GUCCI MAN _ Chapitre.14 Partie 2

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CHAPITRE.14 _ Partie.2


Séoul, Gagnam

Samedi 06 Décembre

15:42


Clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac, clac.


Je me retournais soudainement après avoir entendu un faible bruit en rafale derrière mon dos assez loin et pourtant si proche. . . Jin s'arrêtait également lorsqu'il remarquait que j'avais soudainement quitté la discussion. La foule était encore plus intense lors des milieux d'après midi. Scrutant partout derrière moi, je rencontrais certains regards furtif.


-Un problème ?

-J'ai entendu quelque chose derrière moi.

-Le monde n'est pas muet Ariel. Tu viens ?


Hochant la tête, je laissais les bruits de la population derrière moi, suivant les pas de mon employeur au prochain magasin de prêt à porter, et le cinquième pour être éxacte. Après, Dior, Chanel, Versace et Gucci me voici chez Valentino ou une forte mais douce odeur parfumé fut pleinement accueillit par mes poumons.


16:22 : Me voici littéralement avec quatre sac par bras mélangé de jupes, chemises, shorts fluides et pantalon droits sans oublié les jolies robes en fin tissus. Valentino, Yves Saint Laurent, Dolce & Gabbana, sans oublié les précédents, Gucci, Dior et Chanel, les manteaux doux et soyeux, le dernier achat, un manteau de fourrure blanche tout droit sorti de chez Prada pesait lourd sur mes petits bras. Les folies ne cessait de monter crescendo comme une montagne russe se rapprochant du pic de l'attraction.

Jin tenait également quelques sacs plus lourds alors que nous nous dirigeâmes vers la prochaine destination : Le maquillage.


-Quel sont vos goût en terme de maquillages mademoiselle ? -Demanda avec arrogance et jugement une vendeuse.

-Hm, je-je, j'aime la pêche. -Dis-je en tournant mon regard vers Jin qui ne semblait pas remarquer son jugement.

-La pêche ? -Demanda-t-elle légèrement surprise. - Eh bien, par ici.


La suivant rapidement trottinant derrière ses pas, elle avait clairement remarqué qu'il sagissait d'un relooking observant mes sacs en plastiques joliment décorés.

Arrivant devant un étalage de produits cosmétique et de maquillage, celle-c me pointait rapidement quelques articles de couleur pêche ainsi que d'autre modèle se rapprochant des mes goût avant de sourire triomphalement suite à mon visage perdu.


-Quelques articles sont également en réduction alors n'hésitez pas. -Dit-elle tout aussi rapidement.


Wow ! C'est à croire qu'elle à un train à prendre. Son odeur poivré me piquait le nez et me donnais envie d'éternuer à chaque fois qu'elle passait devant moi. En silence Jin m'observait me tourner contre l'étalage avant de pointer quelques rouges à lèvres. Un rouge, un pêche, un rose et un mat de couleur rose légèrement plus foncé la vendeuse tirait les articles d'un tiroir avant de les jeter dans le petit pagner qu'elle avait.

S'en suivit du mascara. Yves Saint Laurent, Dior ou Chanel les trois premiers étaient bientôt en rupture de stock et pour cause ! Un mascara de qualité, tenue 48h, waterproof, allongement des cils ! Les femmes se ruait dans les rayon. Ayant fait rapidement mon choix, je désirais m'en aller le plus vite possible de cette boutique car le regard que me lançait cette vendeuse au prothèse capillaire commençait à me taper sur le système. Jetant de rapide regard à Jin, celui lui montrait un désintéressement total qu'elle continuait à persister après m'avoir présenté les produits.


-Je vais prendre le « Yves Saint Laurent ». -Dis-je et elle arrachait presque le mascara du tiroir avant de le jeter également dans le panier.

-Très bien. .


Me regardant encore une fois de haut en bas, elle menait la marche jusqu'au fond de teint, et far à paupières sans oublier le far à joue.

Choisissant rapidement un fond de teint claire en poudre, quelques far à paupières discret et un far à joue rosé, cette fois-ci ce fut à mon tour de mener la marche jusqu'à la caisse ou elle essayait rapidement de me dépasser.

