27 ~ Abandonner ~

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Ils passèrent les jours qui suivirent au QG de l'ordre du phénix, au plus grand bonheur de leurs amis.

Le matin, ils déjeunaient tous ensemble puis ; souvent, les garçons partaient à trois faire elles ne savaient quoi dans les rues de Londres. Pendant ce temps-là, Lily et Hermione discutaient, préparaient des potions à l'infirmerie, partageaient leurs savoirs et leurs pistes sur d'éventuelle attaque des mangemorts.

Elles eurent aussi tout le loisir d'apprendre à se connaitre vraiment et elles comprirent rapidement ce que James voulait dire les premiers jours, quand il avait dit qu'elle lui faisait penser à Lily. Elles avaient énormément de point commun.

Après le déjeuner, Sirius et Hermione s'isolaient dans un endroit de la maison pour élaborer les plans de leur intrusion au manoir Lestrange. Ils s'apprêtaient à tester la polynectar pour s'assurer de ne pas se faire piéger.

Ça avait tendance à agacer tout le monde de sorte que la porte s'ouvrait presque toutes les dix minutes sur intel qui avait oublié ceci ou intel qui devait demander cela. Les membres de l'ordre n'aimaient pas être tenus à l'écart des plans qu'ils préparaient, question de fierté. Mais Hermione et Sirius savait à quoi s'en tenir : moins il y avait de monde impliqué, moins il y avait de chance que ça foire (le cas Peter en avait été une bonne preuve).

Le soir, quand ils n'étaient pas en mission, ils se retrouvaient pour discuter de tout et de rien autour d'un verre ou deux.

Hermione aimait bien l'effet que cette routine avait sur Sirius. Elle n'avait pas imaginé l'impact que l'absence de ces amis avait sur lui. Depuis qu'ils étaient ici, il était plus joyeux, plus doux aussi, plus attentif. Il s'énervait moins vite, cherchait moins à l'agacer. Elle n'avait jamais vu un aussi grand sourire sur son visage que celui qu'il abordait depuis deux semaines.

Hermione aussi aimait beaucoup cette vie, ils étaient en sécurité et entouré. Mais elle avait peur que la curiosité de leurs amis soit un peu trop grande et qu'ils finissent par fourrer leurs nez dans des affaires qui ne les regardaient pas.

- Regarde-là ; fit-elle à Sirius alors qu'ils étaient assis sur leur lit, montrant une porte sur la carte ; si quelqu'un se trouve dans cette pièce, on est grillé avant même d'être rentré.

Sirius secoua la tête en tournant légèrement la tête.

- Il y a une fenêtre juste ici, elle est haute de sorte qu'on pourra vérifier s'il y a quelqu'un sans qu'on nous voie en retour.

Hermione fronça les sourcils.

- Tu es sûr de toi ?

Sirius hocha la tête.

- J'ai passé des heures entières puni dans cette pièce, je la connais par cœur.

Elle hocha la tête et barra une des phrases sur son carnet, lut la suivante et se pencha sur la carte :

- Ici, il faudra qu'on...

On toqua à la porte, la coupant en plein milieu de sa phrase. Elle serra la mâchoire, agacée mais Sirius lui adressa un regard d'avertissement.

- Entrez ! Cria-t-il.

Lily passa sa tête rousse à travers la porte, ne manqua pas le regard agacé d'Hermione et rougit légèrement, non sans laisser son regard vagabonder sur le lit. Hermione referma le dossier d'un geste brusque.

- Dumbledore est ici, il demanda à te voir Hermione.

Elle échangea un regard avec Sirius qui hocha la tête, elle se leva.

- Merci de m'avoir prévenue.

Elle descendit rapidement l'escalier et retrouva le vieux sorcier dans une salle adjacente à celle de réunion.

Quand elle le vit, elle eut une impression étrange, sa vision se brouilla une seconde, une demi-seconde et se fut comme-ci tout à coup, il était plus vieux, comme-ci il était le Dumbledore qu'elle avait connu plus jeune, dans le futur.

Cette impression dura une seconde, une toute petite seconde et ça lui donna le tournis. Elle se rattrapa à la commode juste à côté d'elle et cligna plusieurs fois des yeux. Dumbledore -le jeune- fronça les sourcils.

