J'aimerais pouvoir faire l'amour autant de fois que l'envie me prend sans jamais être effrayée de propager la saleté de maladie que ma mère m'a donnée.

Ronald aurait préféré ne pas poser les yeux sur le livre violet de la jeune fille, ce jour-là. Ce n'était pas qu'il était coincé ou fermé d'esprit sexuellement parlant mais lorsqu'on a une attirance pour le mental de quelqu'un, il n'y a aucun intérêt de connaître les détails privés de sa vie.

Enfin, il se mentait à lui-même... Lui faire tendrement l'amour n'était pas quelque chose qu'il refuserait si on venait à lui faire la proposition. Il serait même plutôt partant de voir le corps délicat d'Elga nu, de pouvoir le toucher et poser de tendres baisers sur sa peau écarlate.

Le réel problème était qu'il devait admettre qu'il ne restait pas indifférent à côté de cette fille et cela le tuait à l'avouer.

Ronald a toujours été le garçon auquel personne ne s'intéresse et qui ne s'intéresse à personne. Il aimait cette catégorie dans laquelle on l'avait placé. Il s'y sentait bien, à l'aise et à sa place.
Il ne voulait surtout pas que des sentiments envers une fille dont il ne connaissait pas grand chose se créent et prennent trop de place dans son esprit.

Le garçon aimerait rester à vie le petit roux innocent et n'aimant que la nature et la peinture.

Jamais il ne s'est senti mal de n'aimer quiconque, au contraire de tous les jeunes de son âge qui prennent l'amour un peu trop à coeur.

Ronald, lui aimerait rester le petit garçon de sa Maman pour toujours et n'aurait jamais voulu admettre avoir une attirance physique comme mentale envers une petite blonde de sa classe dont il ne connaît que les rêves.

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Ce chapitre est horriblement mal écrit.
Je me rattrape dans le prochain.