Le bruit des trousses qui se ferment, la sonnerie qui retentit aurait dû sonner à ses oreilles comme une douce mélodie.

Mais cette fois, ça laisse un goût amer dans la bouche d'Avril. Elle manque de rester cramponnée à sa chaise.

Elle se retient de pleurer, mais elle ne le fait pas de peur d'être jugé plus qu'elle ne l'est déjà. Et ça elle ne veut pas.

Alors quand elle pousse la porte de son foyer, et que son beau-père est assis sur le canapé elle soupire ayant assez de recevoir des remarques déplacées.

La " traînée" en a assez de se faire insulter pour le plaisir personnel de ce qui devrait être un exemple.

Elle en assez de sentir ses regards lubriques derrière elle sans qu'elle ne puisse rien y faire alors elle se cache derrière des sweat amples . Avril se tait, peut-être qu'un jour elle dira à son beau-père d'aller chier au lieu de rester ici, pendant que sa mère se tue à travailler.