- Tout va bien ?

Elle cligna une nouvelle fois des yeux et secoua la tête : elle avait un peu de mal à se remettre de son hospitalisation, elle avait fini les potions que lui avait donné Justin alors elle se sentait un peu fatiguée, ça devait être à cause de ça.

- Oui, j'ai juste eu un léger vertige, rien de grave.

Dumbledore hocha la tête. Il sortit alors quelque chose de sa poche et le posa sur la table. Hermione sentit son cœur battre à tout rompre, l'excitation lui galvanisa les veines.

Le diadème de Serdaigle.

Juste là.

Brisé.

Elle lui adressa un sourire ravi et se saisie de l'objet : la pierre précieuse en son saint était coupé en deux par la trace d'une lame.

- Est-ce que tu l'as ?

Dumbledore hocha la tête et fit apparaitre l'épée de Gryffondor d'un coup de baguette. Elle l'attrapa et l'examina, le soulagement lui enserra la poitrine : il pourrait détruire un second horcruxe.

Deux.

Ils avaient fait presque la moitié du travail.

- Parfait. Fit-elle en la regardant.

- Comment avance notre affaire ? Demanda Dumbledore.

Hermione posa l'épée et croisa les mains dans son dos en se mettant à faire les cent pas.

- De mon temps, il y en avait sept, Harry compris.

Elle repensa rapidement au moment où Harry l'avait abandonné pour aller dans la forêt mais essaya de chasser ses souvenirs.

- Nous avons déjà la bague et le diadème. Harry n'est pas née et très loin d'être un horcruxe, le serpent à vocation à en devenir un lors de son exil en Albanie. Ce qui nous laisse donc le livre, le pendentif et la coupe.

Hermione observa le jardin une seconde, regarda le nain de jardin tenter de capturer une fée.

- De ce que je sais, Voldemort fera appel à Kreatture pour cacher le pendentif, Regulus Black changera de camps à ce moment-là.

Avant de mourir. Elle s'abstint de le préciser.

- Donc en toute vraisemblance, si on s'appuie sur la dernière conversation qu'il a eu avec Sirius, le pendentif n'est qu'un pendentif à l'heure actuelle.

Dumbledore se caressa la barbe.

- Cette affirmation m'a l'air bien bancale.

Hermione se mordit la lèvre.

- Je le sais bien. Mais je n'ai aucune idée d'où se trouve ce pendentif, il n'apparait plus dans les registres de Barjow et Burk depuis un moment maintenant alors il est dans les mains de Voldemort. Maintenant, à savoir si oui ou non il l'a déjà changé en horcruxe et ou est-ce qu'il peut bien le cacher... Et je n'ai vraiment pas la patience d'attendre qu'il demande les services de Kreatture.

- Ce serait bien imprudent de ta part de t'en prendre à Tom sans être certaine qu'il ne soit pas vraiment mortel.

Elle se mordit la joue, agacée : c'était facile à dire. Elle se tourna alors vers lui.

- Que proposes-tu alors ?

Dumbledore resta d'un calme olympien.

- Il faut trouver un moyen de s'assurer que le pendentif soit un pendentif.

Elle souffla longuement, désespérée et se pencha sur la table.

- Je sais bien, il faut seulement que je trouve comment.

Dumbledore hocha la tête, l'air de comprendre que cette histoire la tracassait déjà assez toute seule.

- Bien et qu'en est-il de la coupe et du journal ?

Elle se redressa, plus assurée.

- Ils deviendront la possession de Bellatrix et de Lucius, la question c'est simplement : quand ? Je sais que Voldemort pense son quartier général inviolable, pour dire vrai, il l'est presque. Je suis persuadé que l'un d'eux, si ce n'est les deux, s'y trouve.

- Comment comptes-tu t'y prendre s'il est presque inviolable ?

Elle esquissa un sourire.

- M'appuyer sur le presque. Et sur Sirius. On travaille dessus.

Dumbledore hocha la tête.

- J'imagine que c'est tout ce que j'ai besoin de savoir.

Elle hocha la tête. Ne jamais mettre tous ces œufs dans le même panier.

