𝟎𝟖 |𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞♛

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-𝕾𝖔𝖒𝖇𝖗𝖊 𝕱𝖑𝖆𝖒𝖒𝖊-
CUPEELING






ℂℍ𝔸ℙ𝕀𝕋ℝ𝔼 𝟠
𝑪𝒉𝒂𝒏𝒕 𝒎𝒆́𝒍𝒐𝒅𝒊𝒆𝒖𝒙













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— Tu sais Ty, je pensai que t'étais le plus raisonnable de nous deux mais je me rend compte qu'on est tout les deux dans la merde.

— Relaxe Carter, c'est juste un bar gay.

Je le regardait blasée.

— C'est pas ça le problème, c'est ça, annonçais-je en désignant la scène dans lequel nous nous tenions.

— T'as légèrement les idées embrouillé chérie, donc t'es obligé de chanter avec moi, jubila mon ami. En plus j'en ai choisi une en English !

J'arquai un sourcil alors qu'il pensait que ça me soulagerai. Après une rapide réflexion, je levai les yeux au ciel en soupirant. Oh et puis merde, on avait qu'une vie.

— C'est moi qui fait Rihanna alors, bougonnai-je.

Tyco me lança un clin d'oeil malicieux avant de me tendre le micro que j'attrapai sans délicatesse.

Mon esprit embrouillé par l'alcool m'empêchait d'esquissé un pas en arrière pour quitter la scène. Alors que la musique pulsé dans toute la boite, les lumière vert tamisé me fit grincé des dents, tandis que Tyco qui avait un sourire grand, sautillait comme un gamin.

La main tenant avec désinvolture le micro, un petit silence se fit et quelques têtes se tournèrent vers nous, lorsque Tyco chanta les premières paroles 'Can't Remember to Forget You' de Shakira ft Rihanna. La capuche sur la tête, camouflant le fait que j'étais la seule fille de cette boite, je sortie le reste de ma boisson que j'avalai cul sec.

Autant que je sois bourré pour durée ce massacre auditif.

— So were you go I follow, follow, follow ! cria t-il à fond.

Je lâchais un ricanement lorsque j'entendis Tyco chanté les paroles prononcé d'un horrible accent anglais. Je secouai la tête en grimaçant, lorsque mon côté américain refit surface. Tyco se tourna vers moi et chanta le refrain en me tendant son bras que j'attrapai avant de tournoyai sur moi même sous les acclamations des spectateurs.

Tyco tourna autour de moi, en feignant un regard pervers que je lui rendis, en lui envoyant un clin d'oeil avant de pouffer entre le rythme de la musique.

— I go back again. Fall off the train. Land in his bed. Repeat yesterday's mistakes ! chantonnai-je en passant un bras sur les épaules de Ty.

Les mecs étaient trop bourré pour remarquer ma voix moins masculine qui n'y parait.

No gestes à chaque paroles furent théâtral. J'étouffai un juron lorsque Ty m'écrasait le pied. Il ignora mon visage outré en continuant de gesticuler sous les ricanements des mecs qui nous contemplait. C'était sure et certain : Il était éclaté en danse.

L'alcool ayant légèrement montée au cerveau, nous essayâmes en vain d'accomplir une acrobatie en suivant le refrain des deux chanteuses.

— I can't remember to forget you ! chantonnâmes en coeur.

Je passai le bras de Ty autour de mon cou alors que la mienne était enroulé autour de sa taille. Le corps de mon ami s'arqua en arrière pendant que je le tenait d'une main, grimaçant par le poids de son corps.

La fin de la mélodie retentit et à peine que la chanson fut terminée, des hourras parviennent à nos oreille. Je ne laissa pas le temps à Tyco de se redresser, que je le laissai tomber sans aucun scrupule sur le sol, sous les rires du public.

— Aïe, ça fait mal Kamikaze, grimaça t-il.

— Pas plus que ton égo, mon chouchou, répliquai-je en rendant le micro au responsable de la scène.


Nous descendîmes de là scène, tout en contournant la orde de personne, dont quelque un qui nous jetait des coup d'œil espiègle.


— J'arrive pas à croire que tu m'a emmené ici, trou de bal, lançais-je en le voyant s'étiré le dos.

Tyco passa un bras autour de mes épaules, avant de m'attiré vers lui. 

— Faut bien que je passe du temps avec toi, répondit-il en claquant un rapide baisé sur ma tempe. Petite conne.

Un sourire étirait mes lèvres.

— Au moins je pourrai rajouter une nouvelle activité à ma liste.

