[Titre complet "Chapitre17 :un humain est quelque chose qui monte et descend avec le temps moncher"]

TW : Mention d'automutilation, deadname (léger), mention d'overdose et de suicide (léger) 

Wilbur n'avait jamais été religieux. Non, c'était un mensonge. Il avait été élevé chrétien. Il ne se souvenait plus de quelle branche maintenant, il était trop jeune. Il n'était pas chrétien, il le savait. Il croyait en Dieu, cependant. Il croyait aux anges. Il ne croyait pas en Jésus, mais il croyait en l'enfer.

Il avait des idées sur Dieu. Idées que Dieu était une rose des vents, huit points. Huit de son côté était l'infini, et Dieu était l'infini. Dieu était amour, haine, souffrance et bonté.

Wilbur savait qu'il était un ange. Il n'en a jamais parlé, n'en a jamais parlé à haute voix, mais dans le sous-sol d'une église entouré d'autres, il savait qu'il était différent. Il savait qu'il était plus proche de Dieu que n'importe lequel d'entre eux.

« Victoria, voulez-vous me parler de quelque chose ? »

Il savait qu'il ressentait en lui la colère de Dieu dans son feu sacré.

"Je m'appelle Wilbur."

"Oh ! D'accord, désolé. Wilbur, aimeriez-vous me parler ? »

Wilbur bougea sur son siège. Ils s'assirent en cercle, descendirent le chemin et se présentèrent puis expliquèrent pourquoi ils étaient là. C'était sa première rencontre. Cela avait un goût de cendre de cigarette sur sa langue.

« Et pourquoi êtes-vous ici, Wilbur Soot ?

Wilbur tourna la tête sur le côté. « Je... euh... j'ai fait une overdose de Xanax. Et avant ça, je, euh, je faisais... » il ne pouvait pas le dire, « je faisais d'autres trucs.

« Qu'entendez-vous par d'autres trucs ? »

Il sentit la colère de Dieu brûler dans ses veines.

"...je buvais. Beaucoup."

« Merci d'avoir partager cela avec nous, Wilbur. Melody, aimeriez-vous aussi nous parler de vous ? »

Wilbur s'arrêta de prêter attention à la situation. Ses yeux parcoururent la pièce. Sols en béton fissuré, plafonniers bon marché, murs en panneaux de bois qui semblaient tout droit sortis des années 70. Il y avait des crucifix sur chaque mur. Certains bois, argent, et cetera. Celui qui attira son attention était doré. Mince, avec les petites choses pointues à chacune des quatre extrémités. Il pouvait sentir les yeux aveugles de Dieu le regarder à travers cela.

"Je vais bien putain, ça n'a pas d'importance !" Wilbur claqua la portière de la voiture et s'est précipité vers la maison.

«Wilbur Soot ! » cria Phil, d'un ton dur et sérieux.

Wilbur s'arrêta net. Il se tourna, regarda son père, le cœur battant à toute vitesse au changement soudain d'attitude.

« Wilbur », Phil s'avança vers lui, « Je m'en fiche si tu me cries dessus. Je m'en fiche si tu m'insultes, d'accord ? Mais tu ne ramène pas ça à l'intérieur de la maison. Tu ne remettra pas ça sur tes frères. D'accord ?"

Wilbur détourna le regard. « Je n'allais pas le faire », a-t-il insisté.

"Vraiment ? Et si Techno était dans la cuisine en ce moment ? Et s'il te demandait comment ça s'est passé ? Comment réagirai-tu ? »

Wilbur sentit les yeux de Phil posés sur lui, une honte brûlante planer au-dessus de sa tête.
"D'accord. Je suis désolé."

"Merci, Wilbur", soupira Phil. « As-tu pris tes médicaments ? »

Wilbur se tendit et fixa le béton en dessous de lui. "Oui."

Phil haussa un sourcil. « L'as-tu vraiment fais, Wilbur ? »

"Oui ! J'ai dit oui, d'accord ?

Phil le fixa encore un instant, puis déverrouilla la porte et entra. Il enleva ses chaussures et ferma la porte derrière eux, puis se dirigea vers l'étage. Le cœur de Wilbur se serra lorsqu'il réalisa où il allait. Wilbur s'est précipité devant lui et a bloqué la porte de sa chambre avec son corps.

« Wilbur ».

"C'est bon, Phil."

« Laisse-moi entrer dans ta chambre. »

"Je les ai pris."

