Chapitre 8 :

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Esteban : Des idées ?

*le silence règne*

Laguerra : Pendant que vous cherchez l'indice pour trouver la cité d'Or, j'irai discrètement dans la nef pour chercher le double-médaillon.

Zia : Mais ça m'étonnerait qu'Ambrosius laisse la nef sans protection... Et je pense qu'il aura le double-médaillon sur lui !

Tao : Peut-être mais on peut toujours essayer non ?

Esteban : Je suis d'accord avec Zia, Ambrosius est trop précautionneux pour laisser le double-médaillon sans défense. Et s'il le fait, c'est un piège !

Tao : Mais alors on va faire quoi ?

Mendoza : Telle est la question...

Esteban : Zia... Si tu te trouves en face de lui, tu penses que tu peux faire voler le médaillon jusqu'à toi ?

Zia : Oui je pense pouvoir le faire.

Esteban : Même si il est dans une poche ou autre ?

Zia : Oui peut-être.

Tao : Alors on a peut-être une chance.

Esteban : Oui et nous devons la saisir.

***

Le soir, les enfants et les marins dormaient mais pas Mendoza et Laguerra. Mendoza voulait lui parler du repas. Pourquoi diable n'avait-elle pas mangé ?

Mendoza : Dites-moi senorita, pourquoi n'avez-vous pas mangé ?

Laguerra rougit. Que répondre à cela ?

Laguerra : J'ai... J'ai un appétit d'oiseau. Et toute ma vie, j'ai été habituée à très peu manger.

Mendoza fut très surpris.

Mendoza : Vous savez, moi aussi cela m'arrive de ne pas manger. Mais... je n'avais jamais rencontré quelqu'un qui mange aussi peu que vous.

Laguerra : Ah vraiment ?

Mendoza (d'une voix douce) : Oui.

Il lui prit les mains et la regarda. Laguerra le contemplait. Ainsi, il acceptait cette différence qu'elle n'avait jamais elle-même accepté ? Il acceptait le fait qu'il ne pourrait jamais partager de vrais festins ? Laguerra fondit sous son regard.
Mendoza toucha tendrement son visage. Laguerra se laissa faire, sous son charme. Mendoza pensa qu'il y avait un trésor autre que les cités : l'amour ! Laguerra se demanda ce qu'il allait faire après. Il se penchait pour l'embrasser. Laguerra se pencha à son tour vers lui. Leur baiser était tendre et doux. Laguerra avait envie qu'il ne s'arrête jamais. Au bout de quelques minutes, ils se séparèrent tout essoufflé.
Laguerra le regarda. Le plus bel homme du monde avec pour fond la Voie Lactée... Un moment parfait. Elle avoua ses sentiments envers lui.

Laguerra : Mendoza, je vous aime.

Mendoza : Moi aussi, je vous aime.

Laguerra : Au fait... Mon prénom est Isabella.

Mendoza : Oh... C'est très joli.

Laguerra : Et le vôtre ?

Mendoza : Eh bien... Euh...

Isabella attendait patiemment sa réponse en lui souriant. Mendoza ne savait pas quoi dire. Il n'aimait pas son prénom, mais avait-il le droit de mentir à la femme qu'il aime ?
Finalement, il se résigna à lui dire la vérité.

Mendoza : En réalité, je m'appelle Juan-Carlos. (NDAs : On a gardé ici la version espagnole, en français : Jean-Charles)

Laguerra : Je trouve ça très joli.

Mendoza : Je sais que vous dites ça pour ne pas vous moquer de moi.

Laguerra : Oh non ! Ce n'est pas vrai. C'est plutôt mon prénom qui est affreux. Il allait mieux à ma mère qu'à moi...

Mendoza : Quoi ? Mais il est tellement ravissant !... Tout comme vous, senorita.

Laguerra *rougit* : Non, non, ne croyez pas cela...

*Mendoza lui reprit les mains*

Mendoza : Votre prénom est vraiment beau. Vous êtes une femme forte, intelligente et très ravissante dans votre tenue.

Laguerra *rougit encore plus* : Vous aussi... Votre prénom est très beau... Vous êtes fort et intelligent... Et votre cape vous va très bien...
Et vous n'êtes pas un lâche comme les autres hommes.
Vous êtes parfait.

