Je vois Nocturne arriver.

Elle me sourit et dit :

- Ta compagne n'est pas là ?

- Non et puis ce n'est plus ma compagne je viens de rompre avec elle je n'appartient qu'à toi

- Vraiment alors je vais pouvoir habité ici ? Mais que va tu dire à tes filles ?

Des larmes me viennent au yeux... Coquelicot... Ses paroles me reviennent et me frappe d'une tel puissance... Si seulement Rosa n'aurais pas eu c'est saloperie de yeux rouges... Si seulement je n'avais pas ressemblait autant à mon père... Ma mère m'aurait certainement tuer comme ma soeur et je n'aurais jamais tué ma chère fille vu qu'elle n'aurait même pas exister...

Si tu savais père comme je te déteste !

Après tout tous cela est de ta faute !

Si tu étais rester avec maman rien de tout cela ne serait arrivé !!!

Tout est de ta faute !!!!

Et même sans te connaître je te déteste et j'espère que tu es mort dans d'attroce souffrances comme tu le mérites !

- Flocon est ce que ça va ? Pourquoi pleure tu ?

Dit Nocturne en se collant à moi pour me réconforter.

Se collera t'elle encore contre moi quand elle apprendra mon terrible crimes ?

Certainement pas...

Après tout qui voudrait d'un chat dont les pattes sont salit...

Mais bon je lui doit la vérité alors je vais tout lui dire.

- j'ai commis une grave erreur...

- Ok

Je suis surpris. Elle n'essaye pas de savoir quoi cela m'étonne de sa part.

- Tu ne me pose aucune question ?

- Non, tu n'es pas obligé de tout me dire.

- Je préfère te le dire je ne veux pas te mentir

- Eh bien fait !

- Tu sais je t'ai parler que l'une de mes filles avait les mêmes yeux rouges que ma mère

- Des yeux rouges !

- Oui pourquoi ?

- Pour rien... Continue !

- Eh bien j'en pouvais plus de voir les yeux de ma fille j'ai donc décidé de les lui fermer à tous jamais.

Je m'arrête est regarde Nocturne elle paraît choquer puis dit :

- Vas y continu

Je lui explique donc ma terrible erreur et le fait que j'ai tué Coquelicot et que mon ancienne compagne a viré Rosa. Elle m'écoute sans m'interrompre et une fois que j'ai fini elle me dit d'une voix pensive :

- Je crois que j'ai rencontré ta fille !