Coming B(l)ack (part 3)

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2k enfiiin !

Merci beaucoup, je n'en reviens toujours pas de cette progression énorme, c'en est trop pour mon petit cœur !!

Donc voici la suite <3



Depuis ces deux dernières semaines, Lily multiplia les rendez-vous en ville et semblait faire venir l'agitation de Londres droit dans le petit village. Les femmes se faisaient plus coquettes et indépendante, voulant leur propre cheval pour se déplacer au lieu de rester dans leur foyer, et voulait d'autres matériaux que ces pauvres tissus unicolore. Avec son argent d'héritage, Lily organisait de nombreuses portes-ouvertes dans le manoir des Potter, avec l'aide de leur fils unique, pour vendre des tissus à prix bas, ou en promotion pour un certain nombre achetés.

Au début, beaucoup de femme était consternées par ce nouveau mode de vie. Qu'était-elle ? Elle portait des robes, se tenait droite et agissait comme une lady, mais elle travaillait ! Elle n'avait pas de chaperon pour son jeune âge et côtoyait un homme tout les jours à ses côtés ! Mais finalement, la plupart se rendirent conte que leur jalousie et leur ragots venaient de leur envie de faire pareille. Alors en même pas deux semaines, le village se transforma d'une façon de vivre assez conservatrices, en le village le plus avancée de la société anglaise. Le petit marché aménagé passa même dans le journal londonien !  Entre Lily et James s'installait une douce routine et entente. Leur petit commerce se développait et les personne venaient lui témoigner leur condoléance au lieu de parler dans son dos. Et en plus, les deux jeunes adultes travaillaient de plus en plus proche chaque jour.

Quand à Remus, sa réputation de dessinateur commença à surpasser celle de sa sois-disons activité nocturne les soirs de pleine lune. Des parents venaient pour faire dresser un portrait leur enfants pour quelque pièces, d'autres venait en famille pour se faire photographier. Nous étions en 1830, et c'était sans doute la plus grande révolution de ce village, les gens changeaient enfin, et volontairement. C'était incroyable qu'un seul petit brin de civilité puisse changer tout : tout le monde était trop occupé à suivre l'actualité de la mode et à adopté des différents modes de vie que les rumeurs qui précédaient Sirius et Remus s'évanouirent comme une fleur en manque d'eau.

Mais cela ne voulait pas dire que c'était finit entre Mr. Black et Mr. Lupin, loin de là.

Aucun des deux ne s'était parlé depuis. Remus passait ses journée dans son atelier, et avait à peine le temps de vivre tellement que sa routine était écrasante. Les gens voulaient tout en plus et plus vite. Il n'avait pas le temps de soupirer que la journée était finie et qu'il fallait recommencer. Son cerveau n'avait pas le temps de réfléchir à d'autres choses que ses besoins primaires. Quand à Sirius, il tentait d'ignorer leur stagnation. Ce serait mentir que de nier que sa seule raison d'avoir accepter d'aider Lily et James, c'était pour avoir la chance d'apercevoir Remus fumer pendant sa pause, et de s'assurer qu'il avait l'air aussi misérable que lui. En le voyant, il se sentait moins seul, même si c'était à travers une distance cosmique, de savoir qu'ils étaient deux avec le même "problème" le soulageait. De plus, il s'inquiétait. Pour lui, et pour sa personne. Son charme ne manquait pas, et les femmes se précipitaient le plus souvent à son stand pour l'entendre parler, mais c'était comme si ce n'était que la moitié de lui-même qui répondait. Son autre moitié, sa pensée et son cœur étant restées dans sa chambre, deux semaines auparavant. Ce n'était pas comme lui d'être aussi mélancolique après une personne, normalement il changeait assez facilement, mais là, ses sentiments persistait, et il ne savait pas comment y répondre sans passer par la haine ou la colère.


Le temps continuait hélas de trotter, et mi-juin approchait à grand pas, ce qui signifiait, l'anniversaire de Lily.

