chapitre dix-sept

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Liberté 

I

Drago laissa ses prunelles se perdre au plafond. Il observa les alcoves, la lumière qui surgissait des fenêtres et qui apparaissait étrangement en trop dans cette salle lugubre. Le Manoir était une prison.

Il n'avait plus aucune force. Il avait mis ses dernières ressources au service d'Harry et de ses amis, et il ne regrettait rien. Il ne savait pas vraiment ce qui allait bien pouvoir l'attendre maintenant mais les beaux jours étaient définitivement finis, sans avoir eu l'occasion de commencer.

Drago plissa son nez, s'attendant à sentir des larmes lui picoter les rétines, mais il n'en fut rien. Il n'était pas triste, non plutôt apaisé. Il avait finalement fait quelque chose de bien, et personne ne lui avait mis de couteau sous la gorge. Ça avait été son choix et il sentait maintenant la liberté griser tous ses sens. Peu importait ce qu'il allait devoir subir après, il avait finalement été libéré de ces années de mensonges, ceux des autres, et ceux qu'il avait montés lui même de toutes pièces.

Il était libre.

Le blond passa ses mains sur son visage, puis sur la pierre froide. Il n'avait jamais été aussi conscient de tout ce qui l'entourait, de la magie qui se rependait dans les murs, de la crainte qu'ils renfermaient, il y était imperméable. Il ne craignait plus rien. Son coeur chauffait, alimenté d'une drôle de sensation, brûlante et chatoyante, d'un sentiment qu'il avait essayé de réprimer. Il était amoureux. De Harry Potter qui plus est. Et il venait de l'aider à s'échapper. Il devait à présent se trouver en sécurité et Drago était plus soulagé que jamais.

Il s'esclaffa et ferma les yeux pour savourer cette toute nouvelle sensation. Une vague chaude qui l'amenait doucement vers un horizon prometteur. Il ressentait le besoin de fredonner ou quelque chose d'aussi stupide et de sot. Il voulait serrer Harry dans ses bras, mais dès qu'il osa entrouvrir une paupière toutes ses rêveries s'évanouirent, coincées au sein des grilles du Manoir.

Deux têtes étaient penchées au dessus de la sienne. Bellatrix le scrutait avec fureur, sa main était emmêlée dans les innombrables sacs de noeuds qui constituaient ses cheveux et elle la retira d'un coup sec en laissant échapper une grimace qui resta collée à son visage à la vue de son neveu. À côté, son père se tenait immobile, aucune trace de quelconque émotions sur son visage, pas même la déception que Drago attendait. Lucius Malefoy pointait juste sa baguette vers son fils, son poing était serré, mais son expression ne tiqua pas. Il relava la manche de sa robe et traina des yeux cernés sur sa Marque.

— Appelle le Lucius, l'encouragea Bellatrix les lèvres retroussées en un rictus empreint de folie.

Le père Malefoy jeta un dernier regard risqué vers son fils mais celui-ci releva le menton, le défiant d'appeler son si cher Seigneur des Ténèbres.

Toujours au dessus de lui, sa mère apparut. Elle posa gentiment sa main sur le bras de son mari et rabaissa sa manche. Bellatrix écarquilla les yeux et fourra de nouveaux ses mains dans ses cheveux, en arrachant plusieurs mèches en passage. Drago n'avait aucun avantage sur la situation, il était par terre et trois Mangemorts le surplombaient. Malgré tout, il décida de garder la tête haute. C'était bien le seul acte de bravoure qu'il pouvait entreprendre. 

Drôle de réunion de famille.

— Pourquoi est-ce que la lignée des Malefoy est-elle affublée de tant de crétins ! explosa Bellatrix en levant sa manche sans hésiter.

— Bella, l'interrompit sa soeur, ne fais pas ça.

Bellatrix glissa furtivement sa main autour du poignet de Narcissa et serra. La mâchoire de sa mère se contracta mais elle ne quitta pas la Mangemort des yeux. Bellatrix avait toujours respecté son aînée, seulement est-ce que le respect d'une aînée faisait le poids contre une loyauté sans faille envers le Seigneur des Ténèbres ?

