The retour Dragon Ball School

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(j'accepte des propositions pour les prochains titres XD)

Je cherchais partout et après une bonne vingtaines de minutes dans le froid, je le trouvas :

Moi: yes !!

Je le prit dans mes bras et je rentrai donc, tremper comme jamais :

Izabela: mais Suga t'es mouiller de la tête au pied !

Freezer: t'es passer à la machine à laver ou quoi ?!

Moi: *sarcasme* ha ha ha très drôle

J'allais vers Beerus :

Beerus: oula on t'a servi comme serpillière ?

Moi: ta gueule !!!

Je lui lançais donc ce qu'il y avait dans mes bras :

Beerus: c'est quoi ?

Moi: regarde au mieux de parler

Beerus: *ouvre* oh c'est le déjeuner que tu m'as promis, malgré que ... c'est mouiller et froid

J'étais un peu colère par sa réaction :

Moi: tant pis, si tu ne veux pas le bouffer, je m'en fous

Et me barra :

Kusu: elle a comme même galérer à faire tous ça

Il réfléchit longuement et quelques minutes plus tard :

Beerus: eh toi !

Moi: toi à un prénom

Il me lança la boîte :

Moi: tu as tout manger ?

Beerus: ouais c'était délicieux

Moi: merci ...

Beerus: mais ce n'est pas moi qui va nettoyer

Moi: je ne suis pas ta boniche !!!! a-atchoum !!!

Izabela: ta un rhum ?

Misako: fait gaffe tu peux attraper une fièvre

Moi: ne vous inquiétez pas, j'ai jamais été malade sauf pour faire semblant

Mojito: donc quand ta eu la grippe et ect, c'était faux ?!

Mes sœurs et frères: *me fusille du regard*

Moi: ...

Soudain on avait même pas entendus une bagarre à l'autre bout de la salle entre Brianne et Misako :

Daishinkan: oh !!! On va se calmez !!

Misako: je vais te-

On a presque jamais vue Misako comme ça, on se demandait vraiment ce qu'elle a dû lui dire pour l'énerver :

Brianne: c'est cette cruche qui m'est sauter dessus !

Misako: c'est absurde !

Daishinkan: tous les deux dans mon bureau

Ils partirent :

Merlin: bon vue l'orage, les cours seront suspendue jusqu'à demain, j'ai appelé vos parents pour qu'ils viennent vous cherchez

Les externes partirent :

Merlin: bon les internes chacun iront dans leur dortoirs

On alla entrer dans le dortoir et on vit le visage inquiet d'Izabela :

Moi: t'inquiète elle va s'en sortir, je paris même qu'elle aurait gagner contre cette sorcière

Elle rigola un peu et soudainement on entendit la porte s'ouvrir:

Misako: salut

Izabela: alors ?

Misako: il a juste mis un mot dans mon carnet

C-15: ce n'est pas grave

Misako: sauf que j'ai jamais été gronder par le daishinkan...

Tout le monde l'a réconforté :

Moi: *dans mon coin* écoute ce n'est pas parce qu'il t'a mis un mot dans ton carnet, qu'il ne t'aime plus

Misako: c'est.... c'est surprenant que tu dises ça

Soudain un éclair passa et des cris se fit entendre :

Certaines d'entre eux: c'est-c'est pas moi

Moi: c'est juste des éclairs

Castanea: oui pour toi c'est facile

Moi: *soupir* bon alors profitons de cet situation pour ... *éteins la lumière* raconter des histoires qui font peur~

Mimi: oh je veux en raconter une !

Les autres: on veut s'en aller

Moi: j'ai fermer la porte

On se mit en ronde dans une chambre dans le noir avec une seule lampe :

(bon dsl l'histoire est un peu long)

