Les portes de réferment derrière Lucy et Natsu. Lucy ne dit rien et essuie ces larmes. Natsu la regarde puis lui donne dos et il demande :

—Pourquoi tu ne m'a rien dit ?

Lucy le regarde puis baisse la tête. Elle reste silencieuse et Natsu reprend en soupirant.

—Tu n'as pas changé. Tu gardes tout pour toi. Tu veux endurer cette souffrance seule.

—Je n'ai pas besoin de toi pour ce genre de chose..

—Juvia et Mira sont au courant ?

Lucy baisse la tête en fronçant les sourcils.

—Je m'en doutais.. dit-il. Tu ne me fait plus confiance ?

Lucy se retourne en ne pouvant s'empêcher de lâcher un rictus.

—Évidemment. Tu m'as laissé seule pendant 5 ans avec un enfant dans le ventre. La confiance c'est la dernière chose que j'attend de toi.

Natsu fronce des sourcils.

—Alors pourquoi avoir garder l'enfant ?

Lucy se retourne surprise en fronçant des sourcils. Elle plisse les yeux ressortent une larme.

—Parce qu'elle nous représentent.

Natsu ouvre grand les yeux. Il baisse sa tête sur le côté et s'approche d'un pas de Lucy qui essuie ces yeux. Soudain la porte commence à s'ouvrir. Natsu prend rapidement la main de Lucy et la tire derrière un mur. Héléna y sort en colère.

—Comment as-t'il pu me faire ça !? Crie t-elle en tapant son pied conte un mur. Natsu sort à peine sa tête du mur et la regarde en fronçant des sourcils et tenant la bouche de Lucy. Héléna prend son téléphone et le colle à son oreille. J'ai besoin de te parler. Réserve moi un temps. Elle coupe et s'en va.

Lucy qui est toujours dans les bras de Natsu lui retire sa main de sa bouche et recule.
Natsu la regarde.

—Ne me touches pas, je ne t'ai toujours pas pardonné. Elle se frotte le bras. Tu me dégoutes.

Natsu soupire puis met ces mains dans ces poche et commence à partir.

—Mais, dit Lucy en levant la voix pour qu'il l'entend. Natsu s'arrête et tourne sa tête de profil en dirigeant son regard vers elle. Mirajane n'a pas voulu l'admettre mais.. elle baisse sa tête sur le côté. Je te remercie de l'avoir sauvé. Et je te remercie aussi de nous avoir aidé à arrêter Cobra.

Natsu se retourne vers elle, tandis que elle se tourne et commence à s'en aller.

—Hé.

Lucy tourne sa tête vers lui. Et Natsu reprend avec un regard sérieux en plongeant ces yeux Onyx dans ceux noisettes de la blonde.

—Est-ce que tu ressens toujours quelque chose pour moi ?

Lucy écarquille des yeux sur le coup puis lui donne dos. Elle serre ces poings.

—T'es gonflée. Dit-elle. Natsu hausse les sourcils. Elle hésite de mettre un pas devant elle. Puis avant de partir elle reprend. Ça.. deux traits rose apparaît sur ces joues alors qu'elle froncé des sourcils. Tu n'as qu'à le deviner.

Elle s'en va sous le regard surpris de Natsu. Il lâche un sourire doux en basculant sa tête sur le côté.

☯

Natsu marche en plein dans les ruelles de la ville de Tokyo et soupire en levant sa tête. Soudain une voiture arrive vers lui a toute vitesse et freine devant lui. Il recule d'un pas et les vitres noir s'ouvre sur le conducteur qui n'est autre que son ami. Natsu soupire et reprend.

—Qu'est-ce tu veux ?

Le brun se cale contre son siège.

—Monte. Y a affaire.

☯

La voiture ce gare devant un trottoir puis Natsu et Gray y sort. Ils entrent dans un bâtiment et une fois arrivé à l'étage ils voient quelques photographes se trouvent au pas d'une porte se faisant bloqué par deux policiers. Natsu et Gray s'y dirigent et voit un flic leur frayer un passage. Ils y entrent et avant le policier reprend.

—Une enquête de ce genre trop simple pour vous. Sourit-il.

Natsu et Gray hausse des épaules et continuent à marcher en traversant le salon. Ils se tournent la où y a le plus de monde puis s'y dirige. Une femme allongé au sol, les yeux grand ouvert. Son débardeur blanc est couvert de sang, et on voit la trace d'une balle l'ayant percer la poitrine. Des enquêteurs prennent en photo la victime et les alentours. L'un des policiers s'approche d'eux et reprend.

—Rachel Start. Elle a été tué hier soir. Les voisins affirme avoir entendu une dispute et le coup de feu à ce moment et pourtant le mari affirme qu'il n'était pas à la maison.

