Épilogue

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Le Brun ferma les yeux, d'où deux petite perle d'eau s'échappèrent. Son blond. Son rayon de soleil. Son Naruto. C'est lui qui lui avait offert ces vers. C'est la plus belle déclaration que Sasuke avait jamais eu. Pourquoi pleurait-Il ? 

Tout simplement parce que son Amour était porté disparu depuis 3 jours. 3 longs jours que Sasuke avait ce mot. 3 jours qu'il c'était enfermé chez lui. Personne n'avait pu le faire sortir de la. Et personne n'avait pu y entrer. 

Sauf Kakashi. Lui seul était au courant des sentiments éprouvé par ces élèves. Aujourd'hui, le gris toqua.

K - Laisse moi entrer, Sasuke. J'ai...quelque chose...à te...dire.

Le jeune homme était étonné de la tristesse qui perçait la voix de son sensei. Il ouvrit la porte.

K - On l'a retrouvé -/

S - JE VEUX LE VOIR !!!

K - laisse moi finir, je t'en prie. On a retrouvé son corps. Kurama était transformé en renard roux et dormait à côté de lui. Il semblerait que Naruto se soit...suicidé. Il tenait un mot dans sa main. 

Le gris tendit la lettre à Sasuke. Ce dernier laissa entrer Kakashi et le laissa préparer le thé. Les deux s'assirent sur le canapé et Le Brun commença sa lecture.


Mon cher Sasuke, 

Quand tu lira ces mots, je ne serais plus de ce monde. Je sais que tu n'est pas gay, et je ne veux que ton bonheur. Mais je sais aussi que je ne supporterais pas de te voir avec une autre personne que moi. Je pars et je libère Kurama. J'aimerais que tu le garde auprès de toi, comme pour te souvenir que j'ai exister un jour. Sache, enfin, que où que tu aille, je serais là. Je te protégerais, tel un esprit, au travers de Kurama. Si tu a bien compris, sa veux dire qu'une part, infime, de moi vit en Mon renard. 

Adieu, mon Amour, mon Sasuke.


Sasuke leva la tête de la lettre et regarda le renard assoupi à ces côté. Sa décision était prise. Uchiwa garderait le renard, SON renard auprès de lui et vivrait heureux à ses côté. Pas besoin d'une femme ou d'un homme dans sa vie. Juste de ce jeune renard aux yeux verron, dont l'un des œil bleu appartenait à un soleil resplendissant de joie. Il sourit tristement et dit : 

S - Je t'aime aussi, Idiot. 

 

Fin



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