GUCCI MAN _ Chapitre.12

Màu nền
Font chữ
Font size
Chiều cao dòng



CHAPITRE.12


Séoul, Gucci Entertainment

Jeudi 04 Décembre

7:15


« DING »


-Ariel ? -Retenti sa voix. - Vous êtes déjà là ?


Monsieur Jin se tenait à l'accueil du cinquantième étage avec un magazine entre les mains. Ses épaules tournés vers moi il me sourit alors que je m'avançais vers lui.


-Bonjour monsieur Kim. -Dis-je. - Oui j'arriverais à cette heure désormais. Qu'est-ce que vous faites ici ?

-Le nouveau magazine de Monsieur Kim et monsieur Park est sorti dans toutes les grandes surfaces et cafés de la ville tôt ce matin. -Dit-il.

-Vraiment ?


En réalité j'en avais vraiment rien à faire, si c'est pour voir ce visage de démon inexpressif même sur un bout de papier autant me crever les yeux tout de suite. Je souris tout de même à pleines dents devant mon employeur qui pouffait légèrement de rire.


-Vous semblez de bonne humeur aujourd'hui ? -Dit Jin.

-Ah bon ? -Demandais-je.


Monsieur Jin rit avant de rouler les yeux. Il s'excusait avant de repartir pour son bureau tandis qu'il complimentait ma coiffure aujourd'hui. Touchant mes cheveux je n'avais fais simplement qu'une queue de cheval rien de plus.

En arrivant devant mon bureau, je posais mon café à la douce et tendre crème de chantilly par dessus un machiatto très chaud ainsi que mon sac à main et allumais mon ordinateur.

Une fois mon bureau prêt, je pris les clé du bureau de mon patron et ouvrais les grandes portes de son office puis entrais avec son déjeuné dans quelques sacs plastifiés et cartonnés.


Son siège était vide, et même sans son apparence au sein de cette pièce je pouvais ressentir cette tension à chaque fois que mes pieds avançaient vers la surface vitré de son office tellement grand et organisé. Bon ! Pas le temps de rêvasser !

Je disposais premièrement son café froid près de son ordinateur comme à chaque fois puis s'en suivit d'une verre de jus d'orange bio et fraîchement pressé sans pulpe ainsi qu'un petit sachet en papier avec le nom de la petite boulangerie « Française » que j'avais trouvé sur internet tard hier soir. A l'intérieur, un croissant cuit à la perfection et bien sûr en forme de lune ne pouvais faire pensé qu'au pays de la France dans toute sa splendeur culinaire. Pour terminer dernière touche, les français adorent adore manger des chaussons aux pommes. Version miniature pour que son altesse ne soit pas malade dans la mâtiné le posait la petite viennoiserie dans son emballage sur le côté du croissant lui aussi emballé. Eh voilà !!


7:28. C'est parfait ! Je retournais à mon bureau et commençais à travailler ne pouvant empêcher mon pied de tapoter d'impatience à l'arrivé de mon patron. Oh ! Pour la première fois que je suis impatiente de le voir lui et son expression tien ! Jamais je n'y aurait crû.

Les minutes défilaient lentement et c'est alors que j'entendis un « DING » retentir derrière les portes vitrés du cinquantième étages. Regardant l'heure sur l'écran de mon ordinateur huit heure s'annoncerait dans cinq minutes et la diva était là. Vite je m'empressais de poser mes doigts contre le clavier design de l'ordinateur alors que le bruit sourd de la porte vitré m'annonçait officiellement que mon patron était arriver.


Depuis que le temps s'était sévèrement refroidis, les vêtements de Monsieur Kim devenait de plus en plus épais et précieux à ranger. Toujours armé de son sac Gucci, il s'avançait jusqu'à mon bureau alors que je me levais faignant mine d'être « « occupé » »


-Appelez Hajoon tout de suite je le veux dans mon bureau dans une vingtaines de minutes. -Dit-il en me balançant royalement son manteau épais et long dans la figure.