— Qu'est-ce que tu vas lui dire Bella ? Quel bien tout cela va-t-il nous faire ?

Bellatrix approcha son visage de celui de sa soeur, elle respirait le même air, s'agrippait l'une à l'autre. À deux elles formaient le duo le plus redoutable que Drago n'avait jamais vu.

— Il n'est plus mon neveu, et si tu continues ainsi tu ne seras plus ma soeur.

Narcissa pencha sa tête sur le côté, observait sa soeur comme si celle-ci était un spécimen rare et qu'il fallait agir avec des pincettes autour d'elle. Elle reprenait le dessus, Narcissa avait sans aucun doute une prestance naturelle, une autorité que personne n'osait remettre en question.

— Je vais amener Drago aux cachots et nous aurons ensuite une discussion.

Il suffit que sa mère lui fasse signe de se relever pour que Drago se hausse sur ses pieds. Elle avait toujours eu une emprise sur lui et à sa plus grande horreur le blond réalisa que celle-ci faisait toujours effet.

— Tu devrais toujours penser avant d'agir Bella, je te l'ai toujours dit.

Sans un mot de plus elle tourna les talons, Drago sur ses pas. Il foudroyait du regard le dos de sa mère, il n'avait pas le choix quant à sa place dans cette histoire. Il n'avait même plus sa baguette et s'il tentait ne serait-ce que de bouger son petit doigt Bellatrix ne le louperait pas.

Une fois que sa mère eut refermé les barreaux derrière son fils, un bruit d'explosion les fit tous deux figer. Le bruit de verre se brisant emplit tout le Manoir, son écho se répercutant sur les murs. Le souffle du vent s'engouffra dans les pièces déjà glaciales. Drago s'agrippa aux barreaux, une avalanche de supplications menaçant de déborder.

— Ce n'est pas le Seigneur des Ténèbres Drago, l'informa sa mère toujours dos à lui. Bellatrix n'a jamais su canaliser sa colère.

Drago déglutit et s'autorisa à se relaxer en se laissant glisser au sol.

— Relève toi.

Pas cette fois, pensa Drago en ne bougeant pas d'un centimètre.

Un pans de robe et des cheveux virevoltant en un arc de cercle et Narcissa se retrouva de nouveau face à son fils. Ses yeux étaient froids, tout ce qu'elle ressentait bien arrangé en une parfaite figure de marbre, sculptée à l'aide d'une grande souffrance.

— Te rends-tu compte une seule seconde de la tempête que tu as provoquée ?

Drago pesa chacun de ses mots, chercha la réplique la plus cinglante qui soit. Mais comme toujours, face à sa mère il perdait toutes ses armes.

— Je ne suis pas le fautif.

— Regarde ce que tu nous fait subir.

Drago tressaillit, incapable de comprendre comment sa mère pouvait lui faire porter toute la responsabilité de leur malheur familial sur ses épaules. Elle était injuste et pensait le récupérer en le faisant culpabiliser. Seulement ce dont elle n'était pas au courant était que Drago était à présent libre, du moins au sens figuré.

— Tu ne peux pas comprendre ce que ça fait ?

Sa mère se remit de sa stupeur rapidement et jugea Drago de la tête au pied.

— De quoi parles-tu ?

— Tu ne sais pas ce que ça fait d'être libre, rit Drago sans pouvoir s'en empêcher. Toute ma vie j'ai subi et je n'imagine pas comment la tienne peut diverger de la mienne. Ce n'est pas moi qui ai sali notre nom vous l'avez fait tous seuls, toi et Père. Tu es prisonnière maman, et tu es dans le déni. Je ne suis pas à blâmer, j'en ai fini avec les mensonges et le chantage. Je suis libre.

La statue craquela et s'effondra. Le vrai visage de sa mère apparut en une fraction de seconde. Drago pouvait savoir à quel point il était difficile de se remettre au cause, de sortir du mensonge si bien érigé dans lequel on se complaisait. Narcissa leva sa main, comme si elle avait quelque chose de plus à dire mais finit par la laisser retomber. Elle regarda son fils avec un mélange de crainte et de compréhension. Le coeur de Drago était lourd mais ce qu'il avait dit ne pouvait être retiré, c'était une blessure impérissable.

