7 ~ Se retrouver ~

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Elle apparaît dans un nouveau flash de lumière dans un endroit sombre et humide. L'endroit sentait le bruler et les cendre, ce qui lui fit penser qu'elle se trouvait toujours à Little Hangleton, près de l'endroit où avait eu lieu l'explosion. Il n'y avait aucune fenêtre alors elle supposa qu'elle devait se trouver sous terre. 

Hermione sortit sa baguette et murmura "lumos minima" pour pouvoir avancer sans que personne ne puisse repérer sa lumière, puis elle avança prudemment vers la jonction entre l'endroit où elle était et la pièce d'à côté : si elle devait deviner, elle était surement dans une cave. 

-     Il y a quelqu'un ? Murmura-t-elle méfiante. 

Elle n'était pas à l'abris que la personne qu'elle devait secourir se trouve avec des mangemorts. 

-    Ici... Murmura une voix faible, dans la pénombre de la salle d'à côté. 

Son coeur se mit à battre mais elle n'osa pas trop espérer : même-ci elle connaissait se timbre de voix, la souffrance pouvait déformer la voix de n'importe qui. 

Elle passa l'arche et son coeur rata un battement devant le spectacle qui s'offrait à elle. 

-     Oh mon dieu ! S'exclama-t-elle, à la fois soulagé et catastrophé. 

Sirius était bien vivant mais en sale état. 

Une plaie ouverte à son crâne suintait sur son visage et ses cheveux, il tenait son bras droit dont la cape était couverte de sang et sa jambe droite semblait elle aussi être abimée. 

Elle courut dans sa direction, tremblant de tous son corps alors que des larmes s'échappaient de ses yeux. 

-    Oh mon dieu Sirius mais qu'est-ce qu'il s'est passé ? 

Le polynectar n'avait plus d'effet, Sirius avait le teint pâle et couvert de sueur, ses yeux à moitié clos et ses traits crispés montraient à quel point il souffrait. 

-    Les choses ne se sont pas tout à fait passées comme prévu. Grimaça-t-il. 

Hermioen se jeta à ses pieds et s'empressa de sortir tous ce qu'elle avait pour le soigner dans son sac. Elle essaya de calmer le tremblement de ses mains ainsi que les sanglot qui lui obstruaient la gorge. 

-    Tu crois ? Lâcha-t-elle à son intention. 

Elle se souleva légèrement pour se retrouver au hauteur de son crâne et examiner les dégâts : une partie de sa peau avait était arrachée, au sang mélangeait poussière et cailloux. Elle se mit à éponger le sang avec un vieux tee-shirt et essaya de rendre le plaie le plus propre possible. Sirius gémit mais resta immobile. Elle sortit ensuite une fiole d'essence de dictâmes et en appliqua en généreuse quantité sur sa blessure. Le sang cessa de couler et la blessure cicatrisa légèrement, on aurait pu croire qu'elle avait quelque jours : la chair rosie et le sang disparut. 

Elle s'attaqua ensuite à son bras et se mit à trembler un peu plus fort quand elle constata l'étendu des dégâts : son bras était entièrement brulé, des morceaux de gravier était incrusté dans la peau, Sirius devait souffrir le martyre. Elle observa sa jambe pour voir si elle devait encore plus s'inquiéter mais seule une grande coupure à sa cuisse semblait lui avoir était infligée. 

-    Il va falloir que je nettoie la plaie. Lui indiqua-t-elle d'une voix tremblante. 

-    Fais-toi plaisir. Grinca-t-il les dents serrés. 

Elle eut envie de lui hurler que ça ne lui faisait pas du tout plaisir, qu'il était un imbécile d'avoir voulu qu'ils se séparent et qu'elle le détestait pour lui avoir fait la peur de sa vie mais si elle ouvrait la bouche, elle était sur qu'elle allait éclater en sanglot, or elle devait garder la tête froide si elle ne voulait pas que ce crétin meurt vraiment. 

Avec sa baguette, elle extraya chaque particule de sa peau. Sirius gémit un peu plus fort à chaque fois mais resta parfaitement immobile, ce qui lui fit penser que ce n'était pas sa première fois. Son teint devint cependant un peu plus pale à chaque fois, elle crut même un moment qu'il allait tourner de l'oeil et Hermione dû se faire violence pour continuer : elle détestait le voir souffrir comme ça. 

