✖ Chapitre 3 ✖ 187

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Comment décrire l'atmosphère qui planait à cet instant sur le 1st Precinct ? La lourdeur des nuages les jours d'orage était trop clémente pour illustrer le moral des officiers. L'aigre saveur de la poussière des déserts de sable paraissait trop douce à côté de l'amertume qui ravageait leurs palais. Un sentiment de désolation s'était emparé des esprits des policiers lorsque la nouvelle était tombée, fatale, au lendemain des séries de tests passées sur Ashley Brown.

187. C'était le nombre terrible, la malédiction nouvelle qu'on avait abattue sur les têtes des deux directeurs, contraints, une fois de plus, à la concertation. C'était le nouveau fléau qui venait aggraver la situation déjà tendue du petit commissariat. C'était la nouvelle angoisse qui agitait les esprits encore naïfs des recrues les plus jeunes. Et plus que tout, c'était la raison de la venue tant attendue de Clive Moore à Manhattan.

Le jeune prodige du FBI, tout droit débarqué de Washington, avait pris le premier avion pour New York lorsqu'il avait appris la nouvelle. Non sans avoir lâché, au préalable, une salve de jurons sur l'incapacité de la police sur place. Au moins, lui et la détenue s'accordaient sur ce point.

À partir de ce moment, il est naturel que le lectorat désire qu'on éclaire sa lanterne. Voici donc l'affaire. L'agent Moore était un jeune arriviste lors de son entrée au FBI, à l'âge scandaleux de 21 ans. Vous souvenez-vous des trois types de personnes vivant sur Terre, que nous évoquions plus tôt ? Eh bien, cet homme-là était de la première sorte. Sorti d'Harvard l'année précédente, on le surnommait déjà « le petit génie » et sa réputation dans le monde des intellectuels n'était plus à faire. Quelle n'avait cependant pas été la surprise de Hunter, lorsque le jeunot avait demandé à intégrer la section de recherche concentrée sur Radiance ! Certes, le problème était épineux donc d'un intérêt certain, mais bien d'autres équipes proposaient des enquêtes au moins également palpitantes. Toutes les portes lui étaient ouvertes. Pourquoi emprunter celle-ci ? Cependant, et ce malgré les nombreuses propositions du directeur, Moore n'en avait pas démordu, et avait tout de même fini par obtenir gain de cause. Médusé, Hunter avait simplement laissé tomber. Après tout, le rouquin faisait réellement de l'excellent travail, et il était libre de le mettre à profit de ce qu'il voulait.

Il ne le regretta pas.

En six mois, l'enquête progressa plus qu'elle ne l'avait fait en l'espace de cinq ans. Clive avait été rapidement informé de l'avancée des travaux, et très vite, avait balayé ces informations sans leur accorder la moindre attention. Il ne s'était concentré que sur deux éléments : les différentes effractions répertoriées attribuées au groupuscule commises par piratage informatique, et les serveurs touchés.

Là où toute la cellule d'enquête avait choisi d'étudier les interventions physiques et les preuves matérielles, Moore avait, lui, opté pour une approche technologique. Et l'avenir lui donna raison ; les traces ADN et chimiques étaient toujours trop pauvres sur les scènes de crimes pour que les scientifiques en tirent quoi que ce soit d'utile. Mais les disques durs contaminés, eux, restaient indemnes après le passage des cambrioleurs : un examen poussé dont le jeune homme avait le secret révéla des codes, toujours les mêmes, enfouis bien profondément dans la mémoire dormante des appareils. De ces lignes, il tira un profil ; enfin, la section avait une piste solide ! Le filon fut exploité autant que faire se put.

Au bout d'un an de ces recherches nouvellement fructueuses, cependant, le flot se tarit. On manquait à nouveau d'éléments concrets, et le moral retombait doucement sur la petite troupe ; ils avaient creusé, certes, mais commençaient à comprendre que le mur était bien trop épais pour leurs petites pelles. C'est alors qu'un nouvel événement avait secoué les agents : l'affaire de l'Empire State Building.

