Segment 4 : Une école Japonaise

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Après le repas purement délicieux, nous avions fini par nous installer au salon en continuant de discuter. Et malgré l'impression que j'avais de "tenir la chandelle", je devais avouer que la conversation était agréable.

Diana me racontait qu'elle s'était vite habituée aux coutumes Japonaises. En même temps, cela ne m'étonnait pas. Quant à son copain, Kinshige, il me donnait quelques astuces pour, je cite : "Eviter que tu sois maladroite."

Par exemple, je fus perplexe à l'entente d'une chose. Au Japon, faire "la bise" pour saluer quelqu'un est trop "intime" chez les Japonais, à moins d'être très proche de celui-ci. Donc, Kinshige me conseillait juste de saluer d'une main.

Autre chose, aussi. C'est le système d'appeler une personne par son nom de famille. D'après le copain de Diana, dans ce Pays ils sont branchés "respect". Et appeler une personne par son nom de famille est destinés aux connaissances, ou aux personnes auquel il y a aucune affinités. Même chez des camarades de classe. Je n'avais pas très bien compris la raison, mais Diana me rassura en disant qu'elle a toujours appelé les gens par leurs prénoms, comme on fait normalement.

Après quelques autres anecdotes du Japon, je finis par les laisser tranquille en leurs citant "bonne nuit", en allant dans ma nouvelle chambre. J'étais encore très fatiguée et comme je l'ai dit, je n'aime pas tenir la chandelle.

Je m'enfermais donc dans ma chambre. Je me déshabillais pour enfiler un vieux tee-shirt blanc avec un motif imprimé rouge écrit "Fraise Kiss" avec une fraise en dessous, et un pantalon de pyjama noir, avec le lacet dépassant.

Je me décoiffais, et je m'installais dans mon lit après avoir tiré les rideaux pour couper la lumière nocturne de l'extérieur, sous les couvertures avec mon téléphone portable. Je me connectais à la WIFI, afin de me connecter sur mon réseau social. J'avais un message de ma mère, qui me souhait un "bon séjour chez ta cousine".

Cela m'a fit sourire.

A la suite, je reçu un message de mon père, qui me propose de m'appeler le lendemain à une date qui nous conviendrait à tout les deux, à cause du décalage horaire.

J'acceptais par message avant de me déconnecter et de tout éteindre pour m'endormir dans ses draps qui sentaient bon...

Je n'ai fait aucune résistance au sommeil.

C'est au petit matin que je fus réveillée par l'appelle de Diana à travers ma porte.

Après avoir prit une bonne douche dans la salle de bain, que je trouve bizarre d'avoir un tabouret pour s'y asseoir, je sortis de la pièce et je descendis de l'étage, habillée des vêtements de la veille et les cheveux coiffaient de la même façon.

En entrant dans la cuisine, Diana venait de poser le petit-déjeuner sur la table.

Nous mangions donc, et nous sortions de la maison, en route vers le fameux lycée.

Sur la route, je regardais l'extérieur en essayant d'imaginer à quoi ça ressemblait un lycée Japonais. Était-ce comme dans des animés, avec des mignons uniformes et des jeunes filles toutes choupine ?Ou était-ce aussi bizarre qu'on le dit, comme les clichés de ce Pays ?

La réponse fut en suite.

Diana stoppa sa voiture sur un trottoir, à coté de mur extérieur. Je sortis de la voiture en même temps qu'elle, qui verrouilla son véhicule, avant de la suivre.

A coté, il y avait un grand portail fermé où se présentait au travers un grand bâtiment. J'en avais conclus que c'était le lycée.

Pendant que Diana s'approchait de l'interphone, je regardais ce qu'il y avait de l'autre coté. Il y avait des arbres, un jardin entretenue, mais les portes de l'école étaient fermés.

Je me tournais ensuite vers ma cousine en entendant une voix prévenir de l'interphone où elle relâchait à peine son index du bouton :

"Oui ?"

-Bonjour, fit Diana à voix haute, j'ai rendez-vous avec le directeur pour l'inscription de ma cousine.

-Ah, Masky-san. Je vous ouvre.

D'un léger bond que je fis en voyant le portail s'ouvrir automatiquement, Diana se tourna vers moi et me sourit en m'indiquant d'une voix que je devais la suivre.

Nous dépassons le portail, désormais le pied dans le terrain de l'école. Je restais à gauche de Diana, un peu stressée, en regardant autours de moi, demandant automatiquement en marchant vers les portes du bâtiment :

"Tu sais qui a répondue à l'interphone, Diana ?"

-Vue la voix, je pense que c'est la conseillère d'orientation...

Nous nous stoppons devant les portes quand l'une d'entre elle s'ouvrit de l'intérieur, ce qui me fit sursauter.

De là, je découvris une femme de grande taille aux cheveux châtains attachés en chignon, de fin yeux verts, portant une tenue de travail bleu marine avec des talons ouvrir entièrement la porte. J'eu le réflexe de me mettre derrière Diana, surprise d'un tel charisme.

"Diana Masky, dit la femme d'un ton sérieux en s'inclinant légèrement en avant, ravie de vous voir."

-De même, répondit Diana en s'inclinant, Madame Sayoko.

Après le salut, je me décalais légèrement vers ma gauche en les écoutant parler.

"Je suis venue avec ma cousine, ajouta Diana en inclinant sa main vers ma direction, Olivia Jones. Olivia, je te présente la conseillère d'orientation de l'école, Yu Sayoko."

-Enchantée, jeune fille. J'espère que vous allez vite intégrer notre école. Je vais vous conduire au bureau du directeur.

Sur ses mots, la femme s'enfonça dans l'école. Diana me lança un regard encourageant avant de la suivre, que je suivis en dernier en refermant la porte derrière moi.

Me voilà dans cette école.

J'observais les lieux, surprise de voir un lycée pour la première fois. Il y avait une odeur de neuf, et rien que le nombre de casiers à l'entrée voulait dire que cette école allait avoir beaucoup d'élèves.

C'était moderne, mais je sentais le "pinceau" Japonais, dans cette école... Je ne sais pas comment l'expliquer, mais ça ce voyait que c'était une école Japonaise. En examinant mon nouveau lycée, je suivis la conseillère d'orientation avec Diana, qui grimpait dans des escaliers en face de l'entrée.

Nous montions, jusqu'au 3ème étage. Pendant la marche, j'eu le temps d'apercevoir les couloirs du premier et du second étage.

La femme s'arrêta devant des portes, en pleins milieu du couloir, et se tourna vers nous. Je levais la tête en voyant une sorte de pancarte avec écrit "Bureau du principal".

"Je vous laisse y aller, je l'ai prévenue de votre présence." prononça la conseillère avant de s'incliner de nouveau, et quittant les lieux en marchant vers les escaliers.

Je la vis disparaître quand elle descendait, alors que j'entendis Diana frapper à la porte trois fois poliment.

Je me retournais, la voyant ouvrir doucement la porte.

Et nous entrons.

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