- Si tu as besoin que je fasse quoi que ce soit, tu sais que ma porte est ouverte.

Elle lui adressa un sourire.

- Continue ce que tu fais, c'est déjà largement suffisant.

Il lui adressa un léger sourire.

- Je vais me renseigner pour cette histoire de pendentif, je peux peut-être faire quelque chose.

Elle hocha la tête.

- Tenez moi au courant.

Il le lui promit avant de s'éclipser.

Elle resta une bonne demi-heure dans la pièce, se servit du tableau pour noter l'ensemble des informations qu'elle possédait.

Le pendentif allait être un problème, Dumbledore avait raison. Mais elle avait dit la vérité : pour le moment, ça restait une impasse pour elle. Elle n'aimait pas ça d'ailleurs, depuis qu'elle était là, les choses c'était enchainés à une vitesse folle, avec logique et sens, elle n'aimait pas l'idée de se retrouver bloquée.

Elle consulta sa montre : il était bientôt dix-huit heures, il lui fallait rejoindre Sirius. Ils étaient censés tester le Polynectar demain, sans pour autant éveiller les soupçons de leurs amis alors même qu'ils allaient avoir besoin de leur aide. Il leur fallait revoir les détails de la mission.

Elle sortit de la pièce et se dirigea vers l'escalier.

Mais alors, comme un courant d'air, une illusion, elle vit une silhouette traverser la pièce. Elle se retourna brusquement, le cœur battant à tout rompre.

Ces yeux lui jouaient des tours, c'était impossible autrement.

Cette silhouette élancée, ces cheveux ébouriffés, cette démarche conquérante... Elle pourrait le reconnaître n'importe où, même dans une apparition aussi furtive que celle-ci.

Son cerveau se mit à marcher à cent à l'heure.

Ne fais pas ça Hermione.

C'est forcément un piège.

Il n'est pas ici.

Il ne le sera jamais.

Mais peut-être avait-il utiliser la formule ? Peut-être l'avait-il rejoint ?

Peut-être que c'était un message ?

Tu pourrais retourner dans ton monde si tu les désirs.

Il était peut-être en danger.

Elle n'écouta que son cœur qui battait à tout rompre dans sa poitrine, dans l'ensemble de son corps.

C'était lui, elle en était sûre.

- Hermione ? L'interrogea Gidéon occupé de lire un rapport, assis à la table du salon, interpellé par son immobilisme soudain.

Mais elle l'ignora. Elle tendit sa baguette et s'avança vers la salle à manger où la silhouette d'Harry venait d'apparaître.

Elle y courut, le regard fou. Elle scruta la pièce, complètement paniqué : non, elle ne pouvait pas l'avoir perdue.

Elle ouvrit toutes les portes autour d'elle, souleva chaque coussin, chaque livre.

Il avait été là. Elle en était sûre. Elle l'avait reconnu. Elle le reconnaitrait dans une foule entière.

- Harry ? Finit-elle par demander d'une voix essoufflée.

- Mais qu'est-ce que tu fais ? Demanda Gidéon, interpellé.

Soudain, un mouvement attira son regard vers l'extérieur. Son cœur battit encore plus vite quand elle reconnut l'éclat de ses yeux vert, sa cicatrice, ces habits...

Les mêmes que quand elle était partie...

Il la regardait, immobile, en plein milieu du jardin.

- HARRY ! Hurla-t-elle.

Elle ouvrit brusquement la porte et courut du plus vite qu'elle put vers l'extérieur.

Mais c'était trop tard, il avait de nouveau disparut.

- HARRY ! Hurla-t-elle de toutes forces.

Il avait été là.

Elle l'avait vu.

Elle le jurait de tout son être, de toute son âme.

Il avait été juste là, devant elle.

Il l'avait regardé de son visage tuméfié, juste au milieu de ce jardin.

Son meilleur ami, ici.

- Hermione ! Cria Sirius en courant vers elle.

Il l'attrapa par les bras et la regarda avec inquiétude, les autres arrivèrent derrière lui.

- Qu'est-ce qui se passe ? Demanda-t-il en attrapant son regard.

Elle pleurait, elle ne s'en était même pas rendu compte.