Une fois que sa mère eut quitté les cachots, Drago jeta un rapide coup d'oeil autour de lui, seul. Ce qu'il avait finalement osé dire avait affecté sa mère, est-ce que cet affrontement allait être bénéfique pour son sort ? Ou le contraire. Drago n'en avait aucune idée mais il ne pouvait pas abandonner en si bon chemin. Il fallait sortir et cette fois-ci avec un plan. Hors de question d'agir comme un stupide Gryffondor et de se jeter dans le tas en espérant en ressortir vivant. Durant ses premières années à Poudlard Drago avait toujours agi avec prudence et ingéniosité. S'il fallait manipuler autrui pour arriver à ses fins, l'hésitation n'avait pas eu sa place. Il était temps d'utiliser sa ruse pour une bonne cause. Sa mère découvrirait rapidement son petit jeu mais Drago n'avait qu'une chance et il fallait qu'il décoche son unique flèche au bon endroit.

Dans la famille Malefoy personne ne montrait ses faiblesses, personne ne laissait place aux sentiments. Et même si parfois cela s'était avéré utile, aucun sorcier normalement constitué ne pouvait vivre insensible à ce qui l'entourait bien longtemps. Drago savait que l'heure avait sonné pour son père depuis longtemps, depuis son retour d'Azkaban plus précisément, mais sa mère était capable de craquer. Il l'avait vu, une seconde lui avait suffi. Il était le seul à pouvoir la comprendre. Et Drago qui avait toujours ressenti cette habilité comme un fardeau la voyait maintenant comme une force.

Il avait juste à attendre le retour de sa mère et à bien organiser son discours.

II

Drago avait beau avoir toute la volonté et l'ingéniosité du monde il y avait une chose qu'il ne pouvait pas battre : son mal de crâne et une soif dévastatrice qui lui brûlait la gorge. Il n'était pas irréductible et sa vue commençait à se faire floue. Il tombait doucement dans une somnolence cauchemardesque. Pris au piège entre terreur et réalité il n'arrivait plus à faire la différence entre ce que ses yeux lui permettaient de voir et le monde atroce que créait son inconscient. À son plus grand soulagement et pile au bon moment — pour une fois que le temps souriait à Drago — un craquement le tira de sa torpeur en sursaut. De grosses gouttes de transpiration coulaient sur son front trempant ses mèches qui collaient inconfortablement contre sa peau. En somme la fièvre gagnait du terrain et il était sûr de rêver ce qu'il apercevait : une elfe de maison avec plusieurs sacs dans les mains et une robe rose fanée à pois blanc ridicule. Un accoutrement du bouffon de la cour. L'elfe le regardait avec ses grands yeux et ne disait rien, elle semblait partagée entre le désir de le laisser croupir ici ou bien de s'avancer.

— Monsieur Malefoy, Madame Malefoy m'envoie. Je vous amène des vêtements propres ainsi que des potions pour vos blessures.

Qu'est-ce que faisait l'elfe de maison de sa mère ici ? Drago la fixa complètement interloqué et une fois qu'il se rendit finalement compte que son apparition n'était pas le fruit de son imagination il se releva d'un bon en titubant. Sans prêter attention au boucan qu'il faisait, le blond s'écrasa contre les barreaux et tendit sa main vers l'elfe de maison qui le scrutait toujours avec horreur. Jamais elle n'avait vu un membre de la famille Malefoy dans les cachots. Drago comprenait son dilemme.

— Daisy, arriva-t-il après plusieurs secondes à croasser. ( Sa gorge était si sèche que le garçon ne pouvait même plus déglutir sa salive, depuis combien de temps comatait-il ? ) Donne moi la gourde d'eau.

Daisy la lui tendit d'une main tremblante et Drago la lui arracha. Il déboucha maladroitement le bouchon et se renversa plusieurs fois le liquide tant convoité dessus avant de finalement déglutir toute la bouteille.

