1| Quand la Mort frappe à la porte

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La Mort le cherchait depuis le début. Elle a cherché et cherché, mais jamais elle ne pu le trouver. La Mort réalisa que la seule façon de le trouver, était d'abord de trouver La Roche Balance.

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- ... C'est forcement là qu'elle se trouve depuis tout ce temps. Un endroit que je n'avais jamais eu besoins de visiter auparavant. Un endroit si proche du croisement des mondes, étonnement protégée de mon emprise. Que c'est suspicieux...

Je m'avançais de plus en plus du lieu le plus verdoyant qu'il m'ai été donné de voir. Rien ne pouvait empêcher la nature de pousser ici. Il y a même une barrière, pour éviter toute détection. Je posais donc vivement ma main, qui eu facilement raison de la barrière de végétaux. C'était si simple. Je vais enfin pouvoir le trouver. Il est enfin temps de le trouver et de terminer tout ça.*

. . . Mais c'est étrange. La magie de cette barrière me semble... Familière ?

. . .

Tiens...

Je me demande si c'est la faute du destin ou si c'est parfaitement ironique, qu'après une éternité à se tourner autour, la Mort trouva la Vie.

Je m'avançais doucement d'elle en observant. C'était un endroit lumineux, vert, joyeux, vivant. Tout semblait parfait ici. Avant que je ne m'y introduise, en ce lieu enchanté. Dès à présent je la regardais. Aussi lumineuse et vivace que l'était cette endroit, pourtant si frêle et fragile. Seule son expression faciale faisait contraste avec la gaieté de cet Eldorado. 

Son visage semblait horrifié, sans doute à cause des dommages considérables que j'infligeais à cet endroit. En effet, à chacun de mes pas, toute la nature environnante se fanait, et laissait désormais place à ma nature noirâtre et sinistre. Alors que je n'étais qu'à quelques mètres d'elle, son visage se transforma. Il se tendait et se crispait, laissant apparaître une expression de colère.

- Te voilà, dit-elle sèchement, dédaigneuse, me faisant bien comprendre qu'elle ne voulait pas de moi ici.

- Et bien, et bien, qu'elle surprise, dis-je en ignorant son ton sec. Alors c'est ici que tu te cachais durant tout ce temps ? Très charmant, vraiment.

Elle semblait livide, pâle, froide tout le contraire de ce qu'elle était. Elle me fixait, voulant visiblement répondre quelque chose cinglante.

- Et bien, qui-a-t'il ? Riais-je d'un ton moqueur. On dirait que tu as vue la Mor- !

Je n'eu pas le temps de finir que je dû éviter une attaques ardente venant de mon contraire, qui en se moment même essayer de me tuer. Paradoxale, n'est-ce-pas ?

- Whoa, ma chérie ! Garde ton sang froid, veux tu ? Souhaites tu vraiment incendier cet endroit ?

Je regardais alors la zone malencontreusement visée par la créatrice de ce lieu. À mon grand étonnement, le feu ne brûlait pas.

- ... Heh ... Ça ne brûle pas. Typique de la Vie, dis-je quelque peu amusé.

- Et tu es une abomination ! me cracha-t'elle, en prenant soin d'allumer une autre flamme dans sa main. Une créature comme toi ne devrait pas exister !

- Heh, c'est assez déplacé. Dis-je en sortant ma faux. Lorsqu'on sait que tu es la raison pour la qu'elle j'existe !

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La Mort et la Vie se tournaient autour depuis le début. Cependant, en ce moment, c'était leur première danse. Elles n'avaient jamais été aussi proches.

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Tout deux étions essoufflées de s'être tourné autour ainsi tout ce temps. Un silence pesant pris place, seuls nos souffles se faisaient entendre. La Vie fut la première à briser le silence.

- Tu sais, c'est très impolie de s'inviter chez les gens comme ça, sans s'annoncer Souffla-t'elle, encore haletante. Personne ne t'as donc pas appris les bonnes manières ?

- Pff, pour ma part je ne suis jamais la bien venu, alors j'imagine que je n'ai pas le choix d'être intrusif, rétorquais-je.

Surprise par ma réponse, je pu voir une sorte de pitié ou de compassion dans ses yeux. Je n'ai pas besoin de pitié, je suis celle à qui l'on demande d'avoir pitié !

- Ecoute, maintenant que nous sommes calmés, je peux t'assurer que je ne t'ai pas trouver parce que je te chercher, ne sois pas si orgueilleuse, me moquais-je en me faisant léviter en tailleur, pour éviter de causer plus de dommage à ce paradis. Tu es là pour trouver la Roche également non ? demandais-je, quelque peu indifférente.

- Toujours aussi pragmatique, soupira-t-elle. Oui, je la cherche, dit-elle calmement avant d'exploser, mais à cause de toi, je n'ai plus assez d'énergie pour continuer !

Elle regarda autour d'elle, à nouveau outrée de constater l'ampleur de mes dégâts. Mais elle n'était pas la seule à être épuiser ! Être entouré de toute cette énergie euphorique et folâtre me drainer de mon énergie.

- Et bien, tu n'es pas la seule à devoir arrêter tes recherches je te signa-

- Tu n'avais qu'à pas dépasser la barrière !

- Tiens, regarde qui est impolie maintenant, rétorquais-je, irritée. 

Je me "levais" et décidais de m'en aller, ayant encore un grand nombre de choses à faire. Je sentais qu'elle observait touts mes faits et gestes. Je soufflais d'exaspération avant de reprendre la parole :

- Mais bon, c'est évident qu'elle ne soit pas là. Je suis passé dire bonjour, alors maintenant je vais retourner à mon travail.

- Ne reviens jamais créature des ténèbres ! Dit-elle en déployant une aura de colère qui ferait peur à n'importe quel mortel, mais pour moi elle se ridiculiser en tentant d'être intimidante. Tu n'es jamais la bien venu ici ! Argumenta-t'elle froidement.

- Hehe, je ne suis jamais venu ici, si j'en crois mes souvenirs. Et puis la Vie n'est pas supposer être pleine de surprises ? La questionnais-je, en souriant. Et qu'est ce qu'il y'aurait de plus surprenant qu'une visite de la Mort ?

- Tu n'y comptes pa- !

Je ne lui laissait pas le temps de finir que je disparaissais aussitôt. Je me redis au lieu où je passais le plus claire de mon temps. La dimension de la Mort. Mon monde. C'était sombre, sinistre et puait la mort à plein nez. Toutes les âmes qui avait vécu leur temps de vie attribué finissaient ici. Je m'occupe de finir le travail. Je les fauchais avec ma faux, et les faisait disparaître, les mêlant aux énergie. Je m'occupe de tout les mondes, bien évidement, à la fin de leur temps les âmes ont eu le temps de faire le tour, et elles se fanent dans le dernier monde qui les a accueillis.

Je me charge de les faire se déplacer entres les mondes également, et la Vie n'a qu'à les guider dans leur nouvelle maison.

. . . . La Vie . . . .

Adorable, frêle petite chose . . . 

. . . Elle était vraiment magnifique . . .

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Si la Mort est curieuse à propos de La Vie, c'était aussi vrai pour La Vie. La Vie et la Mort juste s'observent, et se testent. Elles se complètent. Si la Mort n'est plus là, la Vie ne survivra pas longtemps sans elle. Et La Mort, dans l'ordre naturelle des choses, reviendra voir la Vie. 

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