- Il était là Sirius, juste là.

Sirius fronça les sourcils ; perdu.

- Qui ça ? De quoi tu parles ? Un mangemort ?

Elle secoua la tête en sanglotant.

- Non. Harry. Harry était juste là.

Le regard de Sirius se fit inquiet.

- Qui ça ? C'est qui ça, Harry ?

Elle secoua la tête et se dégagea de ses bras, elle avança à travers la pelouse du jardin.

- Il était juste là, je l'ai vu. Il se tenait là, il m'a regardé. HARRY ! Hurla-t-elle pour la troisième fois.

Elle regarda autour d'elle, le cœur en miette.

Elle aurait pu être plus rapide, elle aurait pu...

Elle courut vers la droite, à l'orée des arbres. Hurla son prénom de nouveau, sans résultat.

Elle courut de l'autre côté, scruta les arbres, hurla de nouveau.

Sans effet.

Elle tomba à genoux, l'excitation retomba, la laissant simplement désespéré.

Elle aurait pu le revoir.

Elle avait été tellement persuadée qu'il était mort...

Sirius s'approcha d'elle et attrapa de nouveau son visage.

- Hermione... Mia. Qui est Harry ?

Elle sanglota de plus belle.

- Il était juste là. J'étais tellement sûr qu'il était...

Puis soudain, elle le sentit. Ça stoppa ses larmes aussitôt.

Ça avait commencé avec Dumbledore.

Puis Harry.

Elle sentit son corps se refroidir.

Elle sentit ses muscles se tendre.

Son paysage se flouta, elle eut comme l'impression de sentir son cerveau se crisper dans sa boite crannienne.

Son estomac se souleva, se retourna.

Elle s'agrippa de toute ses forces au bras de Sirius. Ses yeux étaient la seule chose encore stable autour d'elle.

Dans un sursaut d'angoisse, elle adressa un dernier mot à Sirius.

- Ramène-moi.

Puis elle s'effondra, le nez en sang sur la pelouse du QG de l'ordre du phénix.

****************

- Je sais que tu n'entendras jamais ces mots mais j'espère que de là ou tu es, ils te parviendront d'une manière ou d'une autre Hermione.

Elle n'arrivait pas à savoir si elle rêvait ou si c'était réel. Elle était là sans être vraiment là. Mais elle voyait Harry.

Elle le voyait devant elle, le visage tellement tuméfié qu'elle avait du mal à le reconnaître. Seul ces yeux verts et sa cicatrice lui assurèrent que c'était vraiment lui. Il était avachi, par terre, à moitié conscient, le sang coulé de sa bouche à chaque parole.

- Il va me tuer aujourd'hui, je le sens, je le sais. Il n'a plus besoin de moi pour monter son chao.

Il toussa brusquement, du sang éclaboussa l'ensemble de sa cellule.

- Tu dois réussir Hermione, tu ne dois pas laisser le monde devenir comme il est aujourd'hui, je t'en supplie Hermione, il faut que tu réussisses.

Il répéta cette dernière phrase comme une supplique, comme un refrain.

- Je compte sur toi. Murmura-t-il.

La porte de sa cellule s'ouvrit, Bellatrix entra avec un sourire mauvais à lèvre.

- On parle tout seul petit bébé Potter ?

Elle ricana d'un air cruel mais Harry avait déjà fermé les yeux.

Elle l'attrapa par le menton, son sang coula sur ses mains.

- C'est ta dernière chance misérable sang-mélé, dis-moi où se trouve cette sale garce de sang de bourde.

La bouche d'Harry resta obstinément fermée. Bellatrix le jeta au sol avec hargne.

- C'était ta dernière chance Potter. Elle est sûrement morte de toute façon.

Harry toussa mais releva tout de même péniblement sa tête vers elle.

- Vous aimeriez...

Elle lui jeta un sort de rage, qui ne le fit même pas réagir.

- Allez, lève-toi, sale vermine.

D'un coup de baguette, elle le fit tenir péniblement debout et le fit avancer à sa suite. Ils déboulèrent au bout de quelques minutes dans une grande cour remplie de sorcier qui semblaient tous plus terroriser les uns que les autres et elle poussa Harry jusqu'à son centre, sur une estrade de pierre.