Une grande fête, censée être surprise, devait être organisée par James, invitant tout le monde dans leur jardin. Dîner, boisson et gâteau devait être impérativement présent. Il y aurait aussi un orchestre de musique de chambre qui devrait être présent. Ce serait, en effet une fête magique. Tout le monde y mettrait du sien. Et James sortirait le grand jeu. Pour cela, il devait d'abord passer par une bijouterie...

En parlant d'anniversaire, cela revenait à offrir un cadeau. Et Remus se vit navré de fermé son cabinet d'art pour une journée. Quoi que respirer pendant 24 heures ne l'aiderait pas moins à décompresser. Mais c'était l'idée de devoir parler à Mr. Black qui l'inquiétait le plus. Il n'arrivait tout simplement pas à être énerver contre lui, mais pourtant, il ne le portait toujours pas dans son cœur. C'était un mélange de sensation très frustrant.

Mr. Lupin flâna donc entre les stand de tissus et de fleurs, aménager dans le rez-de-chaussé de Potter, à la recherche d'un cadeau qui pourrait satisfaire sa jeune cousine. Inévitablement, le jeune homme ne pouvait pas passer par le stand de Potter et Evans, et du se soumettre à aller vers celui de Black. En arrivant, ils ne se souhaitèrent pas le bonjour, et doucement d'une main il parcouru les tissus.

- Vous êtes venu me voir  Mr. Lupin. Vous ne me résistez plus à ce que je vois. commença Mr. Black en haussa un sourcil, censé être taquin.

Arrogant. pensa l'autre.

- Ha. Ha. Vous l'auriez souhaité. Je viens juste chercher du tissu pour ma chère cousine, qui hélas, elle ne semble pas vous abhorrer autant que moi.

Son adversaire esquissa un sourire frustré et crispé et partit répondre aux attentes des autres clients.  En attendant son retour, Remus se préparait à d'autres arguments et continua son inspection. Finalement, il se décida pour un tissu blanc avec des petites fleurs bleu jaune et violette en petit bouquet. L'homme en déduisit qu'il était temps de sortir son argent, mais avec panique, il se rendit compte qu'il n'avait pas prit d'argent de chez lui. Avec un reste d'espoir, le jeune homme tata chacune de ses poches, les vidant tour après tour, sous le regard amusé et vénéneux du vendeur.

- Mr lupin ! commença Mr. Blakc avec un ton faussement surpris. ce dernier sursauta à son nom. Mais voyons, ce n'est pas en vous touchant que vous allez percer mister, enfin, si vous voulez je peux vous payer, mais j'en attendais mieux de vous jeune homme. continua le vendeur avec de plus en plus de mal à se contenir. Furieux et honteux, l'artiste reprit ses affaires dans ses poches et partit à grand pas, sans saluer le dernier.

- Attendez ! Mr Lupin, wait !!

Une poigne l'attrapa et le retourna contre son grès.

- C'est...hum..la maison qui vous l'offre. dit le vendeur, en regardant ses pieds et en recoiffant une mèche de cheveux naturellement bouclé derrière son oreille.

Leur yeux se rencontrèrent, chacun troublé par une lueur étrange. Puis Remus partit sans un dernier regard, laissant le pauvre homme avec un rouleau fleurit dans les mains. Il avait décidément besoin d'un verre.




Comme prévu la fête était grandiose.

C'était un jour idéale, le soleil et les oiseaux étaient au rendez-vous, sans aucun nuage. Une légère brise venaient rafraîchir le public, et les rafraichissement était disposés sous des ombrelles. Les enfants couraient dans les jardins, à la poursuite d'un cerceau ou d'un écureuil, et les adultes s'échangeaient des compliments sur leur nouveau habits ou sur la progression de leurs entreprises, l'économie montant à grand pic ces derniers temps. Remus se servait à boire quand trois jeunes femmes vinrent le voir, des admiratrices de son art apparemment.

- Vous dessinez si bien. commença la première.

- Pensez-vous que vous pourriez me faire un portrait hahaha. demanda l'autre en empiétant sur la phrase de son amie.

- Et vous êtes célibataire, quelle gâchis !

Les trois jeunes femmes rirent de bon cœur leur poitrine bien trop exposé et leur fausses bouclettes s'agitant selon l'ampleur de leur rire.

- Vous parlez j'espère Mr.

