Chapter 58

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Juvia toque plusieurs fois à la porte d'entrée d'une maison.

—Après les avoir interrogé, qu'est-ce qu'on est censé faire ? Demande Mirajane.

—On ira sur la scène de crime trouver des indices. Répond Lucy.

Mirajane se reçoit un coup sur la tête de la part de la bleuté qui reprend.

—Arrête ça .
—De quoi !? Se plaint la blanche en frottant sa tête et gonflant des joues.
—De nous faire répéter quarante mille fois la même chose !

Lucy rit, et au même moment la porte s'ouvre sur un homme qui regarde les femmes perplexe.

—Qui êtes vous ?

Lucy se met en tête du groupe en prenant un air sérieux, elle lui pointe rapidement sa plaque de police sur sa ceinture et reprend.

—Nous sommes la brigade de police de Tokyo, nous enquêtons sur le meurtre de Rachel Paper. On nous a informé que vous êtes le fameux couple qui a découvert son corps au bord d'une plage tout à fait déserte.

—Attendez, attendez un peu. Ne me dites pas que vous insinuez que nous sommes les tueurs ? Sourit l'homme croyant que c'est une plaisanterie.
—Je n'insinue rien du tout, Hiro Mikuta. Sourit Lucy.
—On a des questions à vous posez. Demande Juvia.
—On peut rentrer ? Sourit Mirajane.
—Et si je dis non ?

Il se fait soudainement bousculer par Juvia qui entre sans problème suivit de Mirajane.

—Vous ne pouvez pas dire non. Sourit Lucy compatissante, les bras croisés. Elle entre en secouant de la tête face aux comportement des filles.

—Hiro, qu'est-ce qui se passe ? Lance une fille sortant de la salle de bain en débardeur et en short, en se frottant les cheveux mouillés avec une serviette. Ce sont qui elles ?

—Elles.. elles sont de la police, elles aimeraient nous poser des questions à propos du corps qu'on a vu la dernière fois.

—Oh cette femme ? Elle s'approche d'une table en allant se servir de l'eau. Et bien, il n'y a pas grand chose à dire, mis à part le fait que j'ai crié comme une folle, j'ai bien cru qu'on allait y passer aussi.

—Comment ça ? Demande Lucy. Vous auriez une idée de qui pourrait avoir fait ça ?

La jeune fille jette un regard vers son copain qui hésite mais hoche finalement de la tête.

—Vous le savez sûrement, mais nous sommes des étudiants, certains à cause de leur notes et la pression des examens deviennent dingue vous savez ? Elle va s'assoir sur le sofa face aux filles. Il se trouve qu'Hiro était également tomber en dépression. J'étais effrayé à ce moment là. Et c'est à ce moment précis, qu'on a entendu parler d'une organisation. Les filles prennent un air surpris.

—Organisation ? Répète Lucy.

La fille hoche de la tête et Mikuta reprend en allant s'assoir près de sa copine.

—Cette organisation a pour but d'aider les personnes qui étaient dans mon cas, à se retrouver, à se calmer. Enfin, c'est ce qu'ils nous faisaient croire.

—Quoi ?

—Il se trouve qu'on était partis voir cette organisation. On retrouvait bel et bien des étudiants dans le même cas qu'Hiro. Non en fait, ils étaient dans un état bien plus pire que celle d'Hiro. C'était un vrai cauchemar. Les personnes normal n'ont pas le droit d'entrer dans l'organisation. Mais comme j'étais inquiète à propos de lui, je suis rester caché pour voir sa réaction. Mais mon regard c'est posé sur d'énormes cartons, un homme est allé pioché dedans et j'ai vu des sacs remplis de poudre blanche. Je voyais que des employés en versé dans d'autres médicament qu'ils donnaient de suite aux étudiants. Ils étaient fou.

—Qu'est-ce vous avez fait après ça ? Demande Juvia.

—Je suis allé récupérer Hiro avant que l'homme qui ne s'occupe de lui ne lui fournis quoi que ce soit.

—Comment vous avez fait pour vous en sortir ?

—J'ai joué une énorme comédie, avec mes cheveux en pétards et mon mascara qui coule. J'ai dit que ma mère est dans un état catastrophique, et que je le ramènerais Hiro plus tard. Répond la fille en s'appuyant contre le dossier de son sofa, un verre à la main.

—Ces types, reprend le copain, avant qu'Isabelle ne me ramène, ils m'ont fait savoir que dès qu'on rentre dans l'organisation, on n'y sort plus. Les filles fronce des sourcils et il reprend. Ils ne rigolent pas, ils sont très dangereux et il y a un signe pour les reconnaître. C'est une croix d'un cimetière, une croix comme on en n'a jamais vu. Sur cette femme, il y avait également une croix similaire à l'organisation sur sa main. On pensait que l'organisation nous faisait comprendre qu'ils s'en prendront bientôt à nous.

Les filles se regardent sérieusement en fronçant des sourcils. Juvia se retourne vers le couple et reprend.

—Pourquoi ne pas en avoir parler à la police lors de votre interrogation ?

—Parce qu'ils nous l'ont pas demandé. Reprend la fille.

—Pourquoi étiez vous dans une plage déserte à une heure pareil ?

—On voulait se retrouver seul pour.. Isabelle regarde Hiro un sourire malicieux. Faire des choses.

Ce dernier soupire gêné.

Alors que Mirajane fantasme, elle se fait prendre violemment par le dos par Juvia qui se lève suivit de Lucy.

—Bien, si vous savez autre chose faites nous en part, on vous enverra des flics veiller à ce qu'ils ne vous arrivent rien.

Le couple se sourit satisfait.

—Merci beaucoup.
—Merci beaucoup.

*

Dans la voiture, Lucy demande.

—Ce n'est pas normal, quel est le rapport avec Rachel Paper ?

—Peut-être faisait-elle partis de l'organisation. Suppose Juvia en regardant les voiture défilé à travers la vitrine.

—Ou même peut-être faisait-elle partis de l'un de ces étudiants hystérique. Ajoute Mirajane. D'où la raison qu'elle s'est fait tué.

—Non, c'est impossible. Reprend Lucy.

—C'est vrai, elle a la vingtaine et n'étudie pas aux université du Japon. Elle avait même déjà un emploi. Sourit Mirajane.

Elle se reçoit un coup sur la tête de la part de Juvia.

—Suppose pas si tu connais déjà la réponse. Elle soupire et reprend. Mais finalement mon hypothèse ne fonctionne pas non plus. Rachel était une étrangère, elle ne peux pas connaître les organisations secrète du Japon. Surtout d'une tel ampleur.

—Tu suppose mal mais ont te fait rien c'est ça ! Crie Mirajane en regardant Juvia à travers son rétroviseur.

—La ferme.

—Vue que vos hypothèse ne fonctionne pas. Lévy nous a également fait part de cette fameuse marque, elle a était faite avec une aiguille, ce n'est pas un tatouage, ça appuie donc le fait qu'elle ne fait pas partie de l'organisation. Rachel Paper, ne faisaient absolument pas partis de l'organisation. Elle n'avait même rien avoir avec cette organisation.

—Alors pourquoi une tel organisation l'aurait tué ?

—Sachant que ce genre d'organisation calcule tout. Reprend Juvia. Avant de passer à l'action, ils savent sûrement qui ils visent.

—Mais c'est une étrangère ! Répète Mirajane. Elle n'a absolument rien avoir avec le Japon. S'énerve Mirajane ne comprenant pas. À part une chose ! Elle écarquille des yeux en même temps que les filles.

—Une vengeance.

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