Chapitre 13

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"Alors dit moi comment tu en es arrivé là ma fille ? Son père s'adossa au mur et croisa ses bras, Carma aimait son père mais elle n'aimait pas trop le ton qu'il prenait, elle souffla

- Je n'ai pas choisi, il est juste arriver des choses dans lesquelles je le suis retrouvé et par bonté d'âme j'ai aidé ces garçons, Galabin a juste semblait être là personne a suivre, malgré les apparences on est plus en sécurité avec que sans elle

-Je te fais confiance mais  elle ne me plait pas trop, c'est quoi son travaille déjà?

- Euh, elle est mercenaire, et Oui j'ai bien conscience des risque que je prends mais elle aussi est dans cette embrouille, alors je me dis qu'elle pourrait nous aider

- Tu es intéligente Carma, mais fais attention a toi, les personnes comme elle ne sont pas digne de confiance, elle a forcément un intérêt a vous aidé

-Je sais, c'est bien le problème...

Ils se tournèrent vers la cour et ne parlèrent plus. La veille Carma avait sauté dans les bras de ses parents, et Rosae s'était presque écroulé au sol, Orléans avait eu la présence d'ésprit de la rattrapé mais le garçon avait perdu connaissance, le mère de Carma s'était occupé de lui et était présentement a son chevet. Galabin avait décidé d'apprendre a Orléans a monté a cheval mais pour le momen ce n'était pas une réussite, les trois chevaux refusé plus ou moin de le laissé les guider. Carma resta appuyait ainsi jusqu'à que son père s'en aille, alors, elle se redressa et partit rejoindre la femme et l'apprenti, tout deux était en train d'essayé de calmer le dernier cheval sur lequels Orléans était monté, un cheval a la robe baie, les trois chevaux n'avait pas de nom, on les désignait par leur pelage, l'un baie, l'utre gris et le dernier noir comme un pie, et s'est ainsi qu'on les désigner.

Carma attrapa la bride du cheval d'une main experte et le calma, petit a petit le cheval arrêta de secoué sa tête et de rué :

"Qu'avez vous fait pour qu'il soit comme ça !?

- Rien ! pour une fois c'est pas ma faute

- Par les dieux Orléans, dit Carma en levant les yeux au ciel

Elle enntreprit de ramener le cheval a l'écurie avec les autres et quand elle revint Galabin avait recupéré trois batons, Carma ne demanda pas ce qu'elle compté en faire car elle avait devinait, la mercenaire aller leur apprendre a se battre avec une épée, ou du moins ce qui s'en rapprocher le plus dans l'immédiat.

Elle passa l'après midi avec Orléans et Galabin a agité les batons dans l'air et a répété des figure et des positions, sans réel harmonie, Orléans se découvra un talent certain pour l'épée, en tout cas c'était toujours mieux que l'équitation, dans laquelle il n'avait clairement aucun avenir se dit Carma, son esprit voulais d'ailleurs s'éxhappé car durant toute l'après midi elle fut très dissipé et Galabin lui fit remarqué plusieur fois avec une voix de plus en plus énervé, a la fin de la journée les deux apprentis avaient récolté chacun leur lot de bleu et d'égratinure, le père de Carma les envoya se lavé dans le ruisseau avant qu'ils ne commence a manger.
L'eau était vraiment froide, et deux grenouille les observèrent d'un oeil réprobateur, Orléans leur tira la langue et se passa de l'eau sur le visage, Carma souffla et partie dans la partie cacher par des plantes, elle enleva sa chemise et accrocha sa jupe par dessus ses genoues, après qu'elle se soit lavé elle appella Orléans il la rejoigna et rougie quand il vit sa jupe :

- Quoi ? tu n'a jamais vu des genoues ? elle sortit de l'eau et fit redessendre sa jupe, elle avait déjà remis sa chemise, il béguéïa quelque chose qu'elle n'entendie pas.