Alors qu'il entrait dans son bureau, je m'empressais d'accrocher son par dessus tout en regardant sa réaction du coin de l'oeil. Son corps s'arrêtait devant son bureau un court moment et je profitais de cette occasion pour le titiller sur les nerds. Prépare toi Kim Taehyung, je ne céderais pas à tes petits caprices, tu ne pourra qu'espérer voir ma lettre de démission dans tes rêves !!


-Un problème monsieur ?


Son corps se tournait vers le mien un court instant alors qu'il fronçait les sourcils lorsqu'il vu un sourire apparent sur mon visage d'habitude paniqué. Me tournant le dos, il longeait son long office avant de poser son sac au sol et de s'asseoir sur son luxueux siège face aux merveilles du déjeuner Français.


-Qu'est-ce que vous faite encore là, je vous ai demandé d'appeler Hajoon. . . -Souffla-t-il.

-Oui monsieur.


HA HA HA !!! -KIM Taehyung : 0 _ HWANG Ariel : 1


Alors qu'Hajoon arrivait devant mon bureau celui-ci rencontrait mon patron qu'il s'appuyait légèrement contre le portes de son bureau face à ma figure devant mon écran d'ordinateur.


-Appelez Leejin et dite lui que je veux que Yeontan soit de retour à la maison ce soir.

-Y-Yeontan ?

-Je suis sûr que cela ne vous posera pas de problème. -Dit-il en souriant faussement. - Entrez Hajoon.


Alors que sa figure disparaissait dans son bureau je lançais un regard « au secours » au directeur Styliste qui me chuchotait brièvement de chercher dans le répertoire de mon téléphone professionnel, puis il disparu derrières les portes du bureau de mon supérieur.

Attrapant le téléphone professionnel dans mon sac je défilais et défilais les noms un à un avant de trouver ce fameux numéro. Cliquant sur l'émoticône vert d'appel, je rapprochais l'écran du mobile à mon oreille écoutant les bips sonores en attente. . .


LeeJin : « Allo ? »


Une voix féminine mais assez vielle et tendre décrochait derrière la ligne de téléphone.


Ariel : « Bonjour, madame LeeJin ? »

LeeJin : « C'est moi, que puis-je faire pour vous ? »

Ariel : « Excusez moi de vous déranger, je suis la nouvelle assistante de Monsieur Kim Taehyung ; il aimerait que monsieur Yeontan rentre à ses appartements ce soir. »

LeeJin : « Oh ! Bien évidemment, je suis sûr qu'il sera très heureux de revoir son propriétaire ! »

Ariel : « Propriétaire ? »

LeeJin : «  Yeontant est le petit chiot que Monsieur à acheté récemment. »

Ariel : « Oh, je vois. Encore désolé du dérangement passez une bonne journée. »

LeeJin : « A vous aussi madame. »


Quelle ironie. Cet homme satanique sait donner de l'amour dans de si petites choses comme...Des animaux ? Ridicule.


Bzz bzz

Fouillant dans mon autre sac, je sortis mon portable personnel avant de voir un message de la part de Jungkook. Déverrouillant discrètement l'écran, son surnom s'affichait en haut de la discussion en gras et mes yeux se portait sur son dernier message.


Kookie : « Yo ! Comment ça se passe le boulot ? J'espère que t'en bave pas trop, ça fait un moment qu'on à pas pu ce voir ! Tu te souviens du film dont je t'avais parler ? Si tu es libre vendredi soir on pourraient aller le voir~ »

Ariel : « Kookie~ Ca fait longtemps T T Ce serait cool qu'on aille voir ce film! Je suis disponible vendredi en début de soirée à 18:00 c'est okay pour toi ? »

Kookie : « Woah génial ! C'est Ok, je passe te chercher demain soir chez toi à 21:00 »

Ariel : « No problem Kookie ! A demain !»