« Laisse-moi regarder, alors. Il ne devrait y avoir aucun problème si tu dis la vérité.

« Je les ai pris, Phil, je le jure.

« Alors laisse-moi entrer. Le flacon devrait être presque vide maintenant, n'est-ce pas ? »

"Phil, s'il te plaît."

« Wilbur, tu n'iras pas mieux si tu ne prends pas tes médicaments ! Dois-je commencer à te regarder les prendre ?!"

"Non ! Phil, s'il te plaît, c'est bon ! Je n'en ai pas besoin !

« Tu en as besoin, Wilbur ! Tu fais du mal aux gens, tu dois changer ! cria Phil.

Wilbur le fixa, les larmes lui brûlant les yeux. "Je-je n'essaie pas de blesser les gens."

Phil soupira. — Je sais, Wilbur. Je sais." Il passa une main dans ses cheveux. « Écoute, ce soir, avant d'aller me coucher, je viendrai dans ta chambre et nous prendrons nos médicaments ensemble. D'accord ? J'ai besoin que tu t'aides, Wilbur. S'il te plaît. Sinon pour moi, sinon pour toi, pour Tommy et Techno.

Il ravala la boule dans sa gorge et hocha la tête. "D'accord", marmonna-t-il.

« Merci », répondit Phil, soupirant et se dirigeant vers sa propre chambre.

Wilbur le regarda partir, puis entra dans sa chambre.

On frappa à sa porte, fort et vite. Tommy.

"Quoi ?" Appela Wilbur de son lit.

« Peux-tu me conduire chez Tubbo ? » Appela Tommy.

«Demande à Phil de t'y conduire », Cria Wilbur en retour.

"Il est occupé. Peux tu m'y conduire ?

Wilbur gémit et laissa tomber sa tête contre le mur. "Très bien, donne-moi une seconde." Il se redressa et enfila son binder et un pull blanc.
"Allons-y." dit-il en ouvrant la porte.

« Vous sortez tous les deux ? » Techno est apparu à sa porte, jetant un coup d'œil.

Tommy se renfrogna visiblement. « Il me dépose chez Tubbo.

« Puis-je venir ? »

"Non."

Wilbur baissa les yeux sur Tommy. « Quel est ton problème avec Techno tout à coup ? »

Tommy détourna le regard et croisa les bras. "Allons-y."

Il regarda encore un instant. « Non vraiment, que se passe-t-il ? Que s'est-il passé entre vous ?

Il y eut un moment de silence. Ses frères regardaient tous les deux le sol, les yeux de Wilbur passant entre eux.

"Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Dis-moi !"

« Il t'as presque tué. Tommy grogna, sa voix se brisa.

« Je sais, Tommy ! Je sais, tu ne penses pas que je suis désolé ?!"

« Tu n'agis pas comme si c'était le cas ! »

"Attendez ! Arrêtez, arrêtez, tous les deux ! Wilbur tendit les mains. "Comment ça putain, Techno a-t-il failli me tuer ?"

Ses frères le regardèrent alors. En même temps,
« Il t'a donné les médicaments » et
« Je t'ai donné le Xanax ».

Wilbur cligna des yeux en essayant de comprendre cela. Il s'appuya contre le mur du couloir, se frottant les yeux et gémissant.
« Est-ce que vous êtes si stupides ? »

"Quoi ?! Qu'est-ce que ça veut dire, salope ?!"

« Qu'est-ce que tu veux dire par là ? »

Wilbur souffla un rire vide. "Je n'ai pas putain- Techno ne m'a pas donné le Xanax volontairement ! Je l'ai fait chanter, Tommy ! Je l'ai manipulé ! J'ai dit que s'il ne me le donnait pas, je dirais à papa qu'il se coup-" Wilbur se figea et plaqua une main sur sa bouche.

Tommy le regarda. "Quoi ? Se coupe?" Il regarda Techno, "Comme se couper la peau ?"

Les yeux de Techno étaient fixés sur Wilbur. Ses poings étaient serrés contre lui.

Wilbur lui rendit son regard, les yeux écarquillés. Il avait déjà vu cette expression.

Il sentit l'impact avant de voir Techno swing.

« Aïe, putain, Techno ! » s'écria Wilbur en lui tenant la joue. Il était déjà meurtri à l'endroit où Schlatt l'avait frappé, et la douleur coulait dans ses veines comme de l'or.