Hermione vit Voldemort, dans toute sa splendeur, se lever d'un trône formé d'os et se présenter devant tous ses sorciers.

- Brave sang-pur, je vous remercie de votre présence.

Il se plaça devant Harry que chacun observait.

- Le voilà donc, celui que vous appeliez le survivant, votre héro.

Il donna un coup de baguette vers Harry qui gémit de douleur.

Hermione eut envie d'agir, de toutes ses forces. Sans être vraiment sûre d'exister dans cette réalité, elle essaya de sortir sa baguette, de s'avancer, de faire quelque chose, n'importe quoi du moment que ça puisse aider Harry.

Mais au même moment, une voix résonna dans sa tête, calme, chance, réconfortante.

- Hermione...

Elle se figea, hypnotisée, divisée.

- Hermione, tu dois me revenir.

Son cœur battit la chamade au son de la voix de Sirius mais celle de Voldemort se fit alors plus puissante.

- Ce traitre ! Celui qui a dénoncé, celui qui a tenté de fuir, celui qui a trahi, qui a aidé les moldus !

Les mangemort poussèrent des cris de révoltés et sous la menace de leurs baguettes, les autres sorciers en firent autant.

- On lui prêtait un pouvoir absolu, un pouvoir unique mais il n'est rien d'autre qu'un lâche !

Nouveau cri d'acclamation, le corps de Harry retomba sur le sol.

- Voilà ce qui arrive à ce qui ose me défier.

Il s'approcha de lui d'une démarche lente, savourant sa victoire.

- Tu vas mourir aujourd'hui Harry Potter, toi et tout ce que tu as un jour cru représenté.

Dans un dernier sursaut d'énergie, Harry se souleva sur ses bras et regarda Voldemort droit dans les yeux.

- Je...ne...suis...pas seul.

Voldemort serra la mâchoire.

- J'ai tué chaque humain qui avaient pu t'aider de près ou de loin Harry Potter, quand tu mourras, tout s'éteindra avec toi.

Les bras de Harry tremblèrent.

- Coupez une tête, il en repoussera dix.

Voldemort lui donna un violent coup de pied qui fit hoqueter la foule, Hermione sentit son cœur cesser de battre.

Harry toussa brusquement mais se retourna tout de même sur le dos, pour regarder Voldemort en face.

- Ne l'oublies jamais Tom, le danger vient toujours de là où on s'y attend le moins.

Il laissa tomber sa tête en arrière alors que Voldemort leva sa baguette.

- Il n'y aura plus aucun danger.

Harry ferma les yeux et Hermione hurla, tenta de bouger pour s'interposer mais c'était comme regarder un souvenir, elle ne pouvait rien faire.

- Le dernier ennemi qui sera vaincu, c'est la mort. Murmura-t-il.

Voldemort cria le sort, une lueur verte s'écharpa de sa baguette et frappa Harry en pleine poitrine.

Il s'effondra.

Les sorts fusèrent de toute part, les mangemorts hurlèrent de joie et d'euphorie, Hermione vit certains sorciers pleurer.

Elle n'avait rien pu faire ; elle n'avait pas pu sauver son meilleur ami.

- Hermione...Hermione j'ai besoin de toi.

Il ne lui restait plus que lui maintenant, elle n'avait plus que Sirius pour avancer, elle n'avait plus que lui à sauver.

Lui, et l'espoir d'offrir un monde meilleur. Pas seulement à son meilleur ami mais à tous ces sorciers qui semblaient terrorisés.

Le cœur battant elle fit un choix. Un choix qui lui donna le tournis.

Son monde n'était plus celui-ci. Elle ne pouvait plus rien faire pour eux.

Son seul choix, c'était son présent et elle devait fait tout, vraiment tout ce qui était en son pouvoir pour les sauver.

Elle ferma les yeux et rompit la connexion avec son passé.

Je choisi Sirius et l'avenir, je choisi la victoire.

***************

Je poste tard mais au moins je poste la bon jour, c'est déjà ça ! 

J'espère que ce chapitre vous plu ! 

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Dreamy !

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