Moi: alors je vais vous racontez l'histoire Dans un internat anglais prés de Manchester, les étudiants se préparé à rentrer chez eux ou à passer noël à la résidence. Tout le monde étaient joyeux et attendaient noël avec impatience. Les habitudes ne changées pas avec les cours en moins. Les "grands" organiser des activités pour les plus jeunes ou faisait des randonnées dans le parc de l'internat. Le soir des veillées étaient accoutumées aux vacances et plus particulièrement aux vacances de noël. Mais même si les vacances de noël étaient faite de guettais et de joies certaines personnes n'étaient pas gentille avec tout le monde et même plus particulièrement avec une personne. Un garçon chétif petit de taille craintif et surtout très naïf personne ne mérite ça et encore moins pendants les vacances les plus belles de l'année. Presque tout le monde ce moqué de lui à cause de sa couleur de cheveux et de ses lunettes. Le pauvre garçon était roux et porté des lunettes roses que lui avaient choisi ses parents à cause du prix, mas ces lunettes ne lui servaient plus à grand chose puisque il n'y voyait plus rien depuis très longtemps. Les surveillant étant les préfets de chaque maison (les écoles anglaise sont diviser en plusieurs maison) donc étant aussi des élèves ils ne bougeaient pas quand il avait des ennuies. Le garçon est en perpétuel stress et accumule des troubles obsessionnels compulsifs qui ne l'avantagent pas plus que sont apparence. Le plus étrange dans sont comportement est qu'il se parle lorsqu'il est dans un coin, puis roule de l'œil pour être attaquer par une crise d'épilepsie (perte de connaissance avec contraction frénétique des muscles du corps comme si on était procédé par un être inhumain. Après la crise passer il partait se coucher et on l'entendait hurler à la mort dans sont sommeil comme si on l'égorgé vif dans sont sommeil. Imaginez vous dans votre sommeil qu'une main vienne vous prendre une épaule et une lame froide qui se glisse dans votre gorge lentement pour vous faire voir la mort arrivé pats à pats et vous envelopper de sot voile blanc. Cet enfant enfin cet adolescent vivait ça dans son sommeil sans pouvoir ce réveiller en vivant cet horreur seconde par seconde chaque nuit. Beaucoup de personne deviendrait vite fou. Ce garçon n'a presque plus de cœur ni de pitié pour ses camarades il devenait froid hostile même en vers les quelques professeur qui était resté.
Noël approché et le garçon ne se montré plus beaucoup il restait enfermé dans sa chambre qui, même si c'était un petit dortoir, rester souvent vide et sans activité. Le soir il sortait du dortoir et aller à la cuisine puis revenais, ses camarades de chambre eux ce moquaient encore plus du garçon, les remarques était de plus en plus blessante et le garçon lui devenait un glacier plus rien ne pouvait réchauffer son cœur. Enfin arriva le 24 décembre tout le monde était à la fête au préparatif sauf le garçon mais contrairement à d'habitude il se promena dans les cuisines fasciné par les ustensiles argenté. Les lames aiguisées comme des rasoirs, pendant au dessus du plan de travail ce balancées doucement avec les petits courants d'air qui venaient par çi par là et les faisaient entrechoquer les lames qui émettaient de petit titillements. Puis tout d'un coup le plus long couteau sortit de son croché et fendit pour ce planter dans le plan avec un bruit net sec et précis. Le garçon resta les yeux fixés sur la lame. Puis une voix se fit entendre de l'autre côté de la cuisine. C'était le cuisinier, mais le garçon s'enfuit. Le cuisinier était arrivé de bon heure pour préparer le repas de noël, les dindes étaient arrivées il fallait les farcir et les faire cuir ce qui prenne beaucoup de temps. On ne revit plus le garçon de l'après midi. Le repas arrivât et les enfants se réunirent à table. L'enfant ce retrouvât au bout de la table comme d'habitude mais les autres autour de lui ne s'arrêtèrent pas de se moquer de lui, de le charrier ils étaient vraiment cruelle avec lui ne lui laissant jamais profité de la guettée du repas. Le garçon ne pris même pas de la bûche de noël il était partit en courant dans le dortoir tout en hurlant et pleurant. Tout le monde à ris même les professeurs et les surveillants. Il se réfugiât dans son lit. Mais son cœur se refroidit pour de bon il se rétractât, s'asséchât, il ne ressentait plus que de la haine envers tout le monde, il se haïssait lui même ses parents le monde entier.
Les enfants après la veiller ires vite au lit pour s'endormir avant les douze coups de minuit. Tout le monde s'endormirent, tous, non le garçon lui était toujours réveiller avec cette haine qui lui terrasser le ventre une haine qu'il faut assouvir au plus vite mais qu'il faut savourer. Minuit commença à sonner au clocher de l'internat puis au douzième coup une lame argenté s'abattit sur la gorge d'un enfant de la chambre puis un autre au cœur. Un autre enfant se fit éventré et égorgé pour éviter les cris, puis un troisième se vit enfoncer la lame dans la bouche lui cassât une dent lui coupant la langue et s'abattit au fond de sa gorge un petit cri se fit entendre et deux coup lui transpercèrent les poumons. Le dernier de la chambre fut égorgé et eu les yeux crevé puis arraché avec le bout de la lame. Une lame qui l'avait nourrit durant son internat, la lame du cuisinier un coup long mais léger que le garçon maltraité s'emparât l'après midi avant que le cuisinier le remarque. La seule personne étant encore vivante était ce dernier il était couvert de sang et tenait toujours l'arme des crimes dans la main. Mais il ne décidât pas de s'arrêter là il était décidé d'aller plus loin comme si tout le mal de la terre était venu en lui, il prit les corps les traînât aux milieux de la chambre puis commençât à découper leur membre il mit les bras droit d'un côté les gauches de l'autre puis les jambes ou il suivit le même procédé. Il prit les têtes les faisant rouler sur le sol comme des ballons. Puis il commençât une partie de lego humain il assemblât une tête sur un corps avec un bras d'une autre personne il échanger les jambes et les bras s'amusant à leur donner des noms différent à chaque fois plutôt des surnoms dont ils s'amusaient de lui donner des surnoms humiliant. L'horreur ne s'arrêta pas là il voulait que tout les élèves voient ça. Il alla dans chaque chambre et déposât un membre ou une tête au milieu de chaque pièce pour qu'a leur réveil ils voient leur camarade en charpie il mit une tête dans la chambre des surveillant et un corps sans membre ni tête dans celle des professeurs. Imaginez vous vous réveillant le matin de noël avec un morceau de corps ensanglanté dans votre chambre ou sur votre lit à peine réveillé imaginez-vous l'effroi que vous auriez.
L'enfant sortit et alla dans les bois sous la pluie, le couteau sanglant toujours dans la main il trouva un arbre ou s'abriter et attendit. Il voulait entendre les hurlements des enfants se réveiller avec leur morceau de corps devant le nez. 6h00 un cri retentit puis l'internat entier hurla un cri effroyable montant des murs sortant des cheminées. Le garçon sourit puis partit en s'enfonçant dans la forêt. Plus personne ne le revis et certain crois encore qu'il pourrait roder au alentour de l'internat... Mais attendez REGARDEZ DERIERE VOUS IL EST LAAAAAAAAAAAAAAAAA.