~👄~


-Je veux une limousine beige pour mon départ demain soir. -Me surpris monsieur Kim alors qu'il sortait de son bureau. - Apportez moi du Yves Saint Laurent dans mon bureau dans une heure.


Sans même dénier me regarder, ses épaules se balançaient jusqu'à l'ascenseur alors qu'il allait je ne sais où. Tout en gardant mon calme, j'appelais le service responsable de vente chez Yves Saint Laurent à quelques rues d'ici afin de me préparer une gamme de sac à mains, chaussures, parfums, chapeaux,accessoires, et prêt à porter sans oublier le maquillage. Après tout Yves Saint Laurent à une large gamme de maquillage pourquoi pas le surprendre avec quelque qu'il désire sans m'avoir préciser les informations ? Je suis prêt à parier qu'il veux ceci pour la nouvelle saison du gala de la mode à Paris. Car Yves Saint Laurent, c'est dans la ville de l'amour.

S'en suivit d'un appel rapide dans tout les garage luxueux de la ville pour une limousine spéciale : Une limousine beige. Jamais encore quelqu'un n'a vu ça venir, et personne ne le verra arriver surtout venant de la par de Kim Taehyung, un homme qui surprend toujours les journalistes et internautes derrière les caméras et appareils photos.


Bref, je m'enquis rapidement de prendre mon manteau et mon écharpe et de sortir de ce bureau aux ondes négatives.

Yves Saint Laurent n'est qu'à trente minutes d'ici en voiture, je n'ai qu'à prendre un taxi et le tour est jouer. Mes talons claquant rapidement contre le sol ciré, le vent froid sous une couverture de nuages sombre embrassait violemment mon visage et je cachais mon nez sous la laine épaisse tricoter par la génération avant ma mère offert à la fête de mon anniversaire il y a cinq ans.


Mon corps se stoppait au bord du trottoir et mon bras se levait assez haut pour attirer le regard d'une voiture de taxi sans client qui s'avançait jusqu'à ma position. Une fois assise et attaché à l'arrière, le chauffeur faisait un contact visuel avec moi.


-Rue Yeonjon-Go s'il vous plais, jusqu'au magasin Yves Saint Laurent s'il vous plais. -Dis-je


Hochant la tête, le chauffeur me conduit jusqu'au magasin icône Français de la mode avant que le lui tende quelques billets de plus pour la rapidité en ville. Avec ça je reviendrais avant même que monsieur Kim ne revienne. Nan mais sérieux vous auriez dû voir sa tête ce matin quand il à vu son déjeuner en place, c'était tellement hilarant de le devancer comme ça.

En un rien de temps je passais les portes du magasin luxueux et un riche odeur de parfum fleurit m'embellit comme une nuage de douceur. Cette même douceur que vous ressentez lorsque vous retrouver votre lit le soir avant de tomber dans ces chaleureux rêves !


Pas de temps à perdre, je m'approchais du comptoir ou plusieurs personnes se tenait afin d'informer les clients, les conseillers et les aider.


-Excusez moi ?


Son corps se redressait alors qu'il pivotait sur ses pieds pour se retourner. C'était une journée qui commençait bien, mieux que je ne le pensais en venant ici, mais mon cauchemars m'a ramener à la réalité. Cette même réalité qui vous fait croire comme le diable que la vie est pure et belle.

Je ne pouvais pas le voir mais je le sentais. . . Mon corps tout entier devenait pâle, mon cœur tout aussi choqué s'accélérait au fur et à mesure que ses cheveux me tirait les souvenirs que tenait désespérément à retenir.


C'était comme si que les pages se mettaient subitement à revenir en arrière de plus en plus vite, de plus en plus fort et violemment me ramenant à ce moment de ma vie. . . Ce dernier moment où je l'ai vu : Kim Namjoon.


-Ariel?


Cette voix, toujours cette voix ! Elle qui hantait mes nuits ! Elle qui gâchait ma vie ! Je l'entend encore et cette fois ce n'est pas une hallucination !