-    C'est bientôt finit, accroches toi. Murmurait-elle à chaque fois pour le rassurer. 

Quand la plaie fut propre, Hermione attrapa son sac et en sortit une fiole qui semblait vide, à l'exception d'une seule gouttelette qui résidait au fond du récipient. 

-   Je n'en ai qu'une seule alors je suis obligée de choisir la blessure. Murmura-t-elle comme pour s'excuser. 

-    Qu'est-ce que c'est ? Grimaça Sirius, dont la plaie à vif faisait endurer une souffrance presque insoutenable. 

-    Une larme de phénix. Répondit-elle. 

Le teint de Sirius sembla reprendre des couleurs à cette pensée mais il eut quand même l'insupportable présence de grogner : 

-    Ne l'utilise pas pour moi, mets du dictâmes sur se fichu bras et garde là pour une vraie blessure importante. 

-    Il n'y pas plus important que ton bras à moitié déchiqueté Sirius ! Cria-t-elle. 

Surement sa voix au bord de l'hystérie ou alors la percpectyive d'être entièrement guérit en quelque seconde donna la présence d'esprit à Sirius de ne rien ajouter. Hermione versa le contenu de la fiole sur le bras. 

L'effet fut instantanée. La chair sembla reprendre sa place et la peau se recréa autour du bras de Sirius. EN une seconde, c'est comme-ci il n'avait jamais rien eu. Son teint blafarde reprit immédiatement sa couleur halé habituel et ses traits se détendirent immédiatement. 

Dans un silence tendu, Hermione s'occupa de refermer la coupure de sa jambe en un ou deux coup de baguette : elle avait la chance que celle-ci n'était pas du à de la magie noir, de simple sort de guérison avait pu réparer les dégâts. 

Quand il ne resta plus qu'une simple cicatrice sur la jambe de Sirius, elle baissa sa baguette qu'elle posa par terre. 

Elle se releva, toute tremblante de la tête au pied. Elle passa sa main dans ses cheveux, emmêlant ses bagues dans les mèches, frisant l'hystérie. Elle avait mal partout tellement ses émotions avaient été violente aujourd'hui : l'angoisse, la peur, la joie, la terreur. Elle avait l'impression d'avoir vécu trois vie en une. Voilà que récupérer une bague c'était transformé en vrai parcourt pour leur survie. 

Comment est-ce que Harry faisait pour rester calme après avoir vécu tant de chose en si peu de temps ? Comment Dumbledore faisait-il pour garder sa flegme de professeur en toute situation ? Elle se sentait dépassée, toute petite face à tous ça, incapable presque, de réaliser ce qu'elle devait. Est-ce que quelqu'un dans ce monde se rendait compte qu'elle n'avait que 17 ans ? Non, personne évidemment , à part Dumbledore mais il avait laisser Harry affronter Voldemort alors qu'il n'avait que 11 ans. 

Et en plus de tous ça, il fallait qu'il y est lui. 

Depuis quand était-il devenu si important ? Tellement important que le sort de la bague des Gaunt devenait secondaire face à son sort à lui ? 

Elle l'entendit se mettre debout, voulut lui interdire à cause de ses blessures mais n'en n'eut pas la force. 

Sa mains, chaude, douce, ferme se posa sur son épaule avec délicatesse.

-    Ne... Commença-t-elle d'une voix tremblante en essayant de dégager son épaule mais il était plus fort qu'elle, beaucoup plus fort qu'elle. 

De ce regard qu'elle aimait tant, déterminé, assuré, tendre, il l'enroba pour mieux la protéger. Il posa d'abord sa main sur ces épaules et descendit doucement, tendrement le long de ses bras, dans une caresse, un geste pour la rassurer, l'englober, la faire se sentir en sécurité. 

Il attrapa ses mains et les serra avec force, pour lui montrait qu'il la soutenait, qu'il la rattraperait s'il lui arrivait quelque chose. 

Ensuite il remonta doucement ses main et d'un geste tendre, il replaça ses cheveux derrière ses oreilles, avec un petit sourire espiègle mais sérieux sur le visage, il caressa ses pommettes. 