Claquant ses faux ongles contre l'ordinateur tactile, elle entrait les articles et leurs prix que je voyais s'afficher, 1 908 430, 76 KRW (~1 452euro).


-1 908 430, 76 KRW. -Demanda-t-elle sans un mot de politesse.


De la fumée commençait à me sortir des oreilles tandis que je sentais mes joues chauffer de colère alors qu'elle me tendait sa main aux faux ongles devant me visage.


Arrgggggg !!!! Je vais lui arracher les ongles un par un on va voir face de lama !! Non mais sérieusement vous devriez tellement voir sa tête ! Ses sourcils dessiné étaient tellement éloignés qu'on aurait pu croire qu'un aimant les empêchait de se rapprocher. Ah ! Ce n'est qu'un mur rempli de peinture sur le visage, rien n'est naturel tout est faux, et je suis certaine que son nez viens d'être refais. La façon dont elle tien sa tête droite et haute empêche son nouveau morceau de chaire de tomber.

Lachant tout mes sac à terre, je tirais mon sac à main avant de sortir mon porte monnaie furieusement cherchant ma carte de crédit et de lui balancer au milieu du visage !! J'étais en rogne, si il y à bien une chose que je ne supportais pas en ce bas monde était de juger les gens de manière si écœuré en se croyant supérieur. Il n'y à qu'un homme supérieur ici madame et croyez moi, il à certainement de meilleures manières que vous.. .


Pas le temps pour moi de sortir ma carte qu'un bras vint à côté de mon épaule tendre la fameuse carte de crédit de mon employeur. Le regard précédemment venimeux de la vendeuse se tournait vers Jin qui lui souriait doucement. Oubliant mon existence, celle ci tendait le bras pour prendre la carte de mon employeur.

Et soudainement Jin retira la pression de ses doigts contre la carte avant que celle-ci ne glisse entre ses doigts. Le regard de la vendeuse suivait avec un train de retard la chute de la carte de crédit qui bien s'étaler sur le comptoir de caisse avant de rebondir légèrement grâce à un coin en plastique et de glisser derrière le comptoir de la vendeuse qui essayait de la rattraper sans succès.


Écoutant le plastique de la carte rencontrer le sol mon employeur regardait toujours souriant la vendeuse alors que mon regard avait suivit toute la scène.


-Oh veuillez m'excusez. -Dit-il. - Je l'ai échappé.


La vendeuse ne dit rien mis à part sourire de manière forcé et de se baisser un instant derrière le comptoir et de se redresser écartant ses mèches du visage. Retirant rapidement l'argent de la carte de crédit elle la retendit à Jin qui la prit tout aussi rapidement qu'elle aurait arracher la mienne. Ne prenant pas la peine d'attendre que la vendeuse lui donne le sac, mon employeur agrippait les lanières du petit sac.


-On y va Ariel. . . -Dit-il.


Alors que je tournais les talons en direction de la sortie, Jin se tournait vers le comptoir alors que la vendeuse le regardait silencieusement, son sourire effacer. Mon employeur la regardait intensément colérique, son sourire également effacé.


-Si le maquillage que vous avez jeté est défectueux, je réclamerais remboursement total des produits. -Dit-il.


Sans même m'être aperçue que Jin avait traîné dernières mes pieds, le ciel sombre de l'après midi commençait doucement à retomber dans le ciel, amenant rapidement la nuit qui en période d'hiver ne tardait pas à tomber raccourcissant les journée, allongeant les nuits froides et solitaires. Ses pieds s'arrêtèrent à côté de moi alors que je priais pour rentrer chez moi.

Jamais de ma vie je n'ai connu un tel shopping. Mes pieds crient pour un peu de repos et mes bras plaident pour un petit moment de relâchement.


-Est-ce que c'est bientôt fini ? -Dis-je épuisé.


Jin me regardait un court instant avant de sourire.


-C'est bientôt terminé. Prochaine destination ?

-Allons-y. -Dis-je.


