Lucy courre vers les portes coulissante de l'exterieur, afin d'aller au poste mais avant elle écarquille des yeux en voyant une casquette bleu sur la tête d'une personne mais des longs cheveux chatain voler près d'elle. Elle se retourne par réflexe.

-Fa..

Mais elle ne voit personne. Surprise elle se retourne de nouveau et entre par les portes puis monte l'ascenseur et arrive quelque minutes plus tard au poste. Elle se retrouve entrain de courire.

-Lucy ! Crie Mirajane.

Elle se retourne et voit la blanche et Juvia ensemble se diriger vers elle.

-Où t'étais ? Demande Juvia.

-On essayer de te contacter ! Crie Mirajane.

-Je.. Lucy hésitante se frotte finalement la tête souriante. Je suis désolé, j'étais occupé avec Nashi !

Les filles se regardent et reprennent.

-Enfin bref ! S'exclame la blanche. Comme je te l'ai dit Cobra débutera demain a détruire Shibuya.

-Le soucis c'est qu'on ne sais pas où.

-Certainement avec des bombes. Dit Mirajane en pensant qu'elle est idiote.

-J'ai demander "où" pas "comment" ! Crie Juvia en serrant ces poings et la faisant face avec ces dents et yeux pointu.

Mirajane rigole.

-Peut-être dans un hôtel ? Demande Lucy.

-Ou dans un restaurant chinois ! S'exclame Mirajane.

-Ouais, si on continue comme ça Shibuya se fera éclater avant même qu'on est finit de deviner. Reprend Juvia les bras croisé.

Lucy lève ces yeux espérant trouver une solution et c'est par surprise quelle voit la même femme au long cheveux chatain passer et un papier atterit soudainement vers Lucy quelle le chope et le déplis. Elle écarquille des yeux en voyant inscrit. "15h Parking Shibuya". Juvia et Mirajane profite de regarder au-dessus de l'épaule de la blonde et hausse les sourcils.

-Depuis quand tu as ce papier ?

Lucy écarquille des yeux et lève sa tête en voyant une femme de dos s'en aller, vêtu d'un pantalon militaire et un débardeur vert kaki. Ainsi qu'une casquette bleu. Elle se tourne dans un autre couloir et Lucy se met à courir à sa poursuite.

-Attend ! Crie t-elle.

Puis soudain personne. Elle reprend sa respiration en regardant le couloir en ne voyant aucune trace d'elle. Elle regarde une nouvelle fois le papier, puis ces amies la rejoint.

-Lucy, qu'est-ce qui ce passe ? Demande Juvia.

-T'es bizarre depuis tout à l'heure. Ajoute Mirajane.

Lucy secoue de la tête en les rassurant avec un sourire, puis reprend un air sérieux en regardant le papier.

-Je ne comprend pas..

*

La femme se pose sur un toit dans le quartier où elle a l'habitude d'aller et s'allonge sur le toit en retirant la casquette puis la jette et s'allonge sur ces bras croisé derrière sa tête en regardant le couché de soleil.

-Boss ! S'exclame un homme plutôt costaud en accourant vers elle. Tout est prêt. On attend plus que vos ordre.

Un court silence s'installe.

-Dit moi..

-Oui boss.

-Est-ce que ça te plaît d'obéir aux ordres ?

L'homme ne répond pas à l'instant mais reprend.

-Si c'est vous, boss, oui.

-Pourquoi ça ?

-Vous nous donnez que très rarement les ordres et vous nous forcez même pas à participer à vos plans. On est plus libre qu'autre chose.

Farā regarde le ciel un moment, puis s'assoit.

-J'ai dit quelque chose qui n'allait pas ? Demande t-il, apeuré de recevoir un coup.

Farā sourit et marche les mains dans les poches. En le croisant elle lui tapote l'épaule.

-Changement de plan. Elle sourit en continuant de marcher. On va bien s'amuser.

*

-C'est horrible ! Se met à crier Levy en entrant dans la salle informatique et regardant Lucy et ces deux amies. Elle courre vers elles. Les spirit sont mêlé à la destruction de Shibuya !

Les filles la regarde surprise.

-Les spirit ? Répète t-elle toute les trois.
-Comment est-ce possible ? Demande Lucy en prenant un air inquiet.
-Tu en es sur ? Demande Juvia. Levy hoche de la tête.
-C'est quoi les spirit ? Sourit Mirajane.

Un silence entre eux quatres s'installe puis Mirajane se reçoit un coup dans la tête par Juvia.

-Tu plaisantes j'espère. Demande t-elle.

Mirajane secoue de la tête.

-Je crois que j'en ai déjà entendu parlé, mais je n'ai jamais compris qui sont-ils.

-Ils sont plus pire que la mafia. Intervient Lucy. Les spirits sont très dangereux. Rare ceux qu'on attrape et surtout ils sont partout. Ils peuvent rentrer et sortir d'une  banque sans que personne ne remarque.

-Il peut même y en avoir un ou plus ici. Ajoute Levy.

-Comment on les reconnait alors ?

-Grâce à leur tatouage. Répond Juvia. Ils ont tous un tatouage d'un cheval noir levé.

-Je vois, je vois. Qui est leur boss ? Demande la blanche.

-On n'en sait rien du tout. Dit Lucy en s'appuyant contre la table. Aucun indice sur ce boss. Même les autres gang ne l'ont jamais vu. Mais s'ils sont mêlé à cette histoire, c'est pire qu'on ne l'aurai pensé.

-On est dans la mouise ? Demande la blanche.

-On est dans la mouise. Confirme Lucy et Juvia prenant un air inquiet.

-Ah mais j'ai aussi une bonne nouvelle ! Ajoute Levy souriante. Les filles la regarde. J'ai identifié le repère de Cobra !

Les filles la regarde avec un air normal d'abord puis leurs yeux prennent la forme d'un rond et la bouche grande ouverte.
Juvia la prend soudainement par le cou en la secouant.

-Tu n'as pas pu nous le dire plutôt !?

Mirajane reste calme et retire les bras de Juvia du cou de Levy en secouant la tête.

-Arrête ça. C'est pas comme ça qu'il faut faire.

Les deux bleutées la regarde surprise, puis la blanche prend soudainement par le cou Levy et la secoue beaucoup plus violemment que Juvia précédemment. Levy crie à l'aide à Lucy qui les sépare.

-Ça suffit maintenant. Passons au chose sérieuse. Levy. Cette dernière la regarde. Combien de temps avant  la destruction du quartier ?

-6h. Répond-elle.

-C'est si court... Reprend Mirajane.

-Désolé Lucy, mais on n'aura jamais le temps de chopper Cobra, trouver les bombes et les désamorcer. Dit Juvia.

-Rien que de choper Cobra ça prendra 3h. Répond Levy. Alors..

-Les filles. Coupe Lucy. On a fait des missions quasi-impossible ensemble.

-"Impossible" tu veux dire. Rectifie Mirajane en souriant.

Lucy sourit et hoche de la tête.

-Rien n'est plus impossible pour nous à présent. Alors on peut le faire. Elle les regarde puis fronce des sourcils en souriant. On peut le faire à nous quatre. Nous sommes la brigade de police après tout.