— Et bah voilà ! La grincheuse est redevenue normale ! Tu sais que tu m'a fait peur ? En voyant ta face j'avais l'impression de confronter le diable en personne !

Je secouai la tête en ricanant et envoyait légèrement mon poing contre son thorax.

— La ferme, je suis toujours comme ça !

— T'es pas un vampire Ara, lâcha Tyco en reprenant son sérieux. Je suis pas le mieux placer pour parler de santé mais ménages-toi. J'ai pas envie que ma jumelle maléfique meurs avant moi.

Je détournais le regard, dissimulant mon trouble avant de serrer l'étreinte entre nos corps. Tyco avait toujours eu la tolérance de ne pas franchir la trait invisible de ma propre digue à problème. Et malgré ça, il était l'une des seules personnes à s'inquiète pour ma pauvre personne.

— Je suis pas suicidaire Ty', t'en fais pas pour moi !

La santé était le dernier de mes soucis et il le savait, pourtant il acquiesçait en souriant,
diluant l'inquiétude qui l'avait.


McKay & Cassie — Labrinth


Perdue dans mes pensés, je sentie la tête de Ty s'approchait de mon oreille avant de me murmurer :

— Regarde qui est la.

Les sourcils froncés, je suivis le regard du noiraud qui s'arrêta vers le bar où je reconnu immédiatement deux silhouettes. Mon cœur s'arrêta brusquement lorsque je croisai les oculaires noisettes d'Ander. Celui-ci me dévisagea intensément avant de passer son regard sur mon acolyte. Il fronça les sourcils alors qu'Omar, se rendant probablement compte qu'il parlait à une oreille sourde, pivota son visage en arrière et croisa l'image de ses deux amis, pantois.

— Et si on se faisait un date à quatre ? dit Tyco un sourire moqueur au coin des lèvres.

J'haussai les sourcils, et sans me laisser le temps de répliquer, Tyco me fit avancé tel un pantin en avant, vers le bar.

Ander et Omar se tournèrent complètement vers nous lorsque nous arrivâmes à leur hauteur. Je réprimai une soupire lorsque je vis Omar lâchai rapidement la main d'Ander tout en fixant Tyco du regard.

— Salut les tourtereaux j'espère qu'on ne vous dérange pas ! S'exclama Ty, gardant son bras autour des mes épaules.

— Super chanson tout les deux, riposta Omar en ignorant la remarque de mon ami. Mais t'as toujours un accent aussi nul à chié.

C'était peut être l'alcool qui montait trop fort, mais je croirai presque entendre un rire amère sortir de la bouche de Flores.

— Y'en a au moins qui se lance sans regarder en arrière ! Mais bon, fit-il en haussant les épaules. C'est pas donner à tout le monde.

J'haussai les sourcils en penchant ma tête sur le côté, presque amusée par le règlement de compte, si je ne remarquer pas le regard lourd d'Ander sur ma personne.

— Eh mec !

Nous nous tournâmes tout les quatre vers le barman qui venait de glisser un verre sous mon nez.

— Un verre offert par ce jeune homme ! me dit-il en désignant un homme de l'autre côté du bar, torse nu, dans la vingtaine, à l'allure efféminé, qui semblait me dévoré du regard.

Je lui lançai un sourire presque gênée en levant le verre qu'il m'avait offert. Je réprimai un soupire moqueur, lorsque je vis qu'il rougissait avant de me tournai le dos, se concentrant sur son interlocuteur.

Les trois garçons me regardèrent, surprit. J'haussai les épaules tandis que le barman me fixait bizarrement.

— J'ai pas l'impression que tu sois un mec, dit-il d'un ton méfiant.

Sans réfléchir et dans le plus grand des calmes je lançai :

— Je suis en pleine opération pour changer de sexe, mec. Me dis pas que t'es intolérant dans un bar gay tout de même ?

Un sourire moqueur frétillait mes lèvres lorsqu'il se redressai brusquement, masquant une part de gêne.

— Oh, ok cool, j'en savait rien. Je dois y aller.

Et c'est lorsqu'il tourna le dos, vaquant à ses occupations que Ty, explosa de rire.

— J'arrive pas à croire que t'attire même les gays ! ricana t-il en m'administrant une tape sur l'épaule.

— Va te faire, marmonnai-je la tête baisser.

— Je crois que c'est tes yeux, que tu sois un mec ou une meuf nulle ne peut résister. Pas vrai Ander ?