Tout le monde regardèrent derrière eux, soudain un éclair passa et on vit un petit homme près de la porte, tout le monde hurlèrent de terreur, il y avait même quelqu'un qui a lancer son cahier en pleine face :

Daishinkan: *allume la lumière* c'est juste moi !

Moi: ha ha ha !!! Vous devrez voir vos têtes !

Izabela: ce n'est pas drôle !

Fullmoon: on allait faire une crise cardiaque !

Moi: oh c'est bon !

Daishinkan: allez tout le monde du calme !

Il réconforta Misako en lui disant des mots doux:

Moi: arrgh l'amour me fait vomir

L'après midi passait, on vit Brianne arrivait telle un taureau, oh mince j'avais oublier qu'elle dormait ici ... :

Moi: je pourrais faire comme dans l'histoire et la tuer ?

Dragonne: je veux le faire

Misako: sincèrement je suis pour

Brianne: alors toi ! Astelle !!

Astelle: yes it's my (Mario dsl XD)

Brianne: c'est toi qui a rapporter à mon daishinkan ce que j'ai dit à Misako ?

Misako: TON daishinkan ?!

Astelle: oui

Brianne: j'ai failli être virer !

Astelle: sa nous fera des vacances

Brianne: espèce d'idiote

Elle allait lui donner un coup de poing, mais elle l'arrêta :

Izabela: faut les arrêter !

Moi: laisse, Astelle est bien plus forte que tu le crois ...

Olga: même ! Il est interdit de se battre

Moi: oh juste CHUT !

Brianne donner des coups poings et pieds, mais Astelle esquivait :

Moi: j'ai l'impression, qu'elle se bat avec une cruche

Astelle: finit de jouer c'est l'heure de la sieste

Et elle l'assomma contre le mur :

Tout le monde: *applaudi*

Astelle: merci merci !

Moi: qu'est ce que je disais

Soudainement Brianne se leva avec un regard rempli de haine et allait frapper Astelle de dos comme jamais :

Moi: shit !

Je me plaçais rapidement derrière elle et je me pris donc le coup à sa place :

Astelle: *se retourne* Suga !?

je sentis un liquide couler :

Moi: tss

Je pris son poignet et le tordait, en la faisant crier de douleur comme jamais :

Olga: Suga arrête !