Ses yeux clignaient de surprise alors qu'il s'approchait du comptoir mes pieds reculaient instinctivement.


-Ça fait longtemps. -Dit-il un pointe de nostalgie dans sa voix encore surprise. - Qu'est-ce que tu fais ici ?


Du calme Ariel, du calme, prend les commandes et tire toi d'ici et vite !!


-J-J'aimerais la commande 117 s'il vous plait. -Dis-je en essayant de rester la plus ferme possible.


Ses sourcils se froncèrent tandis qu'il se redressait encore une fois surpris.


-Tu travaille chez Gucci ?! Depuis quand ?! -Demanda-t-il.

-Les sacs s'il te plais Namjoon. -Demandais-je et serrant la lanière de mon sac à main.

-Namjoon ne fait pas attendre les clients. -Dit un collègue qui passait derrière son dos.


Il devait être nouveau ici. Je ne me souviens pas le savoir employé dans une si grande boîte la dernière fois qu'on sait vu. Ou était-ce encore une vérité qu'il me cachait ?

Argg Ariel arrête de penser à ça, prend les sacs et donne ta carte.

Un amas de sacs de différentes tailles se posèrent devant mon visage que je prit par les fines poignée de tissus pourtant si fine mais solide.


-23 672 286, 78 KRW s'il te plais. (18 000Euros) -Demanda-t-il et je tendis la carte gold de l'entreprise avec les écris de G.U.C.C.I écrit dessus.


Namjoon prit délicatement la carte et la passais dans une petite machine afin de retirer en toute sécurité l'argent du compte Gucci. J'ai toujours eu peur de prendre cette carte, car quelque part. . . C'était la carte de crédit de Kim Taehyung.


-Ariel. . -Dit-il en me tendant la carte que je rangeais rapidement. - Je suis désolé de ce qui s'est passé y à quelques mois, je reconnais avoir fait une erreur.

-Bonne journée Namjoon. -Dis-je en détournant les talons jusqu'à la sortie.


Le châtain me regardait partir et soudainement son corps contournait l'accueil avant de courir jusqu'aux porte parfaitement nettoyé du grand magasin et percutait un client qui s'apprêtait à entrer. S'excusant rapidement, il trottinait quelques mètres avant de me rattraper.


-Ariel attend !


Je me retournais alors qu'il s'arrêtait de courir continuant de marcher jusqu'à moi. Jamais encore il n'avait été aussi proche de moi depuis ce jour. Je ne sais pas quoi faire, je ne sais absolument pas quoi faire. . .


-Je suis pressé. -Dis-je.

-Accepte mes excuses. . S'il te plais. -Demanda-t-il.

-C'est trop me demander désoler.


Je me tournais mais il attrapa mon bras avant de me rapprocher de lui, son odeur, son souffle tout ça me fit l'effet d'une gifle avant de me pousser violemment sous l'eau comme si que mon corps était fait de plomb, je ne pouvais pas aller à la surface. . . Les souvenirs me tirait vers le fond.


-Je t'aime toujours.


Vous savez, je suppose que vous avez déjà vu ce genre de méchanceté lorsqu'une personne enferme une abeille dans un bocal à confiture vide. . . L'animal est paniqué, tout son monde est à porté de main mais le verre l'empêche de sortir et lentement l'air pure et doux s'échappe, il devient de plus en plus difficile de respirer, de rester éveiller. . . De vire tout simplement. C'est ce que je ressens, j'ai l'impression d'être cette abeille enfermé qui ne peut pas s'échapper, qui ne peut plus respirer car Namjoon tien fermement le bocal fermé.


-Serrais-tu malheureux si jamais je ne revenais pas ?

-Terriblement. -Répondit-il.


Je retirais fortement mon bras de son emprise alors que je sentais ma vision s'humidifier.


-Alors maintenant tu sais ce que ça fait de souffrir.