C'était le casse du siècle. Du jamais vu au niveau national. Personne n'avait su, à ce jour, passer outre les cyber-défenses du building, et encore moins en percer les données à une telle profondeur. Les experts avaient été formels ; avec leur programme, le gang avait eu accès à l'ensemble de la mémoire interne du bâtiment. Et pourtant, quand les informations les plus confidentielles abritées par les serveurs de l'un des lieux les plus touristiques des États-Unis, les comptes bancaires et les identités des millions de visiteurs étaient désormais à découvert, Radiance avait eu une réaction des plus... intrigantes.

Ils n'avaient forcé qu'un seul point de contrôle : celui des néons lumineux responsables de la couleur changeante de la tour. Avec lesquelles ils avaient, dans la plus pure des insolences, affiché le majeur pixelisé d'une main multicolore. Hunter n'en était pas revenu.

Derrière ce geste à la maturité relative se cachait en réalité une menace flagrante. Le message était clair : « nous avons tous les droits ». Sauf que ce n'était pas le cas, et que cette intervention hautement humiliante pour le FBI avait donné à Moore le coup de fouet nécessaire pour plancher à nouveau sérieusement sur l'enquête. Et c'est ainsi qu'en épluchant les programmes virus envoyés par les hackeurs, il avait trouvé la faille.

Au début, il n'y avait pas vraiment cru. Comment ? Après douze mois des recherches les plus poussées que pouvait fournir la police américaine, des analyses les plus détaillées qu'offrait la technologie de pointe de leurs laboratoires, et la conclusion certaine que percer ces défences serait impossible, la solution leur était offerte par l'arrogante gaminerie d'un geste presque innocent ? L'esprit supérieur qui agissait dans l'ombre aurait, pour son tour futile, baissé un instant sa garde ? C'était trop beau. Mais, comme ses travaux suivants le lui confirmèrent, vrai.

Le jeune homme avait suivi la piste numérique, et en avait dégagé une géolocalisation. Il avait fourni les coordonnées à ses supérieurs, qui avaient relayé l'arrestation au commissariat le plus proche. Et quelques heures plus tard, le FBI apprenait avec soulagement qu'une femme avait été arrêtée sur les lieux et était déjà interrogée par la police locale.

L'agent Moore restait néanmoins suspicieux. Les déclarations du 1st Precinct n'avaient pas eu raison de ses derniers doutes, et bien qu'il ait fini par accepter la dissolution de la section de recherches, son assimilation à une nouvelle cellule d'enquête n'avait su le détourner de ses interrogations quant à l'apparente nouvelle facilité du dossier.

Aussi n'avait-il pas été spécialement surpris quand, au lendemain même de la capture d'Ashley, Hunter l'avait contacté pour "une urgence de premier ordre". Les instructions avaient été précises ; rappliquer à New York dans les plus brefs délais, il saurait tout une fois sur place. Soit. À neuf heures trente pétantes, le rouquin débarquait à LaGuardia où il sauta dans un taxi, direction le 16, Ericsson Place.

Dans le petit commissariat, c'était l'effervescence. Si Clive s'était attendu au commité d'accueil habituel des déplacements professionnels, déjà fournit en ce qui le concernait en temps normal, il ne pensait pas avoir affaire au maestrom innomable dans lequel on le reçu pourtant.

Des agents couraient en tous sens, transportant documents et notes d'un bout à l'autre du hall. Les feuilles volaient, emportées par l'empressement de leurs messagers, mais personne ne semblait s'en soucier. Une panique invraisemblable, pure de folie, muait chaque déplacement que l'inspecteur voyait s'effectuer devant lui en une tornade menaçante. C'était un véritable balai de maladresse, comme donné sur une symphonie dissonnante, qui se jouait derrière les portes vitrées offertes pour tout cache-misère aux passants qui s'aviseraient de traverser la rue d'en face. Qu'avait-il bien pu arriver au si stoïque cercle de la Défense Nationale pour l'ébranler à ce point ? L'enquête précédente avait eu tôt fait d'en agiter le corps, mais jamais son cœur n'avait semblé si tourmenté.

- Ah, Moore, vous voilà !

Fendant les rangs malmenés, Hunter s'avança vers le jeune, un soulagement immense relâchant ses traits que le jeune devinait précédemment crispés à leurs rides encore apparentes.