— Madame Malefoy m'a dit que la gourde se remplirait automatiquement dès qu'elle serait vide, l'informa Daisy en commençant à faire passer plusieurs potions à travers les grilles. C'est pour faire passer le goût des différentes potions de guérison que vous devez prendre. Il faut aussi que vous en emmeniez avec vous, la blessure que vous avez au crâne demande plusieurs jours de repos.

Drago hocha avec précaution la tête en écoutant à moitié les instructions de l'Elfe. Il cherchait toutes traces de nourriture et une fois qu'il eut enfourné plusieurs morceaux de pain dans sa bouche il releva les yeux devant sa spectatrice.

— Attends... Commença-t-il.

Daisy se redressa et rétrécit légèrement ses gigantesques paupières, se préparant sûrement a affronter son courroux. Drago leva lentement la main vers elle dans une tentative de montrer qu'il ne lui voulait aucun mal.

— Pourquoi Mère fait-elle ça ?

Daisy secoua la tête et lança des coups d'oeil effarés autour d'elle. Elle se rapprocha à pas de loup des barreaux jusqu'à ce que son visage se retrouve en face de celui du blond. Drago n'avait jamais vu des yeux aussi remplis de peur.

— Madame Malefoy court un grand danger en apportant secours au traître de notre famille, mais elle m'a fait promettre de ne rien dire et je n'oserais pas lui désobéir.

Drago essaya de gonfler ses épaules pour cacher le tressautement qui l'avait parcouru à la mention de son tout nouveau titre.

— Tu fais bien, dit-il d'un ton résolu, mais surtout pour se rassurer lui-même. Tu fais bien de lui obéir.

Daisy lui fit parvenir quelques vêtements propres ainsi qu'une sacoche de voyage. Drago les observa complètement déconnecté de la réalité, il avait l'impression que sa mère l'engraissait pour ensuite le servir au Seigneur des Ténèbres. C'était stupide mais Drago ne pensait pas que quiconque lui apporterait de l'aide, du moins pas avant qu'il ait eu l'occasion de mettre son merveilleux plan à exécution. Merveilleux plan qu'il avait pour l'instant mis en place pour rien.

— Madame Malefoy devrait bientôt arriver, rajouta Daisy, interférant dans les doutes de Drago.

Sans une indication de plus elle disparut en un éclair, laissant Drago seul dans sa cellule. Il était plongé dans l'obscurité, buvait des potions amères et regardait avec effarement les costumes que sa mère lui avait fait passer. Il n'en portait plus depuis bien longtemps.

Au bout d'un certain temps, la lune fit son apparition dans son champ de vision, elle était pleine et le narguait de toute sa grandeur. Un cri déchirant fit trembler tous ses muscles. Greyback attendait la pleine lune comme une récompense pour partir chasser des proies que Voldemort choisissait avec plaisir pour lui. Avec terreur Drago pensa à tous ses jeunes enfants qui allaient perdre leur vie innocente. Pour être ensuite condamné à vivre un enfer qui ne cesserait qu'avec leur dernier souffle. Il se jura que s'il re-croisait le chemin de Greyback il ne se dégonflerait pas et le tuerait, sans hésitation. C'est ce qu'on avait attendu de lui après tout, les meurtres.

Finalement Drago entendit des pas provenir des escaliers en pierre. Il tourna le dos aux barreaux et enroula ses genoux de ses bras, faisant face aux murs à la lueur bleue vacillante.

— Tu ne t'es pas changé.

— Je ne porte plus de costumes.

Seul le bruit de sa respiration se faisait entendre, pas celle de Narcissa, juste la sienne. Si les émotions de sa mère ne transparaissaient pas sur son visage, elles se faisaient encore moins présentes dans ses inspirations et expirations. Une maîtrise parfaite de son coeur et de son cerveau, les deux battants à l'unisson.

— Retourne toi.

