Vous savez quoi ? Finalement je ne vais pas réécrire ce livre, pour la simple et bonne raison que je n'y arrive pas, c'est trop décourageant à effectuer, en plus, je n'y arrive pas...

Enfin, ce n'est pas pour vous parlez de cela que je suis "là", c'est plus pour vous parler de "ma vie", encore une fois. Tout d'abord, sachez que les amies que je citais autrefois dans mes écrits, et bien, je ne peux plus les qualifiées comme tel désormais, et oui, même Soon. Nous sommes redevenues des connaissances, rien de plus, enfin, je ne vais pas m'apitoyer sur mon sort comme une malheureuse, puisque que ce n'est pas le cas. Je tenais juste à vous prévenir, pour que vous ne soyez pas alertés de ne plus voir certains noms apparaître. On pourrait croire que je suis triste, mais non. Avant oui, mais plus maintenant, c'est assez étrange d'ailleurs, je ne ressens rien... M'enfin, je n'ais pas à me plaindre, j'ai retrouvée des amies, qui valent de l'or, elles. Je pense que l'une d'elle pourra ce reconnaître dans ce texte, n'est-ce pas, 'Bloodie ? Mais ne nous éternisons pas sur ce sujet, aussi pathétique soit-il parce qu'honnêtement, je ne pense pas que ce genre de futilité intéresse grand monde, passons à un sujet plus sérieux. Je tenais à vous mettre au courant, que ces derniers temps, j'ai beaucoup mûri, que vous le croyiez ou non, ce n'est pas mon problème, faite ce que bon vous semble. Toujours et t-il que vous ne retrouverez pas les gamineries que j'écrivais de sitôt.

Et pour ceux qui se posent encore la question, oui, je vais bien ! J'ai juste énormément changée, je peux être très joyeuse et faire n'importe quoi avec mes amies, sans me souciée du regard des gens, comme je peux être très froide et renfermée, et ne faire aucun effort pour engagée la conversation. Je suis comme ça avec les gens que je n'apprécie pas, ou alors avec qui je ne me sens pas bien. Désolée si vous venez d'apprendre que je ne vous aimais ou ne me sentais pas bien avec vous. Mais c'est comme ça, qu'est-ce que tu veux que je te dise ? J'ai tournée la page, rien de plus, pas de quoi en être ébahit.