Un homme sans vie ?

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Ton corp somnolait à mes côtés comme depuis un certain temps dorénavant.

Où j'ai droit à ta chaleur près de moi, où ton parfum ne quitte pas les draps, ton corps au plus près de miens pour ne pas te laisser t'envoler de moi.

Et comme chaque matin à l'aube, le soleil traversant les rideaux sur ta silhouette, je me viens à me demander comment moi, Leonne Abbacchio, un piteux flic sombré dans l'alcoolemie, est put te charmer ?

Que suis je à tes yeux ?
Que vois tu en moi ? Que je ne vois pas
Ce que tu trouves extraordinaire chez moi ?
Pourquoi m'aimes tu ?

Je ne sais même pas comment mi prendre avec toi, je ne le sais pas.

Je ne le veux pas, je ne te veux pas, je ne le mérite pas, je ne te mérite pas.

Et pourtant ton sourire semble si rayonnant à mes côtés et ton rire si doux.

Que je devrais être heureux, comme tu me le dis si souvent, je ne devrais pas me refuser le bonheur.

Mais tu sais un gars comme moi ne le mérite pas, qu'ai je fais de bon pour être heureux ?

Mais les seuls moment où je me sens comblé c'est lorsque je remplis mes missions, je ne suis qu'un exécutant.

Je ne sais rien faire sans ordre, et je voudrais que tu m'ordonnes d'être heureux.

Et alors je ferais cet effort pour ne pas échouer cette douce tâches que tu me confie.

Plonger dans le lointain de mes songes, le visage ternes, je traînes ma main le long de tes cheveux quelque peux emmêlé pour observer ton visage paisible dans ton sommeil, remué contre mon torse.

Les premiers rayons du soleil vient piquer ton visage et l'océan de tes yeux se pose sur mon corps.

Tu sembles si heureux de me voir allonger au près de toi.

Que je n'ose faire un geste pour ne pouvoir mirer que ton sourire greffé sur ton visage plus longtemps.

"Buongiorno, Leonne" roules tu de ton faible accent italien de ton corps endormie.

Ceci fit fondre mon cœur, où tu me semble une fois de plus si parfait, si interdit de ma personne.
Pour que tes lèvres érafle juste les miennes comme une salutation à cette nouvelle journée.

Mais tes lèvres son si sèche et fraîche, qu'un amère goût me reste sur la surface de ma peau, es ce juste le matin qui fait cela ?

À y réfléchir  tu le sembles bien étrange depuis que nous avons trahis le boss.

Et de ton corps hors des couvertures, tu déambules face à moi pour ta toilette matinal.

Je ne me lasserais jamais des finitions parfaite de tes courbes.

Et alors que je m'approches de ton corps, contre l'appui du lavabo, j'entrelaces tes mains des miennes pour embrasser ta nuque.

Pour te relâcher aussitôt, tu es glacé, ta peau et froide, ais je pris toutes les couvertures cette nuit ? Pour que tu sois ainsi.

Tu serais à la limite de l'hyportermie, tu serais à la limite.. d'avoir....la chaleur corporelle d'un..d'un cadavre.

Tu serais aussi chaud qu'un mort.

Et je ne veux plus à avoir faire à cela.
Je ne veux plus sentir cette sensation une nouvelle fois.
Et je ne veux pas sentir ton corps ainsi.

Et tu n'avais nullement réagi à mes baisers, comme si ta peau se trouvait dénudé de sensibilité.

Es tu sûr d'aller bien Buccellati ?
Je te trouve étrange c'est dernier temps.

Depuis que nous avons trahis le boss, depuis que ce fichu gosse t'as soigné.

Tu semble changé, ton corps en es étrange.

Et je m'inquiètes pour ta personne mais tu sembles être si normal que je n'ose en parler avec toi.

Je..es tu vraiment Bruno Buccellati ?

Et lorsque tu étais venue te raser sur le bord de l'évier, la lame est venue de scalper la peau sans qu'aucune trace de sang de s'en échappe, sans même que tu ne t'en rend compte.

Mais je ne rêve pas tu as bien une plaie ouverte sur ta joue.

"Buccellati, tu t'es coupé" fis je la remarque avant que tu ne te touches ta plaie face au miroir.

"Je n'ai pas fais attention, veux tu bien me soigner Leonne"

Je ne dis rien, plaçant simplement ce qu'il fallait sur ta blessure.

Avant que tu ne m'embrasses vigoureusement .

Je ne pourrai dire que je prennes envie à ce baiser, sous la froide sensation de ta peau.

"Es ce que tu vas bien Leonne ?" Cesse tu brusquement le baiser, lorsque tu ressent mon crispement à cela.

Où je ne répond  à peine pour me préparer et rejoindre les autres.

Où je me ressasses la sensation polaire de tes lèvres.
Comme si j'embrassais un cadavre.
Un cadavre vivant.

Ceci est stupide, tu es sûrement malade ou du genre, je devrais prendre mes distance pour ne pas tomber aussi.

Et à ton débarquement je ne cesse de t'observer le long de la journée.

Sans que tu ne stops de me paraître étrange.

Ho que j'aimerai t'embrasser jusqu'à plus de souffle à ce moment, tracer les lignes de ton corps.

Mais ton corps me semble si distant, il me semble si vide de vie.

Où je crois halluciner lorsque je porte ma main sur ton torse pour te rapprocher de moi, lorsque je ne sans aucune trace des battements de ton coeur.

Je ne porte que ma veste sur ton épaules à la sensation de ton corps glacé, pour le réchauffer.

Pourquoi donc aucun battement ne s'échappes de toi ?
Pourquoi aucune vie ne semble emmener de toi ?

Tu es si étrange depuis un certain temps.

Es ce une maladie que tu ignores de me dire ?

Devrais je m'y faire avec ceci ?

Cherchant à t'embrasser loin des regards curieux.

Où malgré l'étrange sensation, je bascules contre toi dont ma seul chaleur suffit à combler ton corps.

Te plaquant sur le tableau de bords de l'avion, déplaçant mes mains sur ta cuisse.

Pour y dévorer ta nuque à petit feu de baiser.

Où ta main froide me glace le sang lorsqu'elle passe sur le bord de ma poitrine.

Alors que je venais de te devetir de ta veste, glissant mes lèvres sur ton torse.

Que la voix de Trish se fit entendre de l'autre côté de la porte.

Obligeant frustement de m'éloigner de toi.

Et c'est sous la chute epouventablement longue jusqu'en Sardaigne que je te promets de t'aimer après l'élimination du boss.

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Peut on dire qu'Abbachio est necrophile dans ce cas ?

J'espère que cela  vous plait et que vous aurez appréciés ce chapitre

Je n'ai pas vérifier les fautes

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