Clive n'eut nul besoin des études de psychologies qu'il avait, entre autres expérimentations, effectuées, pour percevoir le trouble qui embrumait le regard de son supérieur. Son corps était raide, tendu comme celui d'un militaire en temps de guerre ; et la guerre n'avait jamais parue si bonne comparaison pour définir les temps qui semblaient courir dans les locaux. On aura presque pu distinguer les uniformes qui miroitaient dans les esprits chamboulés, tenues appropriées au champ de bataille spirituel et matériel qui baignait les lieux.

- Bonjour, monsieur le Directeur. Pourriez-vous m'expliquer ce qui se passe ici ? Salua poliment le nouveau venu.

- Eh bien, la situation actuelle est liée aux raisons qui m'ont poussées à vous déranger, cru bon d'exposer Hunter au cas où son enquêteur n'aurait pas saisit.

En l'occurence, il avait déjà compris cela tout seul, et ces bribes de blablas inutiles ne firent qu'agacer d'avantage le rouquin, qui n'en fut que plus inspiré pour égayer encore son ode à la police chargée du dossier.

- Je m'en doute, monsieur. Pourriez-vous développer ... ? Précisa-t-il donc avec quelque irritation.

- Certainement, acquiesça l'homme. Si vous voulez bien me suivre...

Non sans difficulté, ils traversèrent la marée humaine pour gagner le deuxième étage, où le directeur convia son agent à passer la porte de la salle de réunion. Là, Harris, Cain, ainsi qu'une dizaine de représentants du 1st Precinct et du FBI attendaient avec anxiété l'arrivée du jeune prodige, dont l'apparition souleva un soupir général.

- Enfin ! S'exclama Harris. Nous allons pouvoir avancer.

Sur les indications de ses supérieurs, Clive prit place à table, entre deux officiers qu'il ne connaissait que de vue et dont il aurait été bien incapable de donner le nom ou la fonction.

- Pourrais-je à présent être mis au courant ? Demanda encore le rouquin.

Sa patience commençait à être mise à rude épreuve. Il avait suivit les instructions de Hunter, avait poliment réclamé ce qui lui semblait être dû depuis son implication dans l'affaire, et pourtant il lui semblait que son ignorance importait peu à ses supérieurs.

- Quoi, vous ne lui avez pas expliqué ? S'étonna Harris auprès de son collègue.

- J'ai pensé qu'il serait plus productif de lui exposer la situation directement lors de cette réunion, expliqua Hunter.

Ben voyons. Clive connaissait bien son patron. Il voulait juste pouvoir en faire des caisses en racontant encore une fois comment le FBI avait résolut l'enquête, étaler son efficacité sous les regards admiratifs des officiers et jouer la fausse modestie pendant les éloges qui ne manqueraient pas.

- Eh bien, expliquez donc, fit Moore, à présent passablement énervé.

- Certes. Vous n'êtes pas sans savoir, commença le directeur, que la descente de police au QG de Radiance a permis l'arrestation d'un suspect.

- En effet, acquiesça le rouquin.

- L'interrogatoire a révélé que l'individu présentait des signes de capacités mentales qui nous dépassent, continua son interlocuteur. Le FBI et le 1st Precinct ont donc décidé de... collaborer, afin de maîtriser le suspect le temps de lui faire passer les tests de rigueur.

Au ton employé par son supérieur et au vu du passé commun des deux unités, Moore devina que la fameuse « collaboration » avait dû se faire sous tension. Néanmoins il ne releva pas le ton crispé de Hunter, et se contenta de lui faire signe de poursuivre.

- Grâce aux techniques de pointes mises en place par notre service - voilà donc le passage modestie, pensa Clive -, nous avons pu dresser le profil de la détenue.

Harris prit le relais, au grand soulagement du jeune homme.

- Ce n'est pas bon. Pas bon du tout. Les tests physiques ont démontré une activité sportive régulière chez le suspect, rien de réellement alarmant. Mais les tests psychotechniques...

- Notre détenue possède un QI de 187, lâcha une vieille dame à la peau frippée, le nez plongé dans un dossier épais.

