La nuit était tomber, et mes sanglots après la lecture de cette lettre, c'étaient calmer. J'ai tout tenter, le bain chaud, la musique, regarder des vidéos drôle. Mais rien n'a marcher, impossible de penser à autre chose que lui. Cela faisait plus d'une heure que j'étais assise sur le bord de mon lit à fixer la fenêtre. Tout est calme, mise à part le bruit des voitures à l'extérieur. C'est la pleine lune, et j'ai juste envie de la rejoindre pour avoir un peu de calme dans ma vie. Seule, à observer des millards de gens. C'est ce que je voulais sincèrement. Je ne suis pas en dépression, enfin je ne me sens pas mal à se point, j'ai juste une constante douleur au coeur, et dès que j'entends le nom "Jungkook", je pourrais presque me mettre instantanément à pleurer.

La lueur de cette astre illumine ma chambre. Je ne peux pas dormir, j'ai besoin qu'il soit là, peut importe ce qu'il a fait, j'ai besoin de lui, je veux être sûre qu'il y a encore de l'espoir pour nous.

Je saisis mon téléphone hésitante. La liste de mes contactes défilent à vitesse folle pour trouver son nom, ou plutôt le nom que je lui est attribuer, "Kookie d'amour". Un petit rire me prend, je ne sais même plus d'où se stupide surnom m'est venue à l'esprit. Devrai-je l'appeler ? Il me manque, mais peut être qu'il ne veut plus me voir ?

...

Apelle en cours..

...

Jungkook : « ..Hye ? »

Sa voix sonne rauque dans mon téléphone, et mon coeur loupe un battement. J'ai sûrement du le réveiller, il est déjà deux heures du matin.

Toi : - « Je..Désoler je n'aurais pas du t'appeler. »

Je m'apprête à raccrocher mais il commence à parler.

Jungkook : « Qu'est ce qui se passe ? »

Ma lèvre inférieure tremble, je veux lui dire qu'il me manque mais les mots ne viennent pas, rien ne vient enfaite.

Jungkook : « Allô ? Hye ? Tu est toujours
là ? »

Je n'arrive même plus à bouger. J'ai besoin de lui, je veux qu'il vienne et qu'il me prenne dans ses bras, juste quelques minutes, pour me réconforter, pour me rassurer. Mes mots refusent tous de sortir.

Jungkook : « ..Ok, j'arrive. »