Ce chat

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Avant tout, comprenez moi. Je DEVAIS accepter cette offre, une chance unique pour voir ma carrière s'envoler!
passer d'un archéologue de pacotille a enfin un vrais archéologue sur le terrain, a fouiller les pyramides! Je ne veux pas dégrader mes confrères, mais on ne commence pas ses études avec l'espoir de montrer à des touristes des trésors anciens entassé dans un vulgaire musée!

donc, j'ai sauté sur l'occasion, comme je l'ai déjà dit, et je me suis envolé de mes propres ailes. Enfin presque, vue que je ne volais pas; j'étais dans l'avion.
Tout était comme dans un rêve, le vol sans encombre, l'atterrissage en douceur, pas de pertes  malencontreuse de bagages.

C'est une semaine après, cinq jours très précisément que les choses ce sont gâtée, comme on dit dans le milieux. 
Je devais descendre dans la pyramide avec un jeune, un stagiaire sûrement, qui avait à mes yeux rien à faire de une pyramide. Et le plus agaçant, c'est de l'entendre geindre toute la journée.
<<Monsieur Lin, on ce range le matériel?>>
<<Oh, vous voilà Monsieur Lin, j'ai besoin de votre aide!>>

J'en ai assez de Monsieur Lin, même si c'est mon nom!
enfin bref, là n'est pas le sujet, je parlais de cette descente.
donc comme son nom l'indique, on est descendu dans cette pyramide. J'espérais trouver un quelconque  bibelot, rien de bien spécial, quand Il a poussé un long cris déchirant. Ce genre de cris qui vous glace le sang comme on dit. Non pas parce qu'il est effrayant, mais parce qu'il n'a rien à faire ici. Quand je repense à ce moment, je me demande si je n'ai pas viré fou, et que je suis maintenant dans le coma à l'asile, ce serai presque rassurant. Bordel! je m'écarte encore du sujet. Donc ce cris, plus communément appelé "miaulement", a résonné longtemps, rebondissant sur les parois. Je tiens à dire que même avant cette histoire je n'aimais pas les chats.

L'autre imbécile à décampé, trouvant un prétexte débile pour foutre le camp. Après je le comprend, entendre un miaulement alors qu'on est bien cinq mètres sous terre n'est pas quelque chose de commun. Mais moi, je suis plein de chose, mais pas lâche, vous pouvez me croire!

alors j'ai foncé vers le miaulement, me perdant dans cet endroit labyrinthesque, et ce, dans l'obscurité presque total. Et je l'ai vu. Où plutôt, je LES ai vue. Des centaines, des milliers de chats! Et la salle ! décrivons la salle! Elle était gigantesque, et tout les deux mètres peut être, il y avait une torche ses flammes dansantes éclairant les murs, agrandissant et déformant les ombres. Naturellement, pas fou j'ai voulu fuir, mais mes pieds on rencontrer une masse, et j'ai faillis tombé. En regardant ce qui m'a faillis valoir une chute, j'ai réprimander un haut le cœur. Devant moi ce trouvait la dépouille de ce stagiaire. Certe, je ne l'appréciais pas des masse, mais voire son corps meurtris couver de griffure, et son visage en lambeau, avec ses orbites vide, semblant fixer des choses visibles à lui seul, cela ne me réjouissais pas, surtout que je risquais de finir dans le même état que le malheureux.

Dans une tentative désespéré, j'ai essayer de m'enfuir, mais une vague de chat m'a cloué au sol. je sentais leurs griffes ce planter dans ma peau, la réduisant en lambeaux, leurs halènes fétides me faisait suffoquer, leurs fourrures cacha complètement la vue, et je sentait un liquide chaud couler le longs de ma main. Du sang? Mon sang? Je fut pris d'une panique extrême, accélérant ma respiration, à la recherche de la moindre parcelle d'air. Puis plus rien, plus de bruit, plus d'odeurs, même plus de masse écrasante sur mon corps.

J'ai ouvert un œil, puis l'autre, j'étais dans la semis obscurité. De nouveaux, mon rythme cardiaque s'accentua, ma tête me lançais, comme si j'avais le vertige.
Alors j'ai tâtonné le mur, et j'ai trouver un interrupteur, que j'ai actionné sans réfléchir. la salle fut inonder  de lumière, révélant... Un musée. Non, mon musée; celui dans lequel je travaillait il y a encore un mois. du moins c'est ce que je croyait avant de me rendre compte que tout ce que j'avais vécus c'était juste un rêve. Un putain de rêve. A ce moment, je me suis rendus compte que je retenais mon souffle, alors je me suis dépêché d'avaler de grande goulée d'air.

Et d'un coup, je me suis rappelé de mon entretient que j'ai hier avec mon patron. 
Et ce qui est sûre, c'est que je ne vais pas accepter la promotion pour Égypte qu'il m'a proposé, vous pouvez me croire.

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