La déclaration fut un choc. Moore s'était préparé, bien sûr, à presque toutes les éventualités - allant même jusqu'à prévoir une guerre mondiale -, mais jamais il n'avait eu précédemment fait d'un détenu aussi dangereux. Que les choses soient claires ; le FBI avait paré des attaques violentes, des criminels armés jusqu'aux dents, des terroristes kamikazes et encore tout un monde d'atrocité qui aurait fait palir le plus frappant des films d'horreur. Mais jamais, ô grand jamais, ils n'avaient eu à affronter la seule chose qu'ils ne pouvaient pas confisquer à leur ennemis : l'esprit.

Un grand esprit signifiait un grand stratège. Signifiait des besoins en armement quasi-nuls, tant qu'il y avait de quoi bricoler un peu. Signifiait que même enfermée dans une salle presque vide, seule et sans aucun moyen de communication avec l'extérieur, la hackeuse gardait son plus grand atout à disposition.

L'intelligence était la plus puissante des armes, et la seule qui suivrait son propriétaire jusque dans la tombe. C'est pourquoi les résultats des tests qu'avaient passé Ashley Brown effrayaient tant la police : contre cette aptitude, ils ne pouvaient rien. Et seul un esprit égal pouvait changer la donne...

- Une intelligence hors-normes, récita comme automatiquement la femme, véritable bombe à retardement. Personne n'égale ce chiffre ici ; nous ne sommes pas en position de force. Tout le dispositif d'une prison n'aurait pas raison d'une jeune personne à l'esprit aussi vif, avec cinq ans bonus d'une vie de délits dans la rue. Elle est autonome et pourrais quitter le poste dès l'instant ou elle le souhaiterais.

Alors pourquoi ne s'enfuit-elle pas ... ?

La question restait en suspend, comme autant de doutes qui planaient toujours au-dessus de leurs têtes. Un orage se préparait, c'était certain ; mais ils ne savaient pas où ni quand. Pour l'heure il se contentait de gronder de temps à autres, profondément, comme un avertissement, ou la promesse du désastre à venir.

- Nous ignorons sur quel front nous jouons, résuma Clive, les sourcils froncés. Nous voilà dans l'impasse.

- Et c'est là, Moore, que vous intervenez.

L'inspecteur pivota au son de la voix de son supérieur. L'agaçant sourire satisfait si propre à Hunter sétirait sur ses lèvres, n'augurant rien de bon pour le jeune homme. Il n'y avait que deux causes possibles à la floraison d'une telle expression chez le directeur du FBI ; soit le coupable avait été arrêté, soit...

- Puisque c'est vous qui avez su percer les méthodes de Radiance, nous avons tous ici estimé que vous étiez le mieux placé pour parler à la détenue, fit tranquillement Hunter sans se départir de son expression de confiance absolue.

... soit il s'apprête à refiler le boulot à quelqu'un d'autre.

Clive s'en serait frappé la tête contre un mur. Mais quel idiot ! Comment n'avait-il put le deviner plus tôt ? Comment avait-il pu ignorer l'évidence, dans son insouciance toute propre de la fierté dont l'avait empli son récent succès ? Trop heureux de sa première réussite, il avait été un temps aveugle aux tâches qui salissaient malgré tout encore son cadre professionnel, avait ignoré les sournoises manigances de Hunter et s'était de lui-même rendu sourd à ses complots de bas étage.

Le directeur du FBI savait exploiter ces instants d'inattention, capter la dévotion de ses hommes pour la retourner contre eux lorsqu'ils s'y attendaient le moins. Il était passé maître dans l'art de la manipulation, usant des talents des autres pour orner son propre pedigree.

Et c'était indéniablement l'un de ces tours qu'il jouait actuellement devant une assemblée qui avait de surcroît la stupidité ou le culot d'être consentante. Oh oui, les autres représentants étaient de l'avis de Hunter ; mais c'était bien dû au fait que l'escroc avait pressentit le néant dans lequel ils nageaient tous et en avait profité pour subtiliser le poste de tête pensante, et non parce que l'idée était bonne.