Izabela: stop !!

Mimi: vas-y continue !

Tout le monde: elle va finir en prison...

Mimi: elle peut s'évader

Et je lui donnais un coup de genoux au ventre et cette fois-ci elle s'accroupit :

Moi: si tu la frappes encore, je te nique ta r**** piger ?!

Dragonne: brutal !

Tout le monde: ne jamais énerver Suga, leçon retenue

Astelle: tu vas bien ?

Moi: ouais

Castanea: tu rigoles ta un bleu et tu saignes énormément du nez

Je pris un mouchoir pour arrêter le saignement :

Moi: je vais bien

Astelle: je suis désoler

Moi: ce n'est pas de ta faute

Astelle: j'ai du être plus attentif ...

Moi: mais non t'inquiète je-atchoum ! Argh

Du sang au sol, nickel :

Moi: c'est pas moi qui nettoie

Izabela: on commence vraiment à s'inquiéter

Moi: je ne suis pas malade ! Je vais peut-être aller me coucher, peut-être que sa ira

Castanea: prend sa, c'est une pommade pour ton bleu

Moi: merci

J'allais dormir et je me mis la pommade :

Moi: aïe !

Puis après des minutes je finis par dormir.

PDV Beerus :

On entendit comme des cris au dortoir des filles :

Vermoud: on pari combien que c'est Suga qui fait peur aux filles ?

Freezer: sérieux pourquoi avoir peur des éclairs ?

Un tonnerre passa, il cria comme une meuf :

Cell: tu as dit ?

Freezer: tg

Beerus: j'ai faim

Thales: j'suis sur que tu penses à elle ?

Beerus: à qui ?

Thales: la p'tite délinquante

Beerus: Suga ? Nan et à quoi s'est en rapport avec la bouffe

Il me regarda longuement avant que je comprenne :

Beerus: t'es dingue ou quoi ?! Je ne vais pas la-enfin voilà !

Champa: le petit chaton est amoureux

Beerus: commence pas toi et m'appelle « petit chaton »

Champa: alors pourquoi tu la laisses faire ?

Beerus: tait toi le gros

Champa: tait toi, toi même

Shin: je vous conseille de vous calmez (sous délégué de la classe 7)

Les gars: on ne t'a pas sonner

Les embrouilles commençaient :

Daishinkan: *rentre* qu'est ce qui se passe ici ?!

Tout le monde se taisait et finit par être tendu et silencieux :

Beerus: rien on-on

Vermoud: on discutait

Daishinkan: de ?

Shin: les préparatifs du festival !

Tout le monde: *le fusille*

Shin: j'ai du me taire ...

Daishinkan: en parlant de ça, vous avez intérêt à ne pas faire le bordel, sinon vous assumerez les conséquences ...

Champa: quoi comme conséquences ?

Daishinkan: vous devrez être habiller en fille et vous vous montrez devant tout le monde

Les gars: *se fige*

Daishinkan: bonne après-midi

Et il partit :

Beerus: oh la galère !

Vermoud: je ne tiens pas à souiller ma réputation !

PDV Moi :

Je me réveillais et regardai instinctivement l'horloge:

Moi: aie ! 20h

Ah la la ... je décidais d'aller voir les autres mais en ayant plus de force, j'abandonnais.
Une heure passait je devinais que les filles étaient enfin rentrer :

Astelle: Suga je t'ai pris à bouffer

Moi: je n'ai pas faim

Soudain le bruit qu'une casserole qui tomba, TOUUUUT le monde arriva :

Izabela: elle va bien ?

Dragonne: faut peut-être appeler un médecin ?

Mimi: si elle meurt on fait quoi ?

Castanea: j'ai fais une potion au cas où !

Astelle: elle est souffrante ?

Moi: oh du calme, du calme !!! C'est juste... que je n'ai pas faim, peut-être que demain j'aurai récupérer mon appétit

Mais malheureusement au matin :

Mimi: alors la nuit à porter son fruit ?

Moi: tu veux vraiment savoir ?! Dragonne et Thales n'arrêteront pas de crier de plaisir, juste à coter de ma chambre tant que je ne serai pas sourde !

Dragonne: bah au moins ta dormi

Moi: j'ai l'air d'avoir dormi ?! Mes cernes se voient tellement fort qu'on pourrait me confondre avec un zombie !