Son ton autoritaire fit tilter Drago et sans chercher à cacher son dégoût il fit face à sa mère. Elle tenait un barreau d'une de ses mains pâles, ses jointures étaient presque transparentes tellement sa poignée se faisait forte. Drago décida d'ignorer ce détail, sa mère l'avait abandonné il ne devait pas avoir de la peine pour elle.

— Approche, dit-elle dans un souffle.

Sa peau apparaissait de la même couleur que celle de la lune, ses cheveux n'avait jamais été aussi blanc et Drago lui découvrit quelques rides aux coins des yeux qu'il n'avait jamais pris le temps d'observer. Narcissa pointa quelque chose sur le torse de son garçon et Drago ferma les yeux en s'attendant au coup fatal.

— Prends la.

Le blond hésita à entrouvrir ses paupières, il n'était pas sûr de ce que sa mère l'ordonnait de faire. Ses yeux passèrent des prunelles de la femme à sa baguette qui était la seule chose qui venait entre eux — si on en oubliait les barreaux. Il ouvrit la bouche, incertain quant à ce qu'il était censé lui répondre. Oui ? Non ? Était-ce un piège ?

— Fais moi confiance Drago.

— Je ne peux pas.

Les mots étaient sortis sans que le garçon ne puisse réfléchir à leur impact. Mais le dommage était fait et aussi proche de sa mère il ne manqua pas de remarquer son expression blessée qui s'effaça aussi vite qu'elle était apparue.

— Tu n'as pas le choix Drago, le gronda-t-elle le menton relevé et le regard intransigeant. Prends toutes tes potions avec toi, je t'ai également fait quelques réserves. Une semaine de traitement et tu seras de nouveau sur pied.

Drago posa sa main sur celle de sa mère et la serra fort, il concentrait toute son énergie sur sa résolution. Celle de ne pas craquer, celle de ne pas dire à Narcissa de venir. Il avait grand besoin d'une présence maternelle, il en rêvait, mais elle ne pouvait pas lui apporter ce sentiment précieux, n'avait jamais réussi. Ce serait le mauvais choix. Puis comme si la femme Malefoy avait deviné ses tracas elle lui dit en guise d'au revoir :

— On se reverra sur le champ de bataille.

Drago lui arracha la baguette des mains et sa mère retira sa main de la sienne. Elle se tourna et Drago regarda les pans de sa robe voleter derrière elle et sentit son parfum une dernière fois. Froid et envoutant, il lui avait toujours piqué la gorge.

Il prit plusieurs minutes pour tester la baguette entre ses mains, elle était toujours aussi confortable, d'un bois souple et agréable au toucher. Drago fit apparaître plusieurs étincelles rouges et argentés et finalement se décida à se libérer.

— Alohomora.

Sans un regard en arrière, ses habits toujours entachés de sang, mais sa tête beaucoup moins souffrante, il emprunta le passage secret par lequel il était arrivé pour secourir le trio. Une fois dehors, à l'arrière du Manoir, il profita de l'air presque clément d'avril. Il fit tourner sa baguette dans l'air et la pointa vers la lune.

— Liberté, chuchota-t-il.

Puis il transplana.



✿.。.:* *.:。✿

Salut ! Drago a réussi à fuir, applaudissez-le même si sa mère a fait tout le travail. Petite anecdote j'adore écrire la relation mère-fils de Drago et Narcissa. Elle à son rôle dans cette petite fanfic. 

Autre chose, j'ai vraiment envie d'ouvrir une chaîne YouTube pour poster des playlist à thème, et j'aimerais bien en poster une pour Drago. Exemple de titre : Drago a fui le Manoir et se prépare pour la guerre, ce genre de playlist qui pourrait aider les auteurs de Wattpad et ceux qui le souhaitent à se plonger dans une certaine ambiance. Voilà, dites moi si ça vous tente ! ( bon j'ai déjà commencé à télécharger pas mal de morceaux, je l'avoue ) 

D'ailleurs il y a mon Spotify dans ma bio, j'ai déjà fait deux playlists pour cette fic,

Bref fin de mon bla-bla, j'éspère que vous avez apprécié ce chapitre :)

À la prochaine, Lou <3


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