- Et combien cela rapporte ?

Les questions s'enchainaient, avec de moins en moins de sens au oreilles du pauvre artistes qui cherchaient des yeux une issus. Et finalement, l'horreur arriva. Remus perdit sa patience et son verre tomba, tâchant la fabuleuse robe de l'une des trois.

- Ex-excusez-moi. commença l'homme, et attrapant un mouchoir en tissu et commençant à éponger le liquide alors que la femme poussait toujours des exclamations indignées.

- Non mais ça ne va pas de me toucher comme cela ?

Et les trois partirent aussi rapidement qu'elles étaient venues, laissant juste un Remus exténué.



Alors que l'homme balayait le jardin du regard, il pensa au labyrinthe et s'éclipsa  de toute l'agitation, du moins avant que les rumeurs qu'il ai fait des attouchements à la jeune dame ne le gagne. Il avait toujours eu, depuis sa naissance, ce besoin irréprochable de nature. C'était une des raisons qu'il n'avait pas suivit sa cousine à Londres. Enfant, il avait toujours eu une santé fragile, et on lui avait toujours recommander l'air frais et pure de la campagne. Ce n'était pas à contre cœur que Mr.Lupin suivait ce conseil. Son œil d'artiste avait trouver beaucoup de distraction dans cette nature, chaque fleur, chaque courant d'air sur l'herbe était sa poésie. Le murmure des insectes était son chant grégorien et les saisons étaient ses humeurs. Il vivait en accord avec la nature, avec elle, il ne se sentait jamais aussi seul et différent que parmi les humains. Même sa cousine n'avait pas su éradiquer cette horrible sensation.

On disait que l'homme était fait pour vivre en société et pas pour être seul. Après tout, il pouvait être l'exception qui confirmait la règle ?

Le soleil se couchait doucement et de derrière les haies, on pouvait entendre les murmures des conversations. La fontaine coulait doucement en ce carrefour et Remus se permis, dans sa solitude, d'ouvrir le bouton de son col. Avec précaution, il s'assit sur le banc en pierre et commença à fumer.

- Mr. Lupin, vous n'êtes point discret. Nous voyons votre fumer au delà de la végétation bon sang.

L'homme soupira. Il ne serait donc jamais tranquille ? Le fumeur se retourna pour voir une vieille dame soulever sa robe pour s'approcher de lui.

- Les jeunes d'aujourd'hui, ne pense même plus à aider les démunis et ne se lèvent même plus à l'arrivée de leur aîné... grommela la vieille femme. Remus arrêta son occupation pour proposer son bras avec un sourire. Une fois qu'ils furent tout les deux assis, un silence rempli l'espace entre les deux. Pourquoi êtes-vous seul parmi tant de femmes ? ( *gay silence*) Vous êtes encore jeune ! On pourrait organiser un beau mariage, comme celui-ci, Lily et James Potter... soupira la vieille en tripotant sa bague, sûrement pensive sur sa propre jeunesse.

Quand à Remus, il ignora tout simplement la question. Il n'avait pas à s'expliquer qu'il ne désirait pas de femme.

- ...Parmi tant d'hommes peut-être ? Remus se tourna violemment, faisant sursauter la pauvre femme. Bref, tout ce que je voulais dire, c'est que je vous trouve bien triste ce soir Mr. Parlez-moi donc.

l'homme leva doucement la tête et regarda les premières étoiles apparaître.

- Ne trouvez-vous pas les étoiles magnifiques, Mc Gonagall ?

- C'est les paroles d'un romantique Mr. Lupin.

Et Remus ne pu que soupirer.



Les enfants étaient partis et les adultes discutaient plus doucement. La fatigue commençait à gagner la fête, et des couples dansaient avec moi d'énergie sur la pelouse. Les deux jeunes fiancés, comme l'avait cru comprendre Remus, se serait éclipsés après la demande. Et maintenant, Remus cherchait Sirius. Si ce n'était pas les effets de l'alcool, c'était qu'il devenait fou.

- Ah Mr Black. Je vous cherchais.

- Non, vous n'avez rien à dire, j'ai bien compris que vous ne vouliez pas de mon aide.

