les rumeurs

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    La ville est beaucoup plus silencieuses que d'habitude. Les personnes se chuchotent entre eux et donne une atmosphère inquiétante. Jophrey se rappelle de la ville d'elaybourg quand il avait 11 ans tout était animé et festif.

   Le père veut offrir à boire aux enfants dans une taverne et les fait installer dans un coin où il peut les avoir à l'oeil.

Alicia : Tu ne trouve pas que c'est calme ?

Jophrey : Si, trop même surtout pour une ville de cette taille.

Personne : Il paraît qu'ils ne sont pas loin.

Personne 2: Oui j'ai entendu dire qu'on les rencontres fréquemment sur les petites routes. Mieux vaut ne pas partir loin et tard.

  Les deux enfants ont pu entendre quelques brides de leurs conversations avant que le père arrive.

   Le père pique une chaise de la table à côté, avant de s'asseoir il donne les choppes de lait aux enfants. Les enfants observent silencieusement l'homme s'installer en espérant qu'il ai entendu ce qu'ils ont dit ou qu'il possédait des informations.

   Le monsieur venait toujours dans cette taverne pour s'informer avant de se réapprovisionner étant donner qu'ils étaient asser isolé. Il ne dit rien et incite les enfants à finir leurs lait.

    Il a attendu d'être dehors pour leur expliquer que des brigands ou une organisation partent à la recherche d'un enfant et qu'ils ne l'ont pas trouvé, mais ils n'hésitent pas à détruire tout sur leurs passage. Jophrey déglutit et un silence de mort s'installe. Alicia sentit le malaise de son ami.

Alicia : Ce n'est certainement pas toi qu'ils recherchent. Ne t'inquiètes pas on est là.

    Elle sourit. Et le garçon se sent soulager.

Père : Bon ce n'est pas tout on a de la route à faire et on a pas encore acheté tout les matériaux et provisions nécessaires.

   Les deux enfants se mirent à courir pour arriver le plus vite possible en direction des étales marchandes. Ils n'avaient pas besoin de prendre beaucoup de nourriture car Alicia en cultivait certains et Jophrey chassait en échange du temps perdu que le père lui accordait. Ils prirent quelques légumes frais (carottes, pois, pommes de terre) pour ce soir et des légumes et fruits séchés pour des réserves.

    Quand au père lui est retourné à l'étalage des matériaux. Il était toujours à la même place, le même que celui d'il y a trois ans et encore le même que celui il y a dix ans.

   Le monsieur réfléchis aux matériaux qu'il aura besoin et pris tout ce dont il avait besoin plus un objet précieux.

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