-    Laisse-moi faire ça... murmura-t-il. 

La respiration d'Hermione se fit plus saccadé, secoué par l'émotion alors qu'elle continuait de trembler entre ses bras. Il passa ses bras autour de son bassin et colla son front au siens. 

-    La seule chose qui compte, c'est que je puisse faire ça. Peu importe si tu n'as pas trouvé la bague, on reviendra la chercher, peu importe que les mangemort nous est découvert, on les affrontera, peu importe que l'ordre nous déteste, on les ignorera. L'important, c'est que à la fin de la journée, je puisse faire ça. 

Il posa délicatement ses lèvres sur les siennes. Hermione s'accrocha immedatiement, de toute ses forces à sa chevelure plaine de poussière et de sang, prenant garde à ne pas toucher sa blessure, s'accrocha à son cou, colla son corps au siens pour ne plus ressentir que ça : lui, là, contre elle. 

Sirius en fit de même, caressa son dos de sa main et sa langue de la sienne. C'était plus efficace que l'importe quelle parole, plus nécessaire : se prouvaient qu'ils étaient là, à deux, en vie et ensemble. 

Son souffle contre sa peau lui donnait des frissons, frissons qui venaient remplacer les tremblements qui la secouaient. Ses muscles se décrispaient, son coeur battait la chamade oui, mais plus agréablement, moins agressivement. Son état de stresse et de choc était remplacé par un état d'excitation et de calme bienvenu. 

Elle laissa doucement s'aventurer sa langue dans sa bouche, délicatement et profita, l'espace d'un instant, de la paix que lui procurait son geste. Ca n'avait rien de joueur ou d'impérieux comme ils en avaient l'habitude. 

Non. 

Là c'était quelque chose de plus...vrai. C'était doux, c'était réconfortant, c'était passionné mais pas sauvage. C'était quelque chose de plus concret, de plus authentique, quelque chose qui aurait pu lui soulever le ventre de peur, quelque chose qu'elle ne voulait pas voir et lui non plus. C'était là, sous leurs yeux. Le monde s'efforçait de le leur faire comprendre, avec leur propre sentiment ou avec son patronus et cet epouvantard. 

Mais ils étaient comme deux aveugles face à la lumière : il pouvait la discernait mais pas la voir et quelque part, ils s'y refusaient. C'était plus facile de faire comme-ci ce n'était pas là que de devoir l'affronter. C'était tellement bien quand ils se contentaient de laisser les choses se faire : pas de prise de tête, pas de promesse, pas de contrainte. 

Juste eux. 

Quand ils voulaient, où ils voulaient et s'ils voulaient. 

Mais dans les rares moments comme celui-ci, où le coeur prenait le dessus sur la raison, ou les choses devenaient beaucoup plus complexes, beaucoup plus concrètes; il était tellement plus difficile de se contenter de ce qu'ils avaient. 

Plus. 

Ca flottait entre eux. 

-    J'ai eu la bague. Murmura-t-elle, son nez contre le siens. 

Sirius esquissa un sourire, un vrai, ravi. 

-   Putain Mia parfois tu es vraiment.... 

Un sourire se dessina sur la visage d'Hermione. 

-   Vraiment quoi ? Sussura-t-elle. 

Sirius la regarda de près, avec son sourire en coin sur le visage. 

-   Vraiment impossible. 

Il resserra sa prise sur sa taille et embrassa sa joue en souriant. 

Hermione caressa ses cheveux, passant son doigt sur la blessure de sa tête. 

-   Qu'est-ce qui t'es arrivé ? Interrogea-t-elle avec un peu plus de sérieux. 

Le regard de Sirius se voilà, remplaçant la joie par une sorte...d'angoisse et de culpabilité. Elle se surprit à penser que c'était l'une des seules fois où elle le voyait aussi vulnérable, où son parfait masque d'abruti arrogant se fissurait pour laisser place à quelqu'un avec des sentiments et des faiblesses. 

Il recula doucement, s'adossa au mur derrière lui sans pour autant décrocher ses bras de ses hanches. 

-    Un truc merdique, vraiment merdique. 

Il passa sa main dans ses cheveux, regarda au loin un instant puis agrippa une mèche des siens pour s'occuper les mains.