Rapidement je marchais dans la rue parmi la population malgré les appels de Namjoon incessant comme la dernière fois. . . Sauf que cette fois là, j'avais encore plus mal que la dernière fois. Pourrais-je un jours finir par l'oublier ? Je l'espère de tout cœur.

10:00 : Je revenais parmi les enfers les bras charger de sacs alors que mes yeux brûlants ne cherchait à croiser aucun regard j'avançais tête baisser jusqu'au bureau de mon patron.

Peu après mon arrivé alors que je déposais les sac près de son bureau, le bruits de ses riches chaussures résonnait derrière moi et je me redressait pour rencontrer son visage impassible. Ignorant les sacs, il s'arrêtait devant moi levant un sourcils sous ses cheveux bruns parfaitement coiffé.


-C'est quoi ça ?


Je m'inclinais rapidement.


-Vos demandes sur les produits Yves Saint Lau-

-Je me fiche des sacs. -Me coupa-t-il rapidement. -Vous croyez que c'est le moment de pleurer ?

-Désoler monsieur, je. .


Il prit appuis sur sa jambe gauche et croisait ses bras contre son torse.


-Vous quoi ?

-Je ne me sens pas très bien.

-Oh vous ne vous sentez « pas très bien », je vous ai demandé d'aller chercher des sacs ce n'est pourtant pas compliquer, je crois que je ne vous demande pas grand chose et vous vous mettez à pleurer parce que votre mental ne tien pas le coup ?


C'est un démon. Un démon dans un corps de prince, au visage tellement parfait et inaccessible. Comment le monde peut-il tourner ainsi ?


-Réveillez-vous, vous êtes à Séoul, si vous vouliez quelque chose de plus facile et gérer vous auriez du rester à planter des légumes dans votre perdue petite région rurale insignifiante !


KIM Taehyung : 1 _ HWANG Ariel : 1. Et nous voilà à égalité dersomais. Mais cette égalité, je crois qu'elle s'arrêta là. . . Je pensais pouvoir lui tenir tête plus longtemps, mais écraser les émotions des gens ainsi. . . Ce n'est pas humain, ce n'est pas morale, c'est tout simplement de la haine gratuite.


J'ai des émotions, un cœur qui bat, des poumons qui ne demande qu'à respirer mais être ici avec lui. . . C'est comme se retrouver avec une double gravité, sans oxygène ni lumière.

Sans même m'incliner, je tournais les talons et quittais le bureau de mon patron qui décroisait les bras en fronçant les sourcils. Suivant mes actions silencieusement, il me vu reprendre mon manteau et mon écharpe ainsi que mon sac à main sous mon bras et poussais les portes vitrés.


-Ariel, je n'ai pas terminé !


Mes mains poussèrent les portes ignorants les appels colérique de mon patron qui finira bien pas me licencier avant mon retour. J'étais prête de toute façon, ce n'est pas un monde pour moi.


-Oh, Ariel ?


Super. . . Encore une fois, je suis prise dans les filets de la honte. J'ai vraiment la poisse il faut que je quitte cet endroit au plus vite.

Ses larges épaules me stoppèrent et lorsque mon employeur vu mes yeux rouges et prêt à lâcher une petite rivière de larmes, les siens se mirent à s'inquiéter. Mais tout comme mon patron, je l'ignorais et passait à coté lui ,marchant rapidement vers l'ascenseur.


Son regard avait suivit ma figure avant que les portes ne s'ouvrent puis il se tournait vers celle de son ami qui avait le regard encore sévère sur ses yeux. Les yeux de Jin fixait ceux de Taehyung qui ne lâchait pas le regard déterminé.

Soupirant Jin, secoua négativement la tête déçu de son jeune ami quand bien même il était toujours de son côté, cette fois ci, Kim Taehyung n'avait aucun garde du corps car celui-ci suivait les pas de son assistante.



Est-ce que Kim Taehyung va encore perdre une assistante ?


~👄~


Ecrit par : Bbalgan_Unnie


Bạn đang đọc truyện trên: Truyen2U.Pro