« Tu devais le dire à Tommy ? Putain de Tommy ?! Il ne m'aime déjà pas, Wilbur ! Qu'est ce qui ne vas pas chez toi?!" cria Techno en poussant son frère.

"Hey !" Les têtes des trois fouettaient jusqu'au bout du couloir.
« Arrête de toucher à ton frère, maintenant ! » Ordonna Phil.

Techno s'est vite obligé, tous s'éloignant les uns des autres.

Phil inspira profondément.
"Ne vous battez pas. Dans ma maison."

Un battement passa, les trois silencieux comme la nuit.

"Désolé", marmonna Techno.

"Ouais, désolé", Wilbur a emboîté le pas.

"Je ne me battais pas, c'était juste eux." dit Tommy en bombant le torse comme s'il était fier.

Phil se pince l'arête du nez. "Qu'est-ce qui se passe ? Techno, pourquoi l'as-tu poussé ?

"Il m'a frappé aussi."

« Tu l'as frappé ?! Techno, il est à peine sorti de l'hôpital depuis une semaine !

"Ouais, je suis à peine sorti de l'hôpital depuis une semaine, Techno", l'encouragea Wilbur.

« Wilbur ». Phil le fixa du regard.

"Pardon."

"Dis moi ce qui se passe. Pourquoi vous battiez-vous ?

Un autre battement passa. Quand personne ne parla, Phil soupira.

"Eh bien, j'ai dit que Techno l'avait presque tué parce qu'il lui avait donné la drogue, puis Wilbur a dit qu'il l'avait manipulé pour lui donner la drogue parce qu'il allait vous dire qu'il se coupait la peau." Tommy a gentiment répondu, gagnant deux regards de ses frères.

« D'accord, je sais déjà que tu coupais, pourquoi est-ce que tu l'as poussé à le frapper ? » demanda Phil en regardant Techno.

Techno fixait le tapis, les mains tremblantes.
"Je ne voulais pas que Tommy le sache."

Phil soupira : « D'accord. Wilbur, excuses-toi.

Wilbur bougea inconfortablement.

« Wilbur ».

« Je suis désolé », marmonna Wilbur, « Ça m'a échapper. Je ne voulais pas.

"... d'accord", marmonna Techno.

"Bien. Maintenant Techno, excuses-toi auprès de Wilbur.

"Je suis désolé de t'avoir frappé, Wilbur." dit Techno.

"...Merci."

« Là, maintenant le problème est résolu. D'accord ? Bien. Je dois retourner travailler, pouvez-vous tous les trois vous abstenir de vous entre-tuer jusqu'au dîner ? » Soupira Phil.

"Ouais, j'étais sur le point de conduire Tommy chez Tubbo, en fait." dit Wilbur en tirant sur son bonnet.

« Oh, d'accord, ce serait bien. Conduit prudemment." dit Phil, puis il se retourna et retourna dans sa chambre au bout du couloir.

Les trois restèrent silencieux un moment.

« Alors, puis-je venir ? » Demanda Techno.

"Ouais, bien sûr." dit Wilbur. "Mets des vêtements convenables, on peut aller au centre commercial ou quelque chose du genre."

"Oh vraiment ?"

« Ouais, je veux dire, tu veux sortir de la maison, n'est-ce pas ? Je t'emmène au centre commercial. Je suis sûr que Phil ne s'en souciera pas tant que c'est moi, puisque je suis la raison pour laquelle tu es puni.

"Oh d'accord. Merci, Wil. Techno offrit un petit sourire et retourna dans sa chambre, fermant la porte derrière lui.

« Ne dis rien. Je me fiche que tu sois en colère contre lui, je suis celui qu'il a blessé et je lui pardonne. dit Wilbur, fixant Tommy du regard.

"Je ne vous comprends pas, les gars", marmonna Tommy, croisant les bras et s'appuyant contre le mur.

"Que veux-tu dire ?"

"Il t'a cassé le nez et t'a presque fait tuer, pourquoi lui pardonnes-tu ?"

«Il m'a cassé le nez parce que j'étais un con avec toi, et le truc avec Xanax n'était pas de sa faute. Il est dans une passe sombre. Les gens... les gens deviennent méchants quand il fait trop sombre.

Tommy le regarda. "Pourquoi ?"

"Pourquoi quoi ?"

« Pourquoi les gens deviennent méchants quand il fait noir ? »

proie. Nous ne pouvons pas voir à travers l'obscurité, alors nous tendons la main. Parfois, nous paniquons, nous désespérons et nous blessons les gens. Ce n'est pas intentionnel. C'est une façon de demander de l'aide.

