CHAPITRE XXVI

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- C'est parce que je t'aime...
Comment veut-il que je le laisse s'éloigner de moi quand il me dit ça ? Et répondre à ses questions est si facile. Lui pardonner ? Évidemment. Y arriver avec un mec ? Pas n'importe lequel... Et tant que c'est lui... Déterminer mes sentiments ? Ils me paraissent évidents maintenant. Mais c'est trop tard...
Nan, si je m'éloigne se serait pour lui. Mais ses lèvres me nargue et je ne peut m'empêcher de les effleurer tendrement.
- Tu... Je suis désolé... Pour tout ce que je t'ai fait subir... Même involontairement... J'aurais dû voir à quel point t'allais mal... Comment je peux être obnubilé par ma propre personne à se point putain... Et de mon côté... J'ai déjà mes réponses. Mais je comprends que..., une boule de sanglots contenu de forme dans ma gorge et m'empêche de parler. Calme toi..., que tu veuilles prendre du recul... Mais... Reviens moi...  Rapidement... J'ai pas ta patience...
Conneries, je pourrais attendre cent ans maintenant que je me suis rendu compte de mes sentiments pour lui... Je n'ai juste pas envie de souffrir de ce manque que je sens déjà se former dans ma poitrine tandis que je m'éloigne, partant rapidement m'habiller dans sa chambre, avant de me diriger vers la sortie. Mais je n'arrive pas à raisonner mon cœur et fait un léger détour par le salon, venant rapidement lui arracher un chaste baiser.
- Encore désolé... Je comprends que tu me haïsse... Mais je prie pour que tu me pardonnes, rapidement...
Je l'embrassais tendrement, dans un baiser au goût d'au revoir et de sel, puis me séparais de lui et me dirigeais vers l'entrée à nouveau, sans dévier cette fois.
Je lui lançais un dernier regard en passant le seuil de la porte, l'implorant de me dire de rester... Mais non.
Je ferme les yeux pour garder emprisonné mes larmes de rages. Pourquoi à t'il fallu que je me voile autant la face... Aussi longtemps... Et moi qui trouvais Flora débile de suspecté une relation entre Thomas et moi... Elle a compris mes propres sentiments avant moi...
Je errais au hasard dans les rues faiblement éclairer par la lumière d'un ciel caché sous une parure de nuages, jusqu'à ce que mon ventre cri famine et me fasse entrer dans un café pour déjeuner... Et merde pourquoi faut-il que se soit ce café...
Je m'asseyais malgré sous les ordres de mon estomac et y commandais un petit déjeuner.

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Pitié Kya... Bon t'aurais pu faire pire mais sache que je te hais, cordialement.

A+ en commes

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