Je n'avais toujours pas faim et j'avais si sommeil.
J'ai donc voulue sécher les cours pour récupérer mes heures de sommeil, mais comme vous avez devinez :

Daishinkan: revient ici !!

Moi: jamais !!

Daishinkan: Punaise !!

Je fis un dérapage :

Moi: oula !!

Zut j'ai du prendre l'ascenseur et pas l'escalier :

Daishinkan: rend toi !

Moi: dans tes rêves !!

Arriver à la terrasse plus aucune issue :

Daishinkan: tu es fait comme un rat !

PDV Daishinkan :

Elle a maintenant plus aucune issue ! Que vas-tu faire maintenant ?
Soudain je la vis s'écrouler, par panique j'allais la voir :

Daishinkan: hey !! Tu vas bien ?

Elle ne répondit pas.

PDV Moi:

J'ouvris mes yeux, il sursauta, je baissai son pantalon en faisant voir son caleçon et partit :

Moi: c'était une feinte idiot !

Je déboulais des escaliers et courus dans les couloirs quand soudain ma vue se fit floue, mes forces m'abandonnaient petit à petit :

Moi: oh bordel reprend toi !

J'entendis hurler derrière moi et m'écroulais pour de vrai.

PDV Daishinkan :

Elle va même le payer, je remontais vite fait mon bas et partit à sa trousse :

Daishinkan: SUGA !!!!

Mais elle courut très lentement, puis elle tomba à genoux et retomba :

Daishinkan: tu ne m'auras pas cette fois

Je m'approchais d'elle, mais elle ne réagissait pas :

Daishinkan: alors ?

Toujours rien :

Daishinkan: hey ?

Je m'accroupis :

Daishinkan: je crois que ce n'est pas une blague

Je vérifies si elle respirait et en ai fait, son front était brûlant :

Daishinkan: mince

Soudain je vis Beerus à l'autre bout :

Daishinkan: Beerus peux-tu venir m'aider s'il te plaît

Il vint sans discuter.

PDV Beerus :

Je voyais Suga s'écrouler et le directeur qui était à ses côtés, il me dit de venir, c'est ce que je fis :

Daishinkan: porte la, tu veux bien

J'hochai la tête, je la portais dans mes bras et elle était brûlante, je mis ma veste sur elle et suivis le directeur jusqu'à l'infirmerie :

Daishinkan: alors ?

L'infirmier: elle a attraper une fièvre et un rhume

Daishinkan: je demanderai à Vados de l'emmener à la maison

Beerus: vous voulez que je le fasse ?

Daishinkan: non ce n'est pas la peine, vous vous allez en classe

Je fis alors ce qu'il me dit, en regardant Suga une dernière fois.

PDV Moi :

J'ouvris mes yeux et vis que j'étais dans une voiture :

Vados: salut

Moi: on est où ?

Vados: dans la voiture

Moi: rassure moi, ce n'est pas toi qui conduit ?

Vados: non c'est notre chauffeur

Moi: ouf

Je sentis une odeur familière, je regardais qu'est ce qu'il y avait sur moi et je vis la veste de Beerus :

Vados: on est arriver

Elle m'aida à me relever :

Moi: ta fait comment, pour me mettre dans la voiture ?

~Time Back~

Vados et Whis: *me porte*

Whis: allez encore un effort

Vados: elle a manger un lion où quoi ?!

Whis: on a dû demander à Korn de nous aider

Vados: oui

Whis: allez on la met dans la voiture

Mais ils me font tomber contre la portière :

Whis: Vados !

Vados: je n'ai rien c'est de ta faute !

Whis: ma faute ?!

Kusu: dépêchez-vous de la mettre dans le véhicule, sinon je vais me mettre en colère !

Les deux: oui oui

~Now~

Vados: on a un peu galérer ...

Elle m'emmena dans ma chambre, me mit au lit et dis :

Vados: je dois y aller, Korn, Mojito et Marcarita arriveront bientôt

Moi: ok travaille bien

Et elle partit, je sentis la veste de Beerus avant de m'en rendre compte ce que je faisais :

Moi: qu'est ce que je fous ?! Sérieux ?!

Le soir

Daishinkan: *rentre* ta ranger ton lit ?

Moi: *moitié endormie* non j'ai pas manger mon lit

Daishinkan: non j'ai dis as-tu RANGER ton lit ?!

Moi: oui oui pas la peine de gueuler atchoum !

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( fini ! Dans cette histoire personne n'est immortelle ou autre avec de la magie, à par pour la chimie)

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