Surprise par la prise de parole d'Omar—qui était très amusé par la scène, je relevai mon visage vers Ander qui avait jusque là, un sourire au coin illuminant son visage. Ses iris se posèrent sur les miennes et mes épaules s'affaissèrent brusquement, lorsque une lueur de tendresse incrustait ses pupilles.


— Ouais, lâcha t-il d'une voix douce. Une vrai muse.

— Merci, répondis-je rapidement en baissant mes yeux sur le verre qui devenait étrangement intéressant.

La paille entre mes lèvres, Tyco me l'arracha brusquement, sous mon ronchonnement et le ricanement d'Omar qui n'avait pas accorder une attention à la réponse de son mec.

— Eh !

— Imagine qui l'ai mis du poison, crétine !

— Bah tu seras là pour me transporter chez toi ! Et puis t'as vu sa gueule ? Il avait limite peur de moi, crétin !

— Je-tu... Eh merde empoisonnes-toi ! capitula t-il en me rendant le verre, agacé.

J'haussai les épaules, un sourire enfantin aux lèvres, contente d'avoir gagnée.

Ander et Omar nous regarda, amusé par notre comportement.

— Du calme les jumeaux maléfique.
J'arrive pas à croire que vous êtes séparé par un établissement.

— Faut demander à sa flic de tante coincé du cul, lâcha calmement Tyco.

Sans surprise, Tyco détestait ma tante et vise-versa. Mais comme toujours, je serai du côté de mon meilleur ami.

Ander qui jusque là parlait très peu enchaîna du tac-au-tac :

— Elle ferait la paire avec mon père.

Curieuse, je m'adossai au bar, réajustai ma capuche avant de l'interroger du regard. Ander jeta un coup d'œil à Omar et Tyco qui semblèrent échangé une discussion, puis il se mit à la même position que moi, les coudes sur le comptoir, avant de tournai sa tête vers moi.

— Je pensais que je devais m'éloigner de toi, soupira t-il d'un ton à moitié sérieux.

Ma tête se tourna lentement vers lui avant de souffler du nez, amusée.

— J'ai aussi dit que la nuit était un rêve éphémère, lâchai-je calmement.

Il me dévisagea pendant quelque secondes avant de soupirer. Il tourna son visage, regardant les individus dansaient collée serrés.

— Puisque nous somme dans le même lycée, t'as sans-doute fait écho des bruits de couloir. Ma mère est la directrice, et mon père est l'entraîneur de tennis, enfin il est plus intrusif envers moi que les autres joueurs.

Je me redressai, une lueur inquisiteur dans les iris, et contemplai son profil parfait qui me laisser voir son grain de beauté, sous son œil droit et son petit anneau argenté à l'oreille.


— Il est intrusif ?

— Il est du genre à te pousser à bout, même si il te reste que le petit doigt pour te retenir au bord d'un précipice.

— Est-ce qu'il t'aime ? demandais-je soudainement.

Ander fronça les sourcils, surprit par ma question. Il quitta son regard fixe avant d'acte ses pupilles aux miennes, intrigué.

— Comment ça ?

— C'est une simple question pourtant. Est-ce qu'il fait ça en tant qu'un père qui privilégie le besoin de son fils ou juste... un rêve qu'il te force à te l'ancrer dans la tête ?

Prit de cour, Ander cligna plusieurs fois des paupières, les lèvres entrouvertes. Je l'épiai la tête penchai sur le côté, avec attention.

— Je crois que tu l'as, ta réponse, dis-je d'une voix douce avant de me décoller du bar.

Dos à lui, prête à rejoindre Omar et Ty, la voix soudaine d'Ander, me pétrit sur place.

— J'ai pas l'impression que tu m'as brûler pourtant.

Je fronçais les sourcils et pivotai ma tête vers lui.

— Quoi ?

— L'autre jour, t'as dis que si une quelconque personne s'approchait de toi, tu brûlerais tout sur ton passage. Comme si tu n'apportais que malheur, et pourtant, j'ai l'impression de voir tout le contraire.

Les lèvres entrouverte, c'était à mon tour d'être pantoise. Ander avait l'audace de lancer ce genre de compliment après la saleté de parole que je lui avait transmise, et pourtant une partie de moi voulait s'attacher à lui.

— Je crois que le rêve est terminé, déclarai-je froidement, avant de détourner le regard.

Sans lui laisser de temps d'appliquer un geste, je me tournai et partie rapidement en ignorant les représailles de Tyco, qui salua Omar avant de me rejoindre.

Bordel, il fallait que je calme mes hormones en ébullitions.














『À ꜱᴜɪᴠʀᴇ』

『À ꜱᴜɪᴠʀᴇ』






























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