dans les paillettes de la vie, le noir s'impose, dominant les nuits blanches. on a des pensées noires qui ne sont qu'à nous mais qui ressemblent vachement à celles des autres. on s'assemble à force de se faire peur. on s'assemble par qu'au fond, on se ressemble un peu. même si certains ne veulent pas. même si certains font tout pour ne pas se démarquer. on veut tous plus au moins la même chose, de près ou de loin. le regard posé sur les autres, les contempler et vouloir les comprendre. les vouloir et pourtant les perdre. les autres, ce mystère qui détruit. ce remède qu'on aime, qui nous aime et que tout le monde aime. boum.

tout s'est ressemblé. rien ne s'est s'assemblé.