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Il était un jeun garçon aux yeux aussi sombres que son coeur. Il restait constamment en retrait. Il cachait en lui lourd lourde malédiction.

Un jour, un jeun garçon au coeur pur et aux yeux brillants vint lui parler.

Donne moi la chance de devenir ton ami, murmure le claire garçon.

Le sombre se redis avant de décliné la demande du jeun garçon. Mais ce dernier n'en avait pas fini.

Le claire suivait son compagnon partout où il pouvait se rendre, lui parlant de sa journée, essayant d'éclaircir son coeur à l'aide de ses paroles belles paroles.

Mais plus le claire parlait, plus le fardeau de son interlocuteur était lourd. Un jour, il craque et décide de tout raconter au jeun entêté.

Je ne peux pas me socialiser à cause de mon coeur malade, expliqua le sombre torturé. Tout se que je touche devient aussi sombre que la plus sombre des nuits d'hiver avant de disparaître en mille et une poussière...


Les yeux du plus jeun s'illumine.

Se... se que tu touche, redit il en s'approchant.

Son compagnon recule jusqu'à être face à un mur. Il se retourne paniqué face au mur glacé. Il colle ses mains à sa poitrine, son coeur si sombre avait commencé à battre de plus en plus fort.

Dans un silence religieux, le brun sentis une légère pression dans son dos, d'abord hésitant puis plus ferme. Il ouvre les yeux et se retourne lentement.

Le blond lève les mains aux ciel.

Tout se que tu touche de tes mains se meurs tendis que tout se qui je touche prend vie, sourire il. Tant que tu ne me touches pas tout ira bien.

Le brun resserre les points, il avait... trouvé quelqu'un qui était encore capable de lui sourire.

Les jours passèrent et le brun commençait à se faire au blond. Il commençait à aimer ses longs discours, ses sourires, ses rires, sa voix.

Peut après leur première année de dissuasion, le brun était debout à l'entrée du temple. Le blond avait insisté pour qu'il participe au festival du nouvel an ensemble.

Tu n'auras qu'à grader tes mains dans tes poches.

Lui avait murmurer le blond en posant ses paumes sur les joues pâles du brun.

Le blond enlace son bras sous celui de son ami afin de le faire avancer. Il lui montra toute les fabuleuses activités et les plats délicate du festival.

Mais malgré la bonne humeur de son ami, le brun ne pouvait s'empêcher de voir le dégout dans le regard des habitants.

C'est sous le feu d'artifice final que se passa la triste scène.

Les plus courageux des habitants avaient pris le blond de côté en lui disant que le brun était dangereux, qu'il devait l'abandonner, le laisser tomber et l'oublier.

Vous ne pouvez juste pas voir la lumière en lui, leur répondit le jeunots. Vous n'arrivez pas à voir sa vrais nature caché sous la malédiction. Vous n'êtes qu'une bande d'aveugles qui crient au loup sans rien voir de la vérité !

Furieux, un villageois hors de lui pris le jeun garçon par le col en lui criant dessus.

LÂCHE LE, avait hurler une voix enrobé de flamme couleur nuit.

Alors que les bruits était couvert par le commencement du feu d'artifice final, un cri aussi coupant que le plus tranchant des couteaux transcenda la nuit.



Tout le flamme c'était éteinte, tout souffle était coupé.

Le blond se trouvait devant le villageois à quelque centimètres de la main du brun. Se dernier recula face à se qu'il allait faire.

Le dernier feu retentissait au loin tendit que le blond déposa un léger et rapide baiser sur la joue du brun.

Tout les villageois étaient muet, dénudé devant une telle scène. Puis ils partirent tour à tour...

Tous sauf le dernier. Qui, avec une habilité sans faille, dégaina son couteaux de chasse et poignarda le blond de dos avant de s'enfuir dans la nuit.

Le blond vacilla avant de tomber à genoux. Il avait les mains crispé sur son ventre sans bruits. Le brun, ne sachant quoi faire, s'assit à ses côtés.

Le blanc prit les mains de son ami entre les siennes et les déposa sur ses joues. De fines larmes roulèrent sur les doigts du brun alors que le blond devenait noir comme le plus sombre de ses cauchemars.

Le brun le prit dans ses bras en pleur.

Ça va, avait murmurer le mourant en serrant son compagnon dans ses faibles bras. Je ne... souffre pas... Ne pleurs pas... Si non...



Le blond craqua et fendu en larme. Et c'est en pleur qu'il disparu en de million de petites étoiles rejoignant le ciel.

Le brun, en se soir de deuil, hurla à sens détruire les poumons. Il hurlait sa paine et son chagrin, il hurlait sa colère et sa haine.

Et c'est cette nuit la, que le village fut décimé. Il n'en resta que des cendres provoquer par une tempête de flamme noir. Seul la forêt où le temple se trouvait était debout.

L'on raconte, que le garçon immortel marche toujours dans la forêt à la recherche de la personne s'y étant enfuie après l'assassinat de son cher et tendre ami...



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