Hiza, mais non ! C'est Ayumi. C'est encore pire pour moi... Tu n'es qu'un enfoiré, sale hérisson."

Je retire la main d'Izuku de mon bras, et me barre dans le sens opposé. Le double-face me retient, mais je lui hurle de me lâche et de dégager. Je cours pendant une bonne dizaine de minutes avant d'arriver en plein milieu du centre-ville. Je me pose sur un banc, et sors mon portable. Le tournoi à reprit, et personne ne semble avoir remarqué ma soudaine disparition. J'essuie mes larmes et marche encore une nouvelle fois dans la ville sans but précis. Je rentre dans une supérette et m'achète un sandwich. Je monte ensuite sur le toit d'un vieil immeuble et m'assois sur le rebord.

Je regarde les gens les uns après les autres, et vis un homme avec un alter d'artillerie. Il peut créer des armes..? Je lui vole son alter sans supprimer le sien pour autant, et fais apparaître un pistolet dans mes mains. 

Moi (en me parlant seule) : "Je suis une putain de meurtrière. Ayumi à raison. Alors pourquoi... ne pas en finir ? J'ai dit ce que je j'avais à dire. J'ai dit à Ayumi que c'était une pute et que je la détestait, ainsi que la mise à l'hosto de son ex est de sa faute, j'ai dit à Bakugo que je l'aimais même si il en a certainement rien à foutre, et j'ai dit aux autres de me laisser tranquille. Tout est dit. Ah non... Je vais envoyer un dernier message à Hiza, après tout c'est ma meilleure amie."

Je pris mon portable et envoie un dernier message à la jolie blonde qui me soutient toujours quand il faut. Prenant mon courage à deux mains, je lui envoie :

 "Hey ma belle. Je voulais te dire que je t'adore et que tu es ma meilleure amie. Tu as toujours été là pour moi, et je t'en suis reconnaissante. Merci. Merci d'être toi, et de me redonner le sourire quand ça ne va pas. Je t'ai toujours aimer pour ce que tu es, qui tu es. Maintenant, il est temps pour moi d'aller rejoindre ma mère. Je serais bien mieux avec elle là-haut, que sur cette Terre dévastée et horrible. Adieu, Hiza. Je t'ai toujours admirer, et tu es ma moitié. Ma soeur de coeur."

Je pleure ensuite tout ce que je peux, et un cri de détresse parcoure la ville. MON cri.

J'envoie le message et remonte doucement l'arme jusque sous ma gorge. Une pression... et c'en ai fini. Fini de toute cette merde, et de toute cette haine. Fini de cette meurtrière incapable de dire ce qu'elle ressent. Une pression, et j'irai jouer du piano avec ma mère, là-haut, dans le paradis. Dans cette cité blanche et magnifique qui la garde précieusement avec elle, attendant que j'arrive pour la rejoindre, et la protéger à mon tour.

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