*Mendoza lui fit un câlin puis l'embrasse sur la joue*

Laguerra *le laisse finir* : Nous devrions dormir, connaissant Ambrosius il se lèvera demain à l'aube.

Mendoza : Oui bonne nuit senorita.

Laguerra : Bonne nuit Mendoza.

***

Le lendemain matin, les enfants étaient enfin arrivés en Afrique du Sud.

Zia : La nef descend ! Elle va se poser !

Esteban : Je vais essayer de me poser pas trop loin derrière la nef.

Tao : Ici ! Ça m'a l'air bien ! *montre un endroit du doigt*

Esteban : Oui c'est parfait pour poser le grand Condor.

Le grand Condor se posa. Nos héros accompagnés des marins ainsi que Laguerra descendirent du grand Condor. Laguerra redoutait de voir Ambrosius, et cela inquiétait Mendoza et les enfants.
Ils suivirent discrètement Zarès. Pour Laguerra, nul doute qu'il devinait et sentait leur présence.
Zarès et Gaspard marchaient vers un petit village en contrebas.
Les enfants trouvaient le petit village petit.
Zarès se dirigea vers le temple au milieu du village.

Tao : Regardez, il va vers le temple là-bas !

Esteban : Je me demande ce qu'il y a à l'intérieur...

Laguerra : Sûrement des indices pour la prochaine cité d'Or.

Tao : Ou un passage secret !

Zia : Hé bien allons-y !

*Zarès et Gaspard rentrent dans le temple*

Zarès : Soyez vigilant Gaspard. Je suis certain qu'ils nous suivent.

Gaspard : On leur tend une embuscade messire ?

Zarès : Nous allons les attendre sagement.

Gaspard : Mais ne pensez-vous pas que Laguerra va se douter qu'on les attend ?

Zarès : Probablement mais nous en profiterons pour la reprendre avec nous.

Gaspard *content* : Ah, très bien.

Pendant ce temps, les héros discutaient entre eux.

Laguerra : Connaissant Ambrosius, il doit être en train de préparer un piège ou une embuscade.

Mendoza : Hé bien, nous allons lui préparer une surprise.

Esteban : Que va-t-on faire ?

Zia : Euh...

Esteban : Alors ? C'est quoi le plan ?

Tao : Je ne sais pas.

Zia : Moi non plus.

Esteban : Alleeeez Mendoza ! On a pas beaucoup de temps non plus !

Mendoza : Ne sois pas aussi impatient Esteban ! Nous devrions entrer dans le temple et chercher les indices pour la prochaine cité d'Or.

Esteban : Oui, mais si Zarès tient une embuscade, il FAUT que tu nous explique le plan ! Qu'on sache au moins quoi faire !

Mendoza : Je m'occuperai de lui et Gaspard pendant que vous chercherez les indices.

Laguerra : Tu ne veux vraiment pas que je t'aide ? Je connais mieux l'exosquelette d'Ambrosius que toi...

Mendoza : Euh...

*Laguerra et les enfants le regardent fixement*

Mendoza : C'est d'accord.

*Laguerra sourit brièvement*

Laguerra : Allons-y, faites attention aux coins sombres où Ambrosius pourrait se cacher.

Les enfants : D'accord.

Dans le temple :

Ambrosius : N'hésitez pas à faire du mal, Gaspard. Sans tuer, mais blesser. Essayez de blesser Laguerra, pour que ce soit plus simple d'avoir Mendoza.

Hors du temple :

Mendoza tendit des petits poignards aux enfants.

Mendoza : Ça pourra être utile. En attendant, cachez-les dans un endroit où vous pourrez les prendre rapidement.

Les enfants : Compris !

Ils se dirigèrent très lentement et très prudemment vers l'entrée du temple.

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Hey! Oui, je ne suis pas morte, et la suite est là ! C'est, il me semble, le plus long chapitre de cette histoire :D
JOYEUX ANNIVERSAIRE @Ravensunny !! Ma co-autrice :D
Je vais encore une fois m'excuser de mon retard, mais le problème que j'avais est résolu, donc normalement je pourrais peut-être bientôt sortir un autre chapitre (malgré tout, j'ai pas mal de travail ces vacances, donc il se pourrait que vous ne le verriez qu'après la rentrée, si après cette date je ne suis pas non plus prise par encore du travail...).
Allez, je vous laisse ^^

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