Prologue

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         C'était ses pieds sur l'herbe verdoyante encore illuminée par la rosée du matin et les reflets du soleil s'y plongeant dedans qui affirmait au plus vieux des deux qu'il était arrivé , et seuls les bruits de ses chaussures sur la terre arriveraient à ses oreilles, il était seul. Autrefois il aurait été dans des états pas possible rien qu'au fait de savoir qu'il serait là, près de lui, pour lui, il aurait eut ces fameux papillons si douceureux dans son bas ventre, ce sourire incontrôlable sur la commissure de sa lèvre, ce petit rire impatient de plonger son regard dans ses pupilles qui, malgré la couleur, reflétait celui qu'il aimait plus que tout, de le voir, ce visage détendu et assez innocent pour faire fondre son cœur comme dans une fontaine à chocolat, il aurait pu lui demander ce qu'il voulait qu'il aurait dit "Amen" sans la moindre hésitation. Il n'avait pas douté de lui avant, jamais, même quand il l'eut blessé, il n'avait jamais douté de ses sentiments envers cet être pour qui, encore maintenant, il donnerait sa vie. Mais cela avait changé, il ne se rappelait même pas quand il avait commencé à hésiter dans ce complet dévouement, il n'avait juste jamais vraiment réussi à éteindre cette peur au fond de lui, celle qui lui disait constamment de se méfier, d'être sur ses gardes. Il ne voulait pas être se fatigué d'un tel chose, pas pour lui, il aurait sûrement préféré qu'on le torture à la place, mais cela avait changé, évidemment, sinon ils n'en seraient pas là.
      Il fixait cet horizon interminable si blanc que ses yeux avaient même du mal à faire encore la différence entre le ciel et ce qui ne l'était pas, percevant tout de même les limites de ce qui ressemblait à du coton. On pouvait même y apercevoir deux trois animaux par-ci par-là qui volait plus ou moins bas, voltigeant parfois, il aimait regarder ce qui se présentait à lui maintenant, il pourrait y passer des heures à juste contempler le vue, ça l'appairât chaque fois.

"- C'est beau, n'est-ce pas ?, dit-il d'un voix digne d'un film romantique, sentant que sa moitié s'était arrêté à ses côtés, regardant dans la même direction, je n'ai jamais vu de vue aussi belle.

- Vraiment ?, s'interloqu'a-t-il, jamais ?"

       Mais il ne répondit rien, ne cilla pas non plus, il n'avait guère besoin d'oraliser des mots car il savait qu'il connaissions déjà ma réponse à cette question, il la savait depuis longtemps maintenant, il ne jugea donc pas important d'une énième fois le dire. Bien sûr que si, il avait déjà vu plus beau, plus impressionnant, et ça n'aurait pas pu être autre chose que lui, que ce soit avant, maintenant ou après, il était ce qu'il avait de plus beau pour lui ici ou en contre-bas, et cela avait toujours été.

"- Il te ment, tu sais ?, après un long moment de silence, tu n'es pas si unique pour lui, il ne pourra jamais t'aimer comme tu le penses.

- Qu'en sais-tu ? Tu n'as jamais aimé quelqu'un d'autre toi."

      Cette pique brisa de plein fouet le cœur déjà en compote de l'ange qui lui lançait un regard lourd de sens, il savait parfaitement le pourquoi du comment, et il n'en serait jamais autrement. Son palpitant se décima un peu plus quand ses prunelles rencontrèrent ses jumelles qui semblaient si sûr. C'était douloureux.

"- C'est un dryade, il n'aime personne qu'eux-mêmes, essayait-il de lui rappeler.

- Arrête avec tes idées arrêtés, tu ne le connais pas, il est... différent, s'entétait-il.

- Et moi ? Je suis différent ?, tonna un peu plus fort la voix du plus vieux alors que son corps se tournait vers sa moitié dont la matière physique était proche mais dont l'esprit lui semblait bien trop loin pour être atteint.

- Tu sais bien que oui.

- Alors pourquoi m'abandonnes-tu ?

- Parce que tu refuses de m'aider, de... me comprendre..., après un soupire il tenta de s'avancer mais, comme un aimant, autrui s'écarta.

- Ne m'approche pas, déviant le regard vers ce sol verdoyant qui lui semblait mourir à petit feu, ton hypocrisie me tue assez comme ça.

- Mais..

- Jisung !, entendirent une voix criée les deux jeunes hommes qui tournèrent la tête au même moment en direction de la forêt proche d'eux. Ils savaient qui s'était. Jisung ! "

      L'ange secoua la tête en regardant sa moitié qui, le regard pleurnichant, se détourna de lui pour courir vers l'amas d'arbres cachant bien trop rapidement son corps. C'était lui qui aurait dû pleurer, parce qu'il n'entendera pas son nom être crié d'une telle sorte à l'avenir, plus comme avant.

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