ᴄᴏᴍᴍᴀɴᴅÉ ᴘᴀʀ MegumiChawn
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Tu étais plutôt du genre à aimer le Soleil et la chaleur de l'été, mais aujourd'hui, il faisait froid. En extérieur principalement, et heureusement. Tu n'aimais vraiment pas le froid. Mais peut importe, un bon manteau et tout était oublié.

Aujourd'hui, tu te sentais nostalgique, repensant au passé.

Tu rencontras Doflamingo peu après la mort du Roi des Pirates, par pur hasard, lors d'une canicule. Cette rencontre qui était pour toi comme mes autres, mais pour Doflamingo, c'était une autre histoire.

Il se trouva très intéressé par ta personne, à tel point qu'il t'invita même à rejoindre son équipage. Au début assez réticente, tu finis par accepter son offre après plusieurs demande de sa part.

Après quelques années dans son équipage, tu finis par t'y sentir presque comme si tu appartenais réellement à cette famille. Doflamingo était la plupart du temps attentionné, à sa propre façon, mais aussi il lui arrivait de perdre patiente quand tu ne répondais pas à ses avances. Lors de ses moments là, tu préférais t'occuper des enfants. Eux au moins ne te glaçait pas le sang, pour le moment.

Tout changea cependant, lorsque tu fis la rencontre de son frère, Rosinante. Ou Corazon, comme les autres l'appelait. Votre relation fut d'abord assez compliqué, dû à son abjection pour les enfants, mais le temps fit son œuvre, et vous vous rapprochèrent peu à peu l'un de l'autre.

Doflamingo ne t'avais jamais fait te sentir en été, mais Corazon lui oui. Et ça le frère ainé l'avait remarqué. Une rage insupportable l'envahissait à chaque fois qu'il te voyait regarder son frère cadet. Si dans un premier il avait décidé d'ignorer cette sensation, il céda très rapidement à ses pulsions. Il t'interdisait de t'approcher de lui, t'empêchant parfois même de quitter sa chambre sans son autorisation, faisant surveiller le moindre de tes faits et gestes par les autres membres de l'équipage.

Tu avais toujours pensé que Doflamingo te portais une sorte d'affection maladroite, maintenant tu savais qu'il t'aimais seulement lorsque tu lui obéissais bien sagement, comme une poupée.

Tu n'aimais pas ce que tu ressentais dans ta poitrine, il faisait si froid. Et aucun manteau n'aurait pu changer ça.