-    Au début, quand l'ordre est arrivé, je gérais plutôt pas mal. Je... Je faisais en sorte de passer pour un mangemort sans pour autant m'en prendre à nos amis, j'ai même sauver les fesses de Fabian et Gidéon. J'avançais un peu au hasard, je ne savais pas très bien ce que je cherchais à faire : te rejoindre ? Aider l'ordre ? Ils étaient en sérieuse supériorité numérique, les choses se passaient bien pour eux, c'était du gâteau alors j'ai essayer de remonter la ruelle pour te rejoindre. 

Son visage se voila. 

-   Je...merde. 

Il fronça les sourcils et passa sa main sur son visage, il la regarda un instant puis souffla. 

-   Mon frère est un mangemort, tu le sais. 

-   Oui. Acquiesça Hermione. 

-   Les choses ont toujours, du plus longtemps que je me souvienne, était compliquée entre nous. Mais c'est mon frère et il a su être là pour moi quand j'ai eu besoin de lui, même si j'en suis le premier surpris. Alors... 

Il secoua de nouveau la tête. 

-   Il faut que tu comprennes que pour le monde entier, et surtout à Poudalrd, tout le monde pense qu'on se déteste cordialement. En encore, le mot est faible. Les seules personnes qui savent ce qu'il en ait vraiment, c'est Remus et James. Et James... james est un éternel optimiste, il a toujours cru qu'on arriverait à sauver Regulus. Il s'est toujours montré gentil, trop gentil avec lui pour un serpentard. Mais Reg' l'a toujours détesté. Je crois qu'il en était jaloux tu sais ? Parce que James c'est comme mon frère et que j'ai toujours était mille fois plus poche de lui que de mon vrai frère. Reg' a toujours détester se rendre compte de ça, que je n'étais pas quelqu'un de détestable mais qu'on lui avait simplement toujours appris à me détester. 

Hermione resta silencieuse, essaya presque de se faire oublier pour qu'il ne s'arrêta pas de parler. Sa voix était rauque, on sentait qu'il avait du mal à raconter tous ça. Sirius était secret, pas juste pour elle,  pour tout le monde. Elle avait eu beau chercher des informations, poser subtilement des questions, personne ne connaissait plus que le stricte nécessaire à son sujet : il détestait sa famille, il les avait quitté quand il avait 15 ans et il avait acheté un appartement avec l'héritage d'un de ses oncles. 

Quand à ses amis, le mot "tombe" n'était pas assez puissant pour les définir. Autant, ils se laissaient aller à quelques confidences sur sa vie personnelle, comme l'autre soir avec son histoire avec Mae mais quand ça touchait à sa vie de famille ou son enfance, ils étaient d'une loyauté sans faille. 

-    Lors de notre dernière année à Poudlard, les choses se sont un peu gâtés. Reg' était un Serpentard, bien sûr, mais... c'était mon frère et je ne sais pas, je n'ai jamais imaginé qu'il puisse être vraiment un mangemort, je pensais qu'il faisait en sorte de plaire à nos parents mais...j'ai toujours imaginé qu'il finirait toujours par me rejoindre, être du bon côté. 

Il souffla profondément, la culpabilité suintait à travers sa voix.

-    Quand on est arrivé en septième année, j'avais passé le meilleur été de ma vie mais ce n'était pas le cas de mon frère. De ce que j'en ai su, il a passé l'été avec ma cousine Bellatrix et son mari Rodolphus et il en est revenu métamorphosé : arrogant, méprisant et... complètement endoctriné. Un jour, avec James, on l'a vu s'en prendre à des nés-moldus dans un couloir un peu éloigné du sixième étages. James était Préfet en chef alors il n'a hésité une seconde a arrêté les choses. Moi, je suis resté là, à regarder mon frère agir comme tous ses monstres, comme toutes ces ordures de ma famille. 

Il cracha la dernière phrase avec tant de haine qu'elle comprit qu'une partie était destinée à lui-même : il s'en voulait, d'une manière ou d'une autre dans cette histoire. 

-   Les choses ont vite dégénéré. Il a suffit de quelques minutes pour que ça passe d'une réprimande d'un préfet sur un élève à un combat de coq pour savoir qui du bien ou du mal était le meilleur. 

Sirius avala difficilement. 