Tommy le fixa encore un instant. « Tu es vraiment prétentieux, est-ce que quelqu'un t'a déjà dit ça ?

"Alors pourquoi tu te coupes ?" demanda Tommy.

Techno se figea et Wilbur s'étouffa avec sa propre salive.

« Putain de merde, Tommy, tu ne peux pas demander ça ! dit Wilbur en toussant dans son coude.

"Oh... désolé", marmonna Tommy, se rétrécissant sur la banquette arrière.

« C'est bon, tu ne le savais pas. » Techno soupira, passant une main sur son visage. Il prit une seconde pour reprendre ses esprits.
« Si je te le dis, tu me promet de ne jamais le faire ? »

Tommy bougea sur son siège. "Oui, je te le promets."

"Ça aide. Ça fait du bien, comme une libération. Comme si j'avais toutes ces mauvaises choses à l'intérieur de moi, et- et ça sort. Expliqua Techno.

Tommy fredonna en guise de remerciement. "D'accord. Vas-tu arrêter ?"

Techno ravala une boule dans sa gorge. "Oui je vais le faire."

« Alors se couper, ça fait du bien ? » demanda Wilbur en sirotant son boba.

"Ne commences pas à te couper." Techno lança un regard noir à son frère.

"Je ne vais pas le faire ! J'ai juste- je comprends ce que tu veux dire. Genre, la douleur fait du bien parfois. Dit-il.

Les deux étaient assis sur un mur à l'extérieur du centre commercial, regardant le coucher de soleil.

"Ne dis pas ça."

"Pourquoi pas ?"

« Tu ne devrais pas associer la douleur aux bons sentiments. C'est une mauvaise façon de penser.

"Je suppose. As-tu déjà perdu un combat ? »

Techno se moqua. "Oui. Pas récemment, cependant.

« Est-ce que Dream et toi vous vous êtes battu ? »

"Non."

"Pourquoi pas? Vous aimez tous les deux vous battre, n'est-ce pas ?

"Oui, c'est juste..."

"Quoi ?"

«Eh bien, nous ne savons pas qui gagnerait. En réalité, cela pourrait être l'un ou l'autre. Il est rapide, mais je frappe fort. Tu vois ?

Wilbur réfléchit. « Oui, je sais. Je pense que tu gagnerais, cependant.

Techno a soufflé un rire. "Bien sûr."

Le soleil était à mi-chemin, une lumière dorée projetant des ombres dures à travers le monde.

« Tu sais ce qui est bizarre ? »

"Quoi ?"

"J'ai eu envie de cigarettes."

« Tu veux aller en chercher ? » Offrit Wilbur.

Techno le regarda. "Quoi ?"

« Schlatt et moi sommes à nouveau amis. Il ne me donnera pas d'alcool ou d'herbe, mais je suis sûr qu'il s'en sortirait bien avec les fags. Wilbur haussa les épaules.

(ntd : fags ici veut dire clopes -cigarettes- mais également pédés)

Techno s'étouffa avec son boba. « Wilbur ! »

"Quoi ? Quoi?"

"Tu ne peux pas dire ça, mec !"

"Tu peux répéter s'il te plait?"

« Des fags ! Appelle-les cigs ou quelque chose, mec!

"Pourquoi pas ? Je suis britannique et je suis gay de toute façon, à qui ça fait mal ?

« Eh bien, je n'aime pas ça ! » Se moqua Techno.

« D'accord, je ne le dirai pas devant toi alors. Allez, allons chez Schlatt. Wilbur a sauté du mur et a offert un coup de main à Techno. Techno l'a pris avec précaution, puis a sauté aussi.

"Tu es sûr qu'il sera d'accord pour que je vienne aussi?"

« Il t'aime plus que moi, mec. Il aime que tu sois calme.

"Oh d'accord."

«Il aime aussi que tu peux te défendre dans un combat. Il te respecte énormément, tu sais.

"Vraiment ?"

"Oui. Allez, monte dans la voiture.

Wilbur frappa à la porte. Quelques instants plus tard, il entendit du bruit et quelqu'un de l'autre côté.

"Qu'est-ce ?"

"Ta drama queen préférée !" Répondit Wilbur.

La porte s'ouvrit. Schlatt avait clairement son arme qui dépassait de son jean, et quand il a vu Technoblade, il a rapidement enfilé sa chemise par-dessus.