De fait, elle ne l'était clairement pas. Mais de cette façon, si l'entretient échouait, Clive serait le seul blâmé ; et si jamais l'issue était tout de même favorable, on vanterait les mérites de Hunter et non ceux de son inspecteur.

L'homme fonctionnait ainsi depuis son arrivée dans la police - peut-être même agissait-il déjà comme tel avant, mais le domaine privé de son supérieur n'intéressait que moyennement l'agent Moore. Dès sa nomination au poste d'inspecteur, il avait su exploiter les points forts de son équipe et ses beaux discours pour obtenir des résultats qu'il s'appropriait aussitôt. Pas besoin de talent quand on avait du charisme, semblait-il ; au mépris des efforts et recherches de ses collègues, il avait gagné en reconnaissance auprès des bien placés qui lui avaient facilité une ascension illégitime.

Et le plus terrible était qu'aujourd'hui encore, ses anciens collaborateurs s'extasiaient devant le récit de ses "exploits" : "Tout de même, quel homme !". Seul Clive semblait se rendre compte que les compétences de Hunter s'arrêtaient à donner des ordres et conter les aventures des autres. Remarque, peut-être était-ce bien là tout ce qu'on attendait de la part du directeur du FBI.

- Excusez-moi, monsieur, fit donc Moore en ravalant la bile acide qui lui brûlait la gorge. Mais je pensais en avoir fini avec cette enquête, puisque la suite revient logiquement à la charge du 1st Precinct.

Le rouquin fut ravi de constater que son supérieur semblait embarrassé. Trop habitué à la confiance et l'obéissance aveugle que lui allouaient ses hommes, le directeur n'avait pas prévu de riposte, et se trouvait donc à court d'arguments.

Néanmoins, on ne pouvait malheureusement pas en dire autant de Harris, homme d'esprit et qui pourtant semblait réellement approuver la suggestion de Hunter.

- C'était le cas, avança le directeur du 1st Precinct, jusqu'à ce que mon unité et le FBI formulent le voeu de collaborer pour faciliter l'appréhension du dossier. A présent, nous nous relayons selon nos capacités. Et cette part du problème nécessite clairement les vôtres.

Clive n'en revint pas. Comment ? L'implacable seigneur des enquêteurs, l'intransigeant maître des polices, le si orgueilleux FBI s'était incliné devant l'une de ses enquêtes ? Au point d'accepter l'aide de son éternel rival et de partager les honneurs ..?

Devant pareille situation, le jeune homme dut reconnaître que son appel était certainement justifié. S'ils étaient tombés si bas, c'était bien qu'un regard neuf et des nouveaux talents ne feraient qu'apporter à l'ensemble.

Vaincu, il accepta la mission sans remords. Un entretiens très intéressant l'attendait.

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Yo, c'est l'auteur !

Désolée pour le temps énoooooorme qu'a pris ce chapitre à sortir (au moins deux mois, non ?). C'est comme ça pour chaque chapitre, j'en suis profondément attristée. A ce rythme, j'aurais fini dans trois ans...
Plus sérieusement, quelques nouveautés : j'ai changé de pseudo, de photo de profil et de header, j'ai ouvert un Rant Book (dans lequel j'explique d'ailleurs ces changements), j'ai crée un Cover Book pour New Fairies et j'ai commencé le projet "Alice VS Joker" (j'en suis au chapitre 6, parce qu'ils sont très courts et peu travaillés).
Ah... et j'ai passé la barre des 100 abonnés ! ALORS MERCI !
A cette occasion, j'ai lancé une "opération défis" dans mon Rant Book, où je vous invite à me soumettre des défis - plus de détails dans mon Rant Book.
Merci d'avoir lu ce chapitre, qui est d'ailleurs pour l'instant le plus long que j'ai jamais écrit : presque 3000 mots (sans NDA) ! Un jour je passerai la barre des 3000 !
J'espère que l'histoire vous plaît toujours, même si elle n'a toujours pas commencé... Ici vous apprenez surtout l'enquête du point de vue de Clive, ainsi que le caractère de Hunter. Dans le prochain chapitre, vous verrez le premier contact entre Clive et Ashley ! Et il lancera également l'histoire à proprement parler !
D'ici là, à bient... heu... un jour !

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