Ils rentrèrent a la ferme juste avant le coucher du soleil, et aidèrent les parents a mettre la table et finir de préparé le repas, on ne fis pas descendre Rosae, car la mère de Carma, qui avait été infiermiere il y a bien longtemps, avait dit qu'il ne fallait pas le faire bouger et le dérangé le moins possible, il fallait que sa blessure cicatrise et il fallait qu'elle cicatrise bien, personne n'avait discuté. Ce soir là ils mangèrent en silence, les trois réfugié était encore très fatigué et les parents n'engagèrent pas la conversation. Orléans et Carma se chargèrent de monté un bol de soupe et du pain a l'alité mais Galabin alla se coucher directement.
Quand ils entrèrent dans la chambre, une unique bougie éclairé la pièce, Rosae s'était endormis pendant qu'il lisait car un livrereposé contre sa poitrine a peine tenue par la main détendu du blessé, une odeur de plente et cire chaude régnée dans la pièce, la première du au onguents et au fleurs séché pendues a la fenètre et la deuxième due a la bougie qui gaspiller sa lumière. Rosae semblaie calme et en paie, et Carma se dit que c'était une bonne nouvelle, au moins sa blessure ne le faisait pas souffrire jusque dans son sommeil. Ils posèrent la gamelle et le pain sur une petite table de nuit débordante de bazard et Orléans récupéra d'une main experte le livre de la main du dormeur, sûrement entrainé a faire de même avec son défunt oncle, Carma moucha la bougie et ils sortirent le plus silencieusement possible car la parquet en vieux chêne craqué sous leur pas, Carma tira la porte et ils s'en furent dans leur chambre.
Ils dormaient dans la même pièce car la chambre d'ami servait désormé de chambre au blessé, alors sur leur bonne parole, les parents de Carma avaient accepté cet arangement. Carma dormait dans le lit et Orléans dans son sac de couchage sur le plancher froid. Il ne réussi d'ailleur pas a dormir cette nuit là, et Carma non plus apparement car elle se tourna bientôt vers lui et lui demanda a demi-chuchotement si il dormait :

-Non, pas plus que toi
-Ouai, j'arrive pas a dormir, ça te dit de parler un peu ?
-Bien sûr
-Dit moi Orléans tu a quel âge? tu semble plus jeune que moi
- J'ai passé l'âge d'homme il y a quelque mois, et toi ?
-17, juste un peu plus vieille que toi
-Et Rosae, a ton avi il a quel âge ?
-Je sais pas, mais il est plus vieux que nous, pour sûr
-Pour sûr; répéta Orléans pour lui même; Carma, esque tu as eu peur durant le voyage ?
-Quand ?
-Juste durant le voyage, eu peur de...je sais pas, des danger de la nature ou autre
-Oui j'ai eu peur, souvent, beaucoup plus que je ne pense l'avoué jamais, je pensais tout le temps a se qui arriveré si la garde du père de Rosae nous rattrapé, si les assassins revenaient, si un ours attaqué...
-Il y a des ours dan le coin ? Orléans bailla
- Je sais pas Orléans, je sais pas
-Ah
-Oui; Carma bougea et sortit des draps, elle s'assit sur le lit et invita Orléans a monté, le garçon la rejoignit a taton
-Qu'es que c'est que cette histoire? Lié par le destin, tu parle d'une malédiction !
-Oui, mais ça pourrai etre autre chose
-On pourrai aussi bien avoir tort
-Ou alors qu'on est pas aussi seuls qu'on en a l'impression
-Ou bien qu'on est aussi seul que d'apparence; déplora Carma
-Tu sais lire ? demanda soudainement Orléans
-Très mal, je déchifre plus que je ne lis, pourquoi ?
-C'est juste que je t'ai vu lire un journal l'autre nuit...
-Tu ne dormais pas ?
-Je venais de me réveillé en sursaut et je me suis presque rendormi immédiatement

Les deux insomniaque restèrent silencieux, tout deux réfléchissant.

-J'ai pas vu quelque chose qu'il fallait pas rassure moi

-Ne t'inquiète pas, c'est rien

Les deux discutèrent ainsi jusqu'à des heures tardive puis retournèrent chacun dans son propre lit et s'endormirent.

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