« Merde, désolé. Euh, qu'est-ce que tu fais ici ?

« On peut traîner un peu ? »

"Pourquoi ?"

"Parce que tu me manques."

« Et pourquoi Technoblade est-il ici ? »

"Je viens de l'emmener au centre commercial, ta maison était sur le chemin du retour."

Schlatt plissa les yeux vers Wilbur.
"Que veux-tu ?"

"Clopes, s'il te plaît." Wilbur sourit, tendant la main paume vers le haut.

"Clopes, s'il te plaît." Wilbur sourit, tendant la main paume vers le haut.

Schlatt roula des yeux. « Tu es ridicules », dit-il, et les accueillit à l'intérieur. La maison était vieille, clairement. Ce qui avait probablement été autrefois des murs blancs était taché d'un gris jaunâtre de fumée, et il y avait des piles de livres et de cartons dans chaque coin.

Ils suivirent Schlatt dans sa chambre, où il ferma la porte derrière eux.

"Que veux-tu ?"

« Marlboro Golds », dit Wilbur, assis sur son lit. Techno est resté collé au cadre de la porte.

« Tu me saignes à blanc, Wilbur. » dit Schlatt en soupirant.

« Euh, as-tu des Newport Menthols ? » marmonna Techno.

Schlatt s'arrêta, puis se retourna et regarda les deux.
« Attends, c'est pour Technoblade ? »

Wilbur reposa son visage dans ses mains, "Putain, tu es un idiot, Techno."

« Tu allais donner des cigarettes à ton frère ?! Il a seize ans, Wilbur ! cria Schlatt.

"Donc ?! Tu avais huit ans !

Techno tressaillit au son de la gifle. Cela semblait douloureux.

"Fais attention à ta putain de langue, Soot." Schlatt grogna.

« Je suis désolé », murmura Wilbur.

« Je vais vous donner les Marlboro Golds. Ne les partage pas avec lui, d'accord ? » ordonna Schlatt en ouvrant son tiroir de chevet. Il sortit un paquet de cigarettes et les tendit à Wilbur.
"Rentre chez toi."

Wilbur hocha la tête et les prit. « Merci, Schlatt. Je t'aime." dit-il en se levant.

"Ne dis pas cette merde."

"Ok, au revoir, princesse." Ricana Wilbur en ouvrant la porte de la chambre.

«Rentre chez toi, Soot ! » cria Schlatt.

Wilbur sourit et attrapa la main de Techno, le tirant hors de la maison.

« Schlatt fait peur », marmonna Techno en tirant une bouffée de cigarette.

Ils étaient assis au sommet d'une des falaises près des sentiers de randonnée, fumant ensemble. Le soleil s'était couché, et la seule lumière était la braise aux extrémités.

« Oui, mais il ne ferait de mal à personne, cependant.

« Il t'a giflé assez fort.

"Pour être honnête, j'étais un connard."

"Je suppose."

«Alors, pourquoi Newport Menthols? »

"C'est ce que Schlatt m'a passé la nuit où vous étiez à l'hôpital."

«C'est logique, ce sont ses préférés.»

Le bruit des grillons et des voitures sur une route lointaine les accompagnait. Techno a terminé sa cigarette et l'a éteinte parterre.

"Je suis toujours en colère contre toi pour avoir dit à Tommy que je me coupais."

"C'est logique, je suis toujours en colère contre toi pour m'avoir cassé le nez."

"Je ne veux pas qu'il commence à se couper."

"Il ne le fera pas."

"Comment tu peux en être sûr ?"

"Il ne le fera pas, tout simplement."

« Tu n'as aucune preuve.

Wilbur soupira. "On ne peut pas tous être foutus, mec."

Techno se tut et fixa les lumières de la ville bien en dessous d'eux. « Cela ne me surprendrait pas. »

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Désolé d'avoir mis autant de temps à sortir la suite surtout qu'il ne reste que  2 chapitres après celui ci avant la fin du premier tome. J'espère que vous avez apprécié ce chapitre et que je n'ai pas fait trop d'erreurs, après avoir finit ce tome là, je traduirais les OS lié à cette série de fanfictions puis le tome deux (se concentrant sur Technoblade, mon préféré) et trois (se concentrant sur Tommy). D'ici ce que je finisse de traduire tout ça, le quatrième tome (se concentrant sur Phil) devrait surement déjà être sorti et je le traduirai également.