Gray reprend.

—Comme par hasard. Soupire t-il.

Natsu s'accroupis face au cadavre. Il touche à peine son sang et regarde sa main.

—Elle était morte à quel heure ? Demande Natsu.

—Attendez que je-

—1h du matin. Reprend le rose en regardant la femme.

Le policier le regarde surpris et Gray reprend :

—Soir et Matin son deux choses qui diffère. Vérifier vos analyses et les documents. Si nous n'avons pas de bon documentation on ne peux pas faire du bon travail.

Le policier hoche de la tête. Gray soupire et reprend :

—Où il est ?

Natsu se redresse et se met à côté de lui en essuyant sa main avec une serviette et un désinfectant qu'une femme lui a passé.
Le policier les indique la chambre du doigt et Gray et Natsu s'y dirige. Ils ouvrent la porte et voit deux flics lui parler alors qu'il est assis la tête enfoui dans ces mains.

—On prend le relai. Dit Gray en les indiquant la sortie.

Les flics sortent et referment la porte derrière eux.

—Salut vieux. Dit Gray en se prenant une chaise et s'asseyant en mettant ces jambes entre le dossier et posant son menton sur le dossier en regardant l'homme. Dit nous tout.

Natsu s'appuie contre le mur à côté de Gray les mains dans les poches, et les mèches lui tombant sur les yeux.
L'homme relève sa tête en larmes et les yeux rouges ce qui surprend les garçons.

—J'ai déjà tout dit à vous collègues et je...

—Répète. Dit Gray. Et vite, abrége, simple. Il claque des doigts. À toi.

L'homme surpris hoche doucement de la tête et reprend :

—A 9h on c'était disputé. On se criait dessus sans cesse, ça nous venait plusieurs fois. Et puis après, je suis parti.

—Vous insinuez quel était encore vivante à 9h ? Demande Natsu.

L'homme hoche de la tête et Gray reprend.

—Revenu entre temps ? L'homme secoue de la tête.

—Non.. J'étais parti chez un ami. Le lendemain dès que j'étais rentré je l'ai trouvé étalé au sol.

Natsu regarde les environs en se redressent et s'approchant des tables remplie de photo et ouvre les meubles regardant ce qui s'y trouve. Gray continue à poser des questions et l'homme à y répondre. Natsu s'approche du lit et retire le draps en le jetant sur l'oreiller.

—Êtes vous sûre que vous ayez trouvé le cadavre au salon ? Demande Natsu.

—Évidemment.

Gray regarde Natsu et ce dernier reprend.

—Alors ça c'est pas du sang ?

Il indique du doigt le lit et voit deux gouttes de sang sur le matelas. Gray se lève et s'approche. L'homme écarquille des yeux.

—Wow. Reprend Gray. Vous vous foutez de notre gueule où je rêve ?

—N.. non ! Je l'ai trouvé dans le salon. Je vous le jure.

—Autrement dit.. commence Natsu.

—Le tueur la déplacé, mais pourquoi ? Termine Gray.

Natsu regarde l'homme qui regarde le draps et qui reprend :

—Et qui nous dit.. qu'elle n'a pas couché avec lui avant de se faire tirer dessus.

Ils le regardent surpris et Gray reprend.

—De 1, c'est pas toi le flic. De deux en continuant avec cette mentalité tu peux devenir notre premier suspect. Et de trois, tu vas nous dire qu'elle ne l'a jamais fait avec toi ?

L'homme serre ces poings et hoche de la tête en fronçant des sourcils.

—Jamais. Elle m'a toujours pris pour un véritable poison. Elle m'a toujours évité et c'est même peut-être pour cela que notre dispute a été déclenché. Il prend un air irrité. Alors pour se venger en faisant sa premiere fois avec un autre type ça ne me surprendrai pas.

Natsu et Gray fronce des sourcils en regardant l'homme.

—Ton nom c'est John est ça ? Demande Gray. Ce dernier hoche de la tête. Très bien. Merci pour l'info. On va demander à faire analyser entièrement son corps. On vous avertira de ce qu'on aura trouvé.

Gray continu à lui donner des informations tandis que Natsu regarde sur le côté. Il voit une petite table et un tiroir. Il s'approche et l'ouvre. Il voit ensuite des désinfectant à eau pour les yeux. Il fronce des sourcils en voyant des usés puis il se retourne vers l'homme qui sourit à Gray. Ces yeux son sec à présent et plus rouge, mais juste une envie de les fermer. Ces larmes sont sec sur ces joues. Il fronce des sourcils en referment le tiroir et ne quittant pas l'homme du regard.