- Je voudrais dresser un portrait de vous. demanda Remus en bégayant sur ses mots. L'autre le regardait crédule. Vous...dessiner. Si vous voulez bien ! bien sûr. héhéhé, rit-il nerveusement.

Les deux hommes se regardèrent profondément.

- Soit. Allons donc dans un endroit plus calme... chuchota presque le futur poseur.



Les deux regagnèrent le manoir, et gravirent les escaliers sans un mot, pour rentrer de nouveau dans la même chambre qu'il y a 3 semaines. Rien ne semblait avoir changer, hormis peut-être la poussière qui s'était faite plus imposante.

Sirius s'assit, la gorge sèche cette fois-ci, sans savoir pourquoi. Il n'avait pas envi de gâcher sa seule chance de rédemption avec Remus. Alors il n'enleva pas sa chemise, ni fit de blague ; il n'alluma qu'une chandelle et le regarda faire.


Remus ne pu s'empêcher de s'émouvoir face à cette beauté.

La conversation avec Mc Gonagall, bien que vague, l'avait fait comprendre pourquoi il était si étrange ces temps-ci, pourquoi son cœur et sa tête lui dictait des actions contraire. Il était tout simplement tombé amoureux du jeune Black. Seulement, son nouveau travail ne lui avait pas laissé l'opportunité. Et il savait que cette trêve ne serait que de courte durée. Ils ne s'aimeraient jamais.

La lueur de la chandelle affinait le nez de Sirius et rendait ses yeux brillant. Remus aurait presque pu croire à une brillance d'amour. Ses cheveux étaient noirs nuits, mais le feux créait des reflets dignes des étoiles. Lupin sentait ses iris pure bleue se poser sur lui, et son rythme cardiaque augmenta, frôlant la tachycardie.

- Arrêtez.

- Pardon ? demanda l'autre, totalement perdu dans ses pensées.

- De me regarder. continua Remus en dessinant toujours et en gardant les yeux fixer sur son papier. Sirius soupira et détourna la tête, changeant de position. Lorsque le dessinateur releva la tête, il poussa un bruit mécontent. Quoi, qu'y a t-il ? demanda Black.

- Vous avez bougé. râla le dessinateur Je-je pourrais tenter de continuer votre portrait de mémoire, mais ce serait compliqué. Il n'y aura plus cet même effet de lumière, et-et-

Sirius l'ordonna de se taire et Remus se rassit lentement en passant les mains dans ses cheveux. Cette journée avait été plus qu'épuisant. Il rêvait juste de s'écrouler dans son lit et de dormir jusqu'à ses quarante ans, où on ne l'embêterai plus à l'idée de se marier. Il pourrait s'occuper des abeilles et ouvrir un livre scientifique où il mettrait des copies réalistes de la végétation.

- Vous m'avez demander de ne pas vous regarder, pourquoi ? en réponse Remus le fuit du regard et s'éclaircit la gorge. Dites-moi juste que je me trompe.

- Vous...vous m'avez demandé il y a trois semaines si vous me faisiez de l'effet. Hé bien... L'homme se mit à rire nerveusement et sentit que déglutir serait dorénavant plus difficile. Ses mains tremblaient légèrement, et il savait qu'il n'allait plus dessiner ce soir. Quand il releva la tête se fut pour sursauter légèrement, le visage du Sirius était si près du siens que son souffle s'écrasait sur lui et le faisait frissonner. Puis, en moins de deux secondes, leur yeux se sondèrent et leur lèvres s'écrasèrent dans un long soupir.

La nuit s'ouvrait à eux tant dis que leur corps s'embrasait.





Fin de ce chapitre !!

Alors j'ai quelques petites questions. Est-ce que vous voulez encore une suite ? Est-ce que vous voulez que je décrive un peu la nuit de ces deux jeunes amoureux ? (je ne fais rien d'explicite).

Et si vous voulez une suite, y a t-il des choses que vous voulez voir en particulier ?

A la prochaine ! (aussi à partir de la semaine prochaine je devrais beaucoup réviser donc soit un chapitre sera publié dans la semaine qui vient, ou dans deux semaines, désolé mais c'est la (triste) vie d'un collégien).






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