-   Les choses ont vraiment dérapé quand Regulus à lancer un sort qui a manqué d'ouvrir la carotide de James. Tu sais, il avait essayer de se maitriser, comme il faisait avec tous les petits cons qui venaient le chercher parce que c'était James Potter et que tout le monde voulez prouver qu'il était à sa hauteur.  Surtout, il était conscient que Regulus était plus jeune que lui mais ça, il ne l'a pas du tout admis : on peut se battre mais pas vraiment se blesser, pas vraiment se faire mal. 

Il secoua la tête, comme-ci il n'en revenait encore pas. 

-    Bref, James lui a mis la raclé de sa vie, littéralement, il était incapable de se relever alors que j'étais toujours planter là à le regarder. J'ai dis à James de partir et... 

Il s'arrêta, perdu une seconde dans ce souvenir qui semblait lui faire terriblement mal, elle avait l'impression de pouvoir lire la culpabilité sur son visage avec une sorte de dégout non dissimulé. Il finit par secouer la tête une seconde, jauger son regard à elle qui le scrutait puis il passa sa main dans ses cheveux. 

-    Enfin bref. Quand les mangemort sont arrivés, il m'a fallu une seconde pour repérer Regulus, une seconde de plus à James pour en faire de même. Et quand mon frère l'a vu, il n'a pas hésité. Il n'avait plus rien du garçon qui tremblait devant James il y a quelques années, il était sûr de lui, un truc un peu mortel dans les yeux. James n'a pas reculé une seconde lui non plus, j'imagine que de voir mon frère a du faire ressortir toute la haine qu'il me porte en ce moment. Je l'ai perdu de vu quelques minutes parce que Marlène était prise entre plusieurs mangemort et que Dorcas derrière elle était aussi en mauvaise position alors je suis allé les aider. Quand je suis revenu vers eux, j'ai bien cru qu'ils allaient s'entre-tuer. 

Elle vit sa gorge se serrer visiblement, le dépit dans ses yeux. 

-   Je ne savais pas quoi faire, si j'avais été moi-même, j'aurais dit à James d'arrêter et j'aurais pris les choses en main, je sais me battre contre mon frère, j'aurais su quoi faire pour limiter les dégâts. Mais il fallait que je tienne la couverture, je ne voulais pas foutre en l'air tous ce qu'on a entrepris. Alors j'ai fais la première chose qui me suis passée à l'esprit, j'ai fait sauter le mur à coté d'eux. Pour les déstabiliser. James verrait que les autres étaient en mauvaise passe et il laisserait tomber. Ca a marché. Ce que je n'avais pas prévu, c'est qu'il y est une bonbonne de gaz  juste à côté, dans la maison. Elle a explosé à retardement, James et Reg avait déjà foutu le camp. J'ai entendu l'explosion avant de la sentir, j'ai juste eu le temps de déployé un bouclier, je crois que ça a limité les dégâts mais ça n'a pas couvert le côté droit de mon corps. Quand ils ont entendu ça, les mangemort ont fuit alors je suis parti me cacher pour que les membres de l'ordre ne me trouve pas. 

Hermion caressa doucement son bras désormais intact mais qui une heure plus tôt était complètement cramé. Elle avait envie de dire quelque chose, ça lui brulait la gorge mais tout son corps lui hurlait que c'était une mauvaise idée. La gorge serrait, elle laissa tout de même sortir : 

-    Ton frère va revenir à la raison Sirius, je le sais. 

Sirius eut un rire de dépit en secouant la tête. 

-   Tu ne le connais même pas. 

Elle tendit la main vers lui et caressa sa joue. 

-    Mais je connais son frère et je sais que quelque part, il a toujours était un exemple pour lui. 

Sirius eut quand même un petit sourire. 

-    Tu t'improvises voyante toi maintenant ? 

Hermione répondit à son sourire en s'avançant vers lui. 

-   Je n'improvise jamais monsieur Black. 

Elle déposa doucement ses lèvres sur les siennes et il répondit avec un sourire en la serrant fort contre lui. 

Seul au monde, dans cette cave, ils leurs étaient si facile d'oublier que le monde n'avait pas arrêter de tourner et que la haut, sur terre, il attendait impatiemment d'être sauvé. 

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Dreamy 

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