J'étais en train de courir vers le restaurent. Je devais en parler à Nestor.

La Lumière Blanche ! Elle existait donc réellement ! Il fallait qu'on aille voir ça de plus près !

Il était en train de servir des clients.

-Nestor ! Nestor !

Il se retourna.

-Il faut absolument que tu viennes avec moi ! La Lumière Blanche ! Celle qu'on voit quand on meurt ! Elle existe vraiment !

-Comment ça ?

-Faut qu'on aille voir la Lumière Blanche !

-Ecoute, il faut que je termine mon service. Après, on ira voir si tu veux.

-D'accord.

J'étais un peu déçu par le manque d'enthousiasme de Nestor, mais je ne peux pas lui en vouloir.

Je suis retourné à la bibliothèque. Sam était assis à la même place.

-Alors ?

-Il n'a pas l'air très enthousiaste, mais on ira la voir après son service.

-D'accord, si tu veux, je vous y conduirais.

-Merci.

Alors je suis allez chercher un livre et j'ai commencé à le lire, attendant impatiemment l'heure où on irait la voir.

***

Devant le restaurent, on attendait Nestor qui devait avoir terminé son service maintenant !

Enfin il sortit.

-Bon, on y va ?

-Allons-y.

On traversa plusieurs rues. Décidément, je n'arrivais pas à m'habituer à la beauté de l'architecture.

Nous sommes sortis du village à travers une petite muraille.

Il y avait devant nous une forêt. Des arbres à perte de vue.

On marcha pendant près de dix minutes jusqu'à arriver au flanc d'une colline. Juste en face de nous, une grotte. On rentra.

On marcha un moment. Et enfin on la vit. La Lumière Blanche. Contrairement à ce que je pensais, la lumière ne nous éblouissait pas. Je regardais Nestor. Il était ébahi par le spectacle.

Qu'est-ce c'était beau. Soudain, je vis quelqu'un apparaitre devant moi dans une gerbe d'étincelle. J'eut du mal à voir son visage. Il se tourna vers nous et je le vis parfaitement. Il avait des cernes énorme, des yeux rouges...

Je connais cet homme. Je l'ai déjà vu quelque part. Où est-ce que j'avais vu cet homme ?

Je réfléchis un long moment. J'avais déjà vu ce visage. Et soudain je le reconnut. Pourquoi est-il là ? Peut-être était-ce ma faute. Je l'avais poussé jusque-là ? Soudain sans comprendre, William disparut aussi rapidement qu'il était apparu.