17:12 : Nous sommes actuellement dans l'endroit le plus oppressant pour une femme, l'endroit qui rien qu'en entendant le nom vous fait frissonné de douleur, la torture que personne ne voudrait connaître. Je parle du salon de l'esthéticienne. Là ou pilosité n'est pas compatible avec votre corps, là ou l'odeur de cire bouillante vous arrache la peau créant de grosses plaques rouges sur votre visage après les sourcils.

Regardant mon employeur, il venait tout juste d'annoncer mon nom pour un rendez-vous rapide. La jeune femme me sourit avant de faire le contour du comptoir.


-Pourquoi ? -Dis-je

-L'une des règles de base d'une femme : Peau aussi douce que celle d'un bébé. -Dit-il.

-Mademoiselle Hwang ?

-Mais je ne me suis jamais épilé, seulement rasé!-Dis-je en chuchotant à mon employeur.


Jin se mit à sourire.


-Quelles parties avez-vous demandé ? -Demandais-je rapidement alors qu'une femme s'approchait de nous.

-Jambes, sourcils, aisselles et. . . Maillot.


Ouvrant ma bouche, mes lèvres formèrent un « O » affreusement gêné et choqué. Il voulait ma mort, sérieusement Jin voulait ma mort il ne vaut pas mieux que son supérieur !! Démon, espèce de partisan démoniaque pourquoi dois-je souffrir ainsi ? J'ai toujours téléchargé légalement des films, jamais pris de drogue, j'ai toujours trier les déchets recyclable pourquoi dois-je subir ceci ?


-Par ici mademoiselle.

-M-Mais-

-Ce ne sera pas long ! -Dit l'esthéticienne en me poussant gentiment dans une cabine d'épilation.


En entrant, la jeune femme m'incitait à retirer mon manteau et mon écharpe puis m'installer sur la longue planche couverte de cuir blanc froid au contact de la peau. Nerveusement je m'installais alors que je trifouillais mes doigts entre eux.


-Est-ce la première fois que vous vous faite épiler ?

-Deuxième fois, le rasoir est plus rapide.

-Très bien, ne vous en faite pas vous ne ressentirez aucune douleur.


Bien tenté Einstein mais tu ne m'apprendra rien sur l'épilation, ça fait mal et cela devrait être votre devise à l'entrée du salon. «Ca fait mal et ce n'est pas prêt de changer ! » Toujours aussi nerveuse, elle se tournait vers moi avec un fin bâton en bois, une couche de gel rosé dessus qu'elle appliquait autour de mes sourcils en précisant qu'elle allait commencer par le visage.

Mon cœur battait à la chamade, et c'est ainsi que je me suis mise à penser à mon rasoir à la maison posé sur le rebord de la cabine de douche. . . Pourquoi faire la même chose qu'un rasoir mais en ajoutant la douleur ? Pourquoi ?


Seigneur, c'est bien ma journée ! Mais bon comme ma mère me l'à toujours dit ! «Ariel chérie, quand tu sera grande tu comprendras qu'il faut souffrir pour être belle » Bah tien ! Qui l'aurait cru !!


-Très bien au compte de trois je vais tirer. -Dit-elle.

-D-D'accord. -Dis-je.


Et ma conscience hurlait « Non ! » elle hurlait « non », elle plaidait le seigneur d'arrêter cette sauvage torture, d'épargné ma fragile peau. Bien sûr, j'ai épiler mes sourcils comme toute femme qui se respect ! La pince à épiler était bien plus longue mais la douleur n'y était pas.


-Prête ? Un, Deu-


SCRIIIITCH !!


-AAHH !!


~👄~


-Et maintenant ?

-C'est presque terminé promis. -Rit Jin.


La nuit était complètement tombé, illuminant les grandes rues grâce aux lampadaires et les feux des voitures éclairaient les routes jusqu'au plus petits recoin de rue. Les restaurants commencent à recevoir des clients avant qu'il n'y aient plus de tables disponibles, les bars regorgent déjà d'alcooliques en quête de quelques verres d'alcools bien serré pour oublier le temps d'une nuit. Mon ventre grognait légèrement alors que Jin menait ma marche jusqu'au prochain magasin. Quelle journée franchement. Jamais je n'aurais cru pouvoir obtenir tout ça ! Et moi qui avait trois jupes à la maison et quelques chemise pour le travail me voilà avec une dizaine de chaussures, robes et autre vêtements chic pour le boulot, sans oublier le maquillage, les soins, le parfum car oui, j'ai eu le droit de choisir du parfum.

Pour finir, Jin s'arrêtait devant une vitrine de magasin avant de se tourner vers moi.


-La dernière étape. Dit-Il. - Une femme qui s'apprête à se couper les cheveux est une femme qui repart à zéro !

-Le coiffeur ? -Demandais-je – Mais mes cheveux sont très bien !

-Une nouvelle coupe ne fait pas de mal aux pointes. Allez, allez !


Une quinzaine de minutes plus tard, je me retrouvais devant un grand miroir assise sur un siège en cuir confortable, une fine serviette noir autour des épaules, mes cheveux assez long mouillé et un jeune coiffeur tournant autour de moi un long ciseaux entre les doigts.


-Avez-vous choisi votre coupe mademoiselle ?

-Un carré long comme celui-ci s'il vous plaît. -Dis-je en pointant le modèle dans le magazine.


Un modèle américain, avec quelques ondulations et de longues mèches blondes était le type le plus apprécier ces derniers temps. Les coupes coréennes sont chouette il y à pas à dire mais elles sont trop « mignonne » trop « petite fille » à mon goût. Je voulais quelque chose de différent, quelque chose qui change et qu'on à pas l'habitude de voir, bien sûr le carré est très à la mode et nombreuses sont les femmes qui en porte mais à Gucci Entertainment, c'est les longs cheveux lissés qui est apprécié des femmes et je n'ai pas souvenir avoir vu l'une d'entre elles les cheveux aussi court qu'au milieu de dos.

Le modèle de cette coupe faisait ressentir en moi une « femme » et non pas une fille « mignonne » avec également un coté assez chic et sexy à la fois de quoi mélanger les effets.


-Très bien mademoiselle, ce ne sera pas long. -Répondit le coiffeur.


En quelques coups de ciseaux mes pointes étaient venu s'étaler au sol tandis que les pointes de ma nouvelle coupe me chatouillait légèrement le cou.

Une fois proprement séché, le coiffeur appliquait un produit protecteur de chaleur avant de les ondulé exactement comme sur le modèle avec un boucleur. En deux-trois mouvements de poignet, mes cheveux précédemment mi-long s'étaient transformé en un carré long ondulé, une mèche de mes cheveux coincé derrière mon oreille droite tandis que l'autre retombait sur le coté de mon œil droit.


Sous les conseil du coiffeur plusieurs coupes étaient facile à faire comme un brushing, ou un effet naturel lisse pour aller au travail. Le carré est très apprécier des supérieurs, il donne un effet plus strict et sérieux à la femme qui le porte. Petite queue de cheval ou mini chinions décoiffé étaient une bonne idée pour le soirées entre amis.

Alors que je m'approchais de mon employeur qui lisait silencieusement un magazine vers l'espace attente, il relevait le visage vers moi lorsque le bruit de mes chaussures furent à la portée de son ouïe. Fermant le magazine, il se levait avant que je ne tortille mes doigts sous l'angoisse de son avis.


-Alors ?


Observant quelque seconde la nouvelle coupe, Jin restait sans voix alors que je sentais non seulement mon estomac se tortiller sous la faim mais sous le stress !!


-Tu es. .Très jolie. -Dit-il

-Oh ! Merci, je pensais que c'était raté. -Dis-je en touchais mes cheveux très doux sous le produits protecteur.


Sous la remarque positive de mon employeur je tentais par tout les moyens de cacher mes rougeurs sur mes joues et pile à ce moment, le coiffeur qui avait réussi ma coupe s'approchait de moi avec mon sac à main et mon manteau ainsi que mon écharpe. Le remerciant, j'enfilais mon par dessus ainsi que mon écharpe avant d'accrocher mon sac à main contre mon épaule.


19:32 : La voiture de Jin s'arrêtait sur une place de parking en face de mon grand immeuble alors qu'il coupait le contact. Retirant les clés il se tournait vers moi alors que j'engageais une nouvelle conversation.


-Merci pour tout. -Dis-je -Je ne sais pas ce que je ferais sans toi.

-Ne te préoccupe pas de ça, je compte sur toi maintenant pour travailler à fond.

-Promis. -Dis-je. - Je pense que j'ai un dette envers toi maintenant.

-Ne le mentionne pas, nous en reparlerons plus tard quand ce sera à toi de me sauver la mise.


Je ris un court instant alors que mon ventre grognais bruyamment dans le véhicule silencieux.


-Je vais t'aider à monter tes sacs.


Si je pouvais tous les compter, je dirais qu'il y avait au moins six énormes sac de magasin différents sans compter les plus petits du maquillage et du parfum.

Sortant les sacs du coffre, j'entamais la marche jusqu'à la cage d'escalier de mon appartement et entrait dans l'ascenseur suivit de mon employeur qui silencieux observait les murs du bâtiment.


Arrivant à mon étage, les portes de l'ascenseur s'ouvrirent sur un long couloir aux portes peintes de rouges donnant un air plus moderne aux murs peint d'une couleur claire. Alors que Jin suivait mes pas je m'arrêtait devant le numéro 35 de l'appartement avant de sortir les clé de maison de ma poche de manteau.

Un petit porte clé pendait de celui-ci et je tournais la clé dans la serrure déverrouillant l'appartement et rapidement une odeur fruité éveillait mes neurones fatigué en me rappelant que j'étais chez moi.


Enlevant ses chaussures à l'entrée, Jin suivit encore mes pas jusqu'au canapé ou je posais les sacs contre la petite table basse. Un silence apaisant s'installait entre nous et toujours en quête de remerciement pour Jin, je me tournais vers la pendule accroché au dessus de ma télé avant de me tournée vers lui.


-Écoute je sais pas comment te remercier convenablement alors. . . Ça te dirait de dîner ici ce soir ? -Dis-je avant que je ne reprenne rapidement. - Si jamais personne ne t'attend chez toi. .


Jin semblait réfléchir un moment avant de déboutonner son épais manteau d'hiver.


-On à qu'a dire que c'est une partie de ta dette payé. -Sourit-il. - C'est toi qui cuisine ?

-Oh oui bien sûr ! -Dis-je mon cœur s'accélérant mort de trouille.


Comment expliquer que je ne sais pas très bien cuisiner ? Les seules chose que je suis capable de faire correctement son les spaghettis , et les pasta à la carbonara . Le reste ? Ce sont des ramens à volonté, mon placard en est rempli, les prospectus de pizza à emporter son accrocher à coté de mon frigo ! Le second prospectus de poulet fris est encore déplié sur le plan de travail !! Au secours !!

Je pris rapidement son manteau alors qu'il pendait contre son bras et lui proposait quelque chose à boire en attendant qu'il acceptait poliment.

Merde merde merde ! Qu'est-ce que je vais préparé ? Des spaghettis ? De toute façon il ne sait pas que je suis nul en cuisine ! Mais si jamais il est allergique à la sauce tomate ? Et si jamais il détestait ça ?


-Hm est ce que tu veux manger quelques chose en particulier ? -Demandais-je en revenant avec sa boisson après avoir posé son manteau.


Il se retournait alors qu'il regardait mes cadres photos près de la télévision éteinte.


-Ce qui te passe par la tête. -Dit-il simplement.

-Omelette, riz ?


Eh merde pourquoi j'ai dit ça ?! Mais Jin hochait la tête visiblement satisfait de la proposition. Eh merde, merde merde, je suis tellement nul pour casser des œufs, ça va finir en piscine de déchets ! Des morceaux de coquilles vont tomber dans le plat ! Et si il s'étouffait avec ?! Oh bordel je vais le tuer !! maman, sauve moi !!


-T-Très bien, hum fait comme chez toi ! -Dis-je en courant vers la cuisine ouverte au salon.


Bordel comment je vais faire !! 



~👄~


